Event Horizon

Synopsis 

Event Horizon : Le Vaisseau de l’au-delà est le film qui a renouvelé la science-fiction et l’horreur, devenant une véritable référence parmi les fans. En 2047, la station spatiale Lewis & Clark met le cap vers Neptune pour récupérer l’épave d’un vaisseau mystérieusement disparu sans laisser de traces depuis 7 ans et réapparu tout aussi mystérieusement. 

Critique Subjective

Un pitch de science-fiction et d’horreur
Évidemment, cette opération va se révéler périlleuse et l’équipage se retrouvera confronté à une terrible menace qui ne lui laissera aucun répit. Aux manettes de ce mélange explosif, Paul W.S. Anderson qui a prouvé par la suite qu’il maîtrisait son sujet avec deux hits du genre dont Resident Evil et Alien Vs Predator.

Un casting qui tient la route
Le casting de cette angoissante production est à la hauteur des espérances. On retrouve ainsi Laurence Fishburne, l’incroyable Morpheus de la trilogie Matrix, qui officie désormais aux commandes de l’équipe de légistes de la série policière la plus célèbre du moment, Les Experts Las Vegas ; Sam Neill, déjà terrifiant dans L’Antre de la folie de John Carpenter ou effrayé par des monstres plus “communs” dans Jurassic Park ; et enfin l’exceptionnel Jason Isaacs, découvert en Lucius Malfoy dans Harry Potter et consacré dans la série de la chaîne Showtime, Brotherhood.

Et donc ?
Cette nouvelle édition Blu-ray permettra de donner toute sa profondeur et sa noirceur à l’espace, et leur puissance aux cris d’angoisse de l’équipage de ce vaisseau perdu dans l’univers. Ca c’est pouir la promo mais qu’en est-il en vrai. Event Horizon reste cher au cœur des amateurs de Space-Opera puisqu’il délivre un véritable savoir faire et une maitrise progressive de la montée de l’angoisse. On a affaire ici à une bonne série B savamment mise en scène , avec des scènes angoissantes et spectaculaires dans des décors de vaisseau grandiose.

Un dernier mot
A découvrir et  à redécouvrir d’urgence

Le générique de début qui nous montre le logo Paramount laisse présager du pire, grain, image délavée. Ensuite, les choses s’arrangent , Paramount nous livre un transfert solide vu l’âge du master avec quelques effets de moirage par ci par là mais avec des contrastes bien gérés, heureusement pour un film qui se déroule dans le noir de l’infini

Petite déception de voir que les vieux démons de l’édition reprennent leurs droits comme au bon vieux temps du DVD : Dolby Tru eHd en 5.1 mais uniquement en Vo, les Français auront le droit à la même piste que sur el DVDF. Etrangement ;,la piste Vo semble en retrait et étouffé par rapport au mixage possible sur ce type de film, la Vf met trop en avant les voix et apportent moins de densité que la Vo.