Quand Harriet découpe Charlie

Catégorie
Cinéma
Titre Original
So I married an axe murderer
Genre
Pays
Etats-Unis
Date de sortie
20/08/2008
Réalisateur
Format
Blu-Ray
Boitier
Amaray
Producteurs
Cary Woods, Robert N. Fried
Scénaristes
Robbie Fox
Compositeur
Bruce Broughton
Editeur
Edition
Standard
DureeFilm
94
Support
Critique de Chanh Hong

Charlie Mackenzie est un célibataire endurci, menant une vie tranquille à San Francisco. Tous les soirs avec son ami flic, ils se rendent dans un bar où Charlie se produit sur scène en récitant des poèmes chantés.
Un jour, en allant acheter de la panse de brebis farcie pour son père dans une boucherie, il rencontre Harriet, la bouchère, et en tombe follement amoureux. Ils se marient, c’est le bonheur ! Mais peu à peu, Charlie commence à soupçonner Harriet d’être Madame X la tueuse en série dont parlent les journaux.

« Quand Harriet découpe Charlie » est un mélange entre un film qui se veut comique et romantique à la fois. Mais hélas, à aucun moment il ne réussit à faire rire ou même sourire.
Le scénario se veut surprenant, drôle est romantique à la fois. Mais il s'avère ennuyeux, entre Charlie qui chante dans son bar, Charlie qui achète sa panse de brebis… rien d’autre ne vient relever le niveau d’ennui de ce film, même pas le dénouement, tellement prévisible.
Pour l'humour : Mike Myers qui montre ses fesses, Mike Myers qui fait des grimaces…c’est également le ratage complet.  
Mike Myers justement, en fait des tonnes pour être drôle, mais il est loin des performances des « Austin Powers » ou «  Wayne’s world ». Son humour dans le film tombe chaque fois à plat.
L’alchimie entre Mike Myers et sa partenaire Nancy « Harriet » Travis n’opère pas du tout. De ce fait, cette histoire d’amour perd toute sa crédibilité.

La réalisation est soporifique, à aucun moment le réalisateur ne réussit à donner un souffle à son film. Il est plat du début jusqu’à la fin.

Au final, « Quand Harriet découpe Charlie » est un film qui n’a d’originalité que dans son titre. Un titre qui ne tient pas toutes ses promesses.


Définition
Couleurs
Compression
Format Vidéo
HD 1080p
Format Cinéma
1.85:1
L’image est détaillée, un peu trop douce sur certains gros plans des visages. Les couleurs sont vives, les teints de peau sont naturels. Aucun problème de compression n’est visible. Un léger voile de grain cinéma est préservé. En résumé une image correcte pour un film de 1993.
Sous Titres
Notes
Langues
Film
Bonus
Com
Spatial
Dyn
Surr
Anglais
Oui
Non
Non
Insuffisante
Insuffisante
Insuffisante
Français
Oui
Non
Non
Insuffisante
Insuffisante
Insuffisante
Allemand
Oui
Non
Non
 
 
 
Arabe
Oui
Non
Non
 
 
 
Néérlandais
Oui
Non
Non
 
 
 
Que ce soit en VF ou en V.O l’encodage audio se fait en Dolby True HD 5.1. Les dialogues sont claires, audibles. Tout est presque concentré sur les enceintes frontales. Rien d’exceptionnel de ce côté.
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée Bonus : 0 min
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage
Côté bonus, c’est le minimum syndical. En effet, il faut se contenter de quelques bandes annonces de films distribués par la Columbia telles que « Rencontre du troisième type », « Surf’up »….