Dead in tombstone

Catégorie
Cinéma
Genre
Pays
USA
Date de sortie
01/10/2013
Réalisateur
Format
Blu-Ray
Boitier
Amaray
Producteurs
Mike Elliott et Glenn Ross
Scénaristes
Shane Kuhn et Brendan Cowles
Compositeur
Divers
Editeur
Edition
Standard
DureeFilm
96
Support
Critique de Emmanuel Galais

Un proscrit nommé Guerrero Hernandez est tué en essayant de libérer son demi-frère d'une prison. Abattu, il revient d'entre les morts pour se venger, après avoir fait un pacte avec le diable.

Bon, alors voilà ! Il y a un public éminemment amateur de ce type de film, dont le scénario ne tient à pas grand-chose, la réalisation pas mieux et le jeu d’acteur à quasiment rien du tout. Tout repose sur la capacité à faire des essais de plans pseudo-travaillés et des intrigues pseudo-différentes. Ici donc in reprend l’acteur de « Machete » cher à Robert Rodrigues et on lui fait croire qu’il va jouer dans un western qui le montrera sous un autre jour. Mais comme dit le proverbe africain : « Prenez un bout de bois, sculptez le de toutes les manières que vous voulez, il restera toujours un bout de bois ! », et bien étonnamment, il en va de même pour Danny Trejo. L’acteur ne sait rien faire d’autre que faire la tête méchamment, et « dézinguer » à tout va.

Quand en plus lui donnez comme partenaire, un certain Mickey Rourke, qui avait joué dans les débuts de sa carrière (prometteuse à l’époque) une victime du Diable dans « Angel Heart » d’Alan Parker, pour interpréter cette fois-ci le rôle du diable, on comprend tout de suite que le niveau risque de ne pas être élevé, tant le dernier s’offre quelque fois des soubresauts de génie (The Wrestler) et puis resombre quasiment aussitôt dans ce qui se fait de pire (Expendables).

Et le résultat est à la hauteur de ce que l’on craignait : Une succession de plans plus ou moins soignés, mais très loin d’être révolutionnaires. Alors le problème c’est que le réalisateur déjà à l’origine de chefs d’œuvres tels que : « Death Race » ou « Le roi scorpion 3 » ne détient comme matière première qu’un script dénué de sens, proche du niveau – 3000 de la finesse. Alors avec rien, ou du moins pas grand-chose, comment faire un film correct. De ce point de vue-là le réalisateur parvient à conserver un rythme qui fait illusion.

En conclusion, difficile de dire du bien de ce film si l’on n’est pas client. Le scénario est aussi ridicule que peu inspiré, la distribution est certainement l’une des plus mauvaises qui existe au cinéma, quant au réalisateur il parvient à donner l’impression que son film est réussi.

Définition
Couleurs
Compression
Format Vidéo
HD 1080p
Format Cinéma
1.78:1

Dans l’ensemble l’image est de bonne tenue avec des couleurs bien pesées et des contrastes qui donnent une véritable profondeur à l’ensemble. Le film jouant sur les différentes ambiances : Extérieurs très lumineux et ambiances intérieures plus sombres, il fallait un support qui ne soit pas trop en défaillance ou en saturation. Le travail de transfert et de très bonne qualité et le film se regarde avec beaucoup de plaisir

Sous Titres
Notes
Langues
Film
Bonus
Com
Spatial
Dyn
Surr
Anglais
Oui
Oui
Oui
Bonne
Bonne
Bonne
Français
Oui
Oui
Oui
Bonne
Bonne
Bonne

Une piste DTS-HD Master Audio 5.1, remarquable qui plonge littéralement le spectateur au cœur de l’action. La répartition est minutieuse, et les voix ne sont pas trop en retrait par rapport aux musiques qui se révèlent dominante souvent. Au contraire, les effets sonores, notamment les détonations résonnent avec beaucoup de précision. Un véritable plaisir pour les oreilles.

Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée Bonus : 30 min
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage

Un making of de 10’ plus promotionnel qu’informatif.

Des scènes coupées

Puis des reportages autour de Danny Trejo, des décors et des effets spéciaux.

On finit avec les commentaires audios du réalisateur.