Début d'un nouveau concours chez nos collègues de Revolusound. En partenariat avec DVDAsian.com, DTSphile vous propose de remporter un DVD (zone 3) du film The House of Flying Daggers dont vous trouverez d’ailleurs la chronique par DTSphile. Pour participer, il vous suffit de nous laisser vos coordonées sur la page concours. Le concours prendra fin le 07 novembre 2004 à Minuit.
Quand la passion tourne à la haine... Conçu dans le style visuel épique du très grand Hero dont il pourrait bien en être une suite indirecte dans ses effusions lyriques, The House of Flying Daggers (Le Secret des Poignards Volants en Français) arrivera dans nos salles d'ici quelques jours (17 novembre). Vous pouvez déjà retrouver le film de Zhang Yimou (réalisateur, entre autres, de Hero que nous évoquions plus haut) chez notre partenaire DVDAsian.com. Ce zone 3 est édité dans un DVD relativement simple, sans doute inaccompli, mais au crédit duquel nous pouvons porter les valeurs suivantes: présence d'une piste DTS sans aucun doute extraordinairement intéressante sio l'on considère celle de Hero, absolument anthologique, et édition dans un DVD vide de contenus additionnels (outre des photo et une bande-annonce), ce qui garantit une qualité audio-vidéo disons hors du commun, tout l'espace disque étant dans ces cas là réservé au film et à son encodage. Nous vous proposons de tenter votre chance afin de remporter un exemplaire du DVD DTS zone 3 du film de Zhang Yimou, avec Andy Lau et Zhang Ziyi.
En cette année 859, la Chine est ravagée par les conflits. La dynastie Tang, autrefois prospère, est sur le déclin, et le gouvernement corrompu s'épuise à lutter contre les groupes de rebelles toujours plus nombreux qui se dressent contre lui. La plus puissante de ces armées révolutionnaires et la plus prestigieuse de toutes est la Maison des Poignards Volants. Deux capitaines, Leo et Jin, sont envoyés pour capturer le mystérieux chef de cette redoutable armée.
Selon Jean Roy, critique à l'Humanité, "Nous sommes dans un authentique film de genre, capable de faire passer Eugène Sue pour du Claudel (...) La mise en scène est parfois bien statique, quoique superbement composée, dans les scènes sans combats, mais ces derniers sont admirables, ainsi que le dernier quart d'heure digne des plus grands mélodrames."
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