Star Trek - Next Generation Saison 1
Titre Original
Star Trek - The Next Generation
Date de sortie
16/09/2012
Producteurs
Maurice Hurley
Scénaristes
Gene Roddenberry ; Maurice Hurley ; Robert Lewin ; D. C. Fontana ; Tracy Tormé ; Hannah Louise Shearer ; Robert Sabaroff
Compositeur
Jerry Goldsmith ; Alexander Courage ; Jay Chattaway ; Dennis McCarthy ; Ron Jones
Critique de
Simon Bitanga
L'Espace ... l'Ultime Frontière ... Voici le vaisseau galactique Enterprise.
Sa mission : explorer des mondes nouveaux et étranges, découvrir de nouvelles formes de vies, de nouvelles civilisations et s'aventurer des les recoins les plus éloignés de la galaxie !
LE MEILLEUR DES MONDES ?
«Star Trek ? C’est pas le truc rétro à mort où des mecs en pyjama et aux favoris pointus blablatent dans des longs couloirs - on entendait soit un bruit étouffé de frigo, soit celui de portes sans poignées qui s’ouvraient seules -, se téléportent sur des planètes où, quand il n’y a plus moyen de faire autrement, se défendaient avec un phaser qui faisait un bruitage rigolo ?
Oui, … ça passait dans les années 80 sur la défunte 5e chaîne … C’était cheap, leur gros avion spatial ressemblait à une assiette creuse propulsée par 2 tubes d’aspirines, il y avait un type stoïque aux oreilles de vampire qui sonnait les gens par simple pression de ses doigts sur leur cou et un professeur Mac-quelquechose.»
C’est à peu près ça … Datant de 1966 et conçu par Gene Roddenberry, Star Trek, c’est un groupe bigarré d’explorateurs du cosmos qui officie pour les ambitions d’une société fantasmée du XXIIIe siècle (essentiellement motivée pour nourrir des relations pacifiques avec différentes présences outreterriennes) : un show qui aura mis son petit temps avant d’atteindre le statut culte !
Le crew initial enchaîne alors depuis 1979 des aventures sur grand écran et l’année suivant le fracassant tabac du 4e film «celui-avec-les-baleines», les studios décident de raconter ce qu’il se passe un peu moins de 70 ans après le space cowboy James T. Kirk a bord de l’USS Enterprise immatriculé NCC-1701-D.
Entre guests et personnalités récurrentes, tout tournera autour de :
* Jean-Luc Picard (Patrick Stewart), le capitaine sûr de lui, complet et dégourdi. Une certaine forme de sévérité qui n’exclut pas d’appréciables facettes.
* William Riker (Jonathan Frakes), l’officier en second carré, déterminé et digne de confiance. Il respectera sa hiérarchie directe mais sa vision l’opposera quelquefois à Picard (un peu comme Decker (Stephen Collins) face à Kirk dans le (très profond) Motion Picture de Robert Wise).
* Data (Brent Spinner), l’officier androïde un peu le Schtroumpf à Lunettes de l’équipe. Il est fasciné par l’Homme dont les mystères ne trouveront pas toujours d’explication(s) rationnelle(s) dans ses connaissances encyclopédiques. Vivent les mises à jour !!
* Mr Worf (Michael Dorn) dont la présence au poste d’officier tactique atteste de la bonne nature des accointances entre la Fédération et les Klingons (jadis ennemis mortels de la précédente team mais surtout des 6 premières pelloches).
* Parmi les différents postes déjà présents sur l’Enterprise NCC-1701-A (le navigateur Geordi LaForge (LeVar Burton) dont l’handicap a été résolu par les prochaines technologies, le docteur Beverly Crusher (Gates McFadden)), il y a quelques ajouts aussi fort bien pensés et venus : Tasha Yar (Denise Crosby) avec qui il ne vaut mieux pas plaisanter sur la sécurité et Deanna Troi (Marina Sirtis) la conseillère télépathe.
Qu’est ce qui rend cette suite aussi épatante ?
- Les récits : riches et denses, ils soulèvent de nombreuses questions d’ordre politique, militaire, ecclésiastique, moral, … plaçant l’Humanité comme Objet central (on va y revenir). Le tout, généralement tourné dans des phrases dont la plupart trouveraient facile leur place dans un essai de philo ainsi que quelques propos qu’ont croit sur parole futuristes afin de faciliter l’immersion …
Pas de prise de panique : c’est jamais barbant ou imbuvable. S’évertuant à être au plus accessible / divertissant, ils mêlent tour à tour délires, humour et action lors de situations (dé)tendues mais variées (kidnapping, sauvetage, récupération d’important matériel, escorte, maladies (physiques ou psychiques), soucis de mécanique, … à l’occasion jouer les médiateurs entre des nations en guerre).
- Le jeu global : dit comme cela ça semble un peu fumeux mais on entre fastoche dans la danse grâce à la sincérité des interprètes. Conscients de l’héritage historique que représente la franchise ? En phase avec les propos du créateur / producteur exécutif ? Tout simplement heureux de relever un (inédit) défi de carrière ? Ils donnent ce qu’il faut pour que rapports complexes et approfondis sonnent le moins faux possible.
Ceux ne se connaissant pas déjà se connectent tranquillement et leur progressive complémentarité provient des compétences de TOUT LE MONDE (on ne remerciera jamais assez le petit Will Crusher (Wil Wheaton) d’éviter d’être l’ultime tête à claques savante mais bel et bien un membre actif, si ce n’est vital, de l'équipage).
- Les thématiques majeures : Le contexte science-fictionnel permet de donner une orientation parabolique aux pensées cosmiques basées sur l’Humain, sa Conscience, sa capacité à ressentir, réfléchir et influer au plus positif sur son environnement, dusse-t-il se situer au-delà des confins connus des galaxologues.
Tout n’est pas parfait, même dans ce monde ou les problématiques d’un autre temps (sexisme, xénophobie, appât du gain, arrivisme, …) sont considérées comme primitives. Chaque personnage a ses fêlures, ses désirs, … qu’il cache la majeure partie du temps derrière ses fonctions / obligations professionnelles. Mais sans quoi ce ne serait pas marrant, ils iront loin pour tester cette foi, s’affranchir de la tentation ou sauver leur peau via quelques casses-têtes face à des êtres «supérieurs» parfois joueurs, souvent curieux de la nature complexe / particulière de l'humain ou suspicieux de leur prétendue nature bienveillante : la plupart des solutions feront autant appel à leurs muscles, leur matière grise (ou circuits) que leur propre humanité !
Des propos qui peuvent sembler un peu bateau pour nos jours un peu plus cyniques (certaines séries comme la 4e Dimension et autres Au-delà du Réel préfiguraient, enrichissaient ou contredisaient tout ou partie de ces réflexions) mais là où ça éveillait les sens dans le dernier 1/3 des années 80, faut s’imaginer ce que ressentaient les réceptifs de la génération 60’s !
Toutefois un reproche à cette approche : la fierté d’être un terrien évolué (en gros «en phase avec l’Autre, ses Différences et ses Coutumes») le place d’emblée au centre de tous les Univers la plupart du temps … s’hasarderait-on à dire le centre même de l’Univers (il n’y a pas mieux, plus équitable) ? On peut toujours rêver …
Ceci dit, certaines facilités parfois naïves n’enlèvent en rien une façon de présenter des pensées motivantes et positives (plus on avance, plus on rencontre, plus on s’adapte, plus on apprend, mieux on évolue) afin d’ouvrir le champ de perception du public d’alors : l'amélioration de l'individu et les velléités humanistes de Starfleet à devenir encore meilleur (il a des idées progressistes mais il n’est pas toujours assez éveillé pour certaines fracassantes révélations sur son propre devenir) ... Mais au fur et à mesure qu’on approche de la fin de cette saison, ce fil conducteur basculera vers un pendant pour le moins inattendu !
Concernant la technique … Mettant surtout en valeur sur tout le personnel les 9 caracters cités plus haut, des scénarios barzingues et une pointe de soap des 80’s (par exemple Lwaxana Troi (Majel Barett) rappelle les divas / vamps de téléfilms de cette période), la mise en scène en studio est plus permissive et plus ambitieuse.
Les papys sont devenus des mythes, l’esthétique proposée dans la présente Génération est revue et adaptée : les gadgets clignotent de partout (des dispositifs tactiles okudagrammiens, le Holodeck), c’est costumé (qu’ils sont élégants avec ses tenues seyantes) et maquillé dans tous les sens (pas mal d’ethnies stellaires sont rencontrées … dans cette saison, une sera récurrente : les Ferengis, roublards, intéressés et au grand sens du profit) mais ça a quelquefois un peu vieilli (certaines incrustes, le maquillage Klingon) …
Le schéma d’un épisode type est souvent basé sur une problématique liée à un contact avec une culture extraterrestre. Pouvant parfois avoir des répercussions sur le moyen terme, il faudra la résoudre afin de prévenir au mieux un incident diplomatique, la mort d’un ou plusieurs membre(s) du navire … au pire jusqu’à l’embrasement des galaxies ! Il y a toujours du contenu informatif, un max de citations culturelles intemporelles datant parfois bien avant le XXe siècle (Littérature, Musique, Histoire, Culture générale) mais également quelques références et autres clin d’œil à sa grande sœur …
CONCLUSION :
Cette 1e saison est très proche en esprit et en vérité de Star Trek - The Original Series, aussi bien dans son discours philosophique grand public, sa volonté de surmonter les épreuves les plus tordues provenant du fin fond du trou de l'espace que son envie de raconter du terrifiant à faire frémir dans 60m² de passerelle particulièrement éloigné de l’(horrible) adaptation ciné de 2009 qui vulgarisait et dévitalisait l’histoire au profit du spectaculaire.
Il ne faut pas être effrayé d’explorer le contenu de cette Nouvelle Génération : c’est agréable à suivre sans trop avoir besoin de se référer aux origines, ça ne néglige jamais un certain humour / second degré esquivant le ridicule, c’est interprété avec une conviction qui fait chaud au cœur et ça développe des questionnements pertinents un peu candides reflétant les erreurs humaines (passées ?) dont pas mal d'éléments se retrouveront au cœur de métrages de la franchise en cours où à venir jusqu'au Nemesis.
Pour le trekkie occasionnel ou confirmé, revoir les acteurs dans leur prime jeunesse et leurs longilignes tailles de guêpe est autant une satisfaction que de redécouvrir cette séquelle concurrençant sans peine d’autres productions ultérieures à une époque où la SF d’envergure est mieux accueillie sur le petit écran.
Gundam a son Gundam Z, Star Trek a son Star Trek : The Next Generation : en somme un prolongement étendu de grande classe qui se suffit presque à lui-même, s’imposant comme le point d’orgue des visions de son auteur. Le pire dans tout ça, aussi bien pour le fond et la forme, c’est que le meilleur reste à venir !
Voici la liste des épisodes :
Episode Pilote : Rendez-vous à Farpoint
Episode 001 : L'Enterprise en folie
Episode 002 : Le Code de l'Honneur
Episode 003 : Le dernier Avant-Poste
Episode 004 : Où l'Homme surpasse l'Homme
Episode 005 : Le Solitaire
Episode 006 : Justice
Episode 007 : La Bataille
Episode 008 : Dans la peau de Q
Episode 009 : Haven
Episode 010 : Le long Adieu
Episode 011 : Data et Lore
Episode 012 : Angel One
Episode 013 : 11001001
Episode 014 : Un trop court Moment
Episode 015 : Quand la Branche casse
Episode 016 : Terre Natale
Episode 017 : L'âge de Maturité
Episode 018 : Gloire et Patrie
Episode 019 : L'Arsenal de la Liberté
Episode 020 : Symbiose
Episode 021 : L'Essence du Mal
Episode 022 : Paris sera toujours Paris
Episode 023 : Conspiration
Episode 024 : La Zone Neutre
Définition
Couleurs
Compression
Format Vidéo
HD 1080p
Format Cinéma
1.33:1
Tout comme Star Trek - TOS (également dans une certaine mesure la version anniversaire de 2000 du long de 1979), l’objectif est de donner à TNG un coup de fouet en retraitant l’image en HD ainsi que les effets spéciaux (ici pas la possibilité de choisir entre les anciens et ceux-ci). L’hardcore puriste sera d’avance déçu et peu craindre un remous similaire à l’héxalogie de Lucas mais qu’il n’hurle pas trop si vite au sacrilège : les efforts de restauration portent leur fruits !
La qualité d’image bénéficie d’un transfert de qualité irrécusable ! Comparé aux anciennes VHS (NTSC), retransmissions TV ou même l’édition DVD, vous saliverez de voir ressortir autant de détails et de couleurs (les teintes rouges sont vraiment rouges !!), jouissant d’un léger grain. Tout ou partie des SFX + leur intégration sont revus afin de gagner en standing et en crédibilité.
Bien que le format 4/3 soit conservé, quelques rares points blancs plus qu’occasionnels, certains passages pas aussi nets que d’autres (cela viendrait de l’état des sources à remasteriser plus que du laxisme des équipes concernées) ou le fameux plan non redéfini de 2 secondes de Riker dans l'épisode 22 (un note dans le menu vous préviendra) … Mais tout est mis en œuvre pour que les conditions de visionnage offrent un confort au poil, digne du cinéma !!
Langues
Film
Bonus
Com
Spatial
Dyn
Surr
Ici 2 types de pistes audio :
- Sages, sans prouesses et fonctionnelles, les quelques mixages Dolby Digital déteignent un peu face au traitement d’image mais ont le mérite d’être d’origine …
Outre les versions française (1.0) & anglaise (2.0), c’est l’occasion d’entendre des localisations mono européennes (allemande, espagnole, italienne) et exotiques (japonaise).
- Une piste anglaise DTS Master Audio 7.1 qui pète le feu de partout !!
D’une pêche insoupçonnée, adéquatement spatialisée (on entend bien les blipblips et le vide de l’espace depuis les différents canaux), enveloppante comme pas permis et profitable (mention aux compositions qui ressortent avec un éclat inconnu), c’est un plus réellement convainquant aussi impressionnant que les dernières grosses sorties HD.
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée Bonus :
204 min
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage
Le menu, identique à chaque disque HD, est sobre mais correspond aux esthétiques tableaux de contrôle du nouvel Enterprise.
Chacun des 6 disques proposera :
- La lecture enchaînée de tous les épisodes
- Le choix de l’épisode (avec pour possibilité de précéder sa lecture par sa bande annonce de prédiffusion TV d’époque («dans le prochain épisode …») n'excédant généralement pas 32 secondes. En VOST et de qualité SD).
NB : chaque épisode dispose d’une petite fiche info technique comprenant le titre, sa date interstellaire et sa date exacte de 1e diffusion aux Etats-Unis !
- Les réglages son (anglais stéréo, allemand mono, espagnol mono, français mono, italien mono, japonais mono) ; anglais (DTS Master Audio 7.1) et sous-titrages (anglais pour sourds et malentendants, danois, allemand, espagnol, français, italien, japonais, néerlandais, norvégien, finnois, suédois).
Afin de comprendre le succès non démenti depuis des lustres autour de TNG, les BDs # 1 et # 6 proposent quelques bonus de choix :
Données supplémentaires du BD # 01 :
* Energize : Amener The Next Generation au Niveau Supérieur (Energized ! Taking Star Trek : The Next Generation To The Next Level) : Ce documentaire en 16/9 vous fera prendre conscience du démentiel travail entrepris par différents intervenants afin de faire (re)découvrir cette saison dans sa plus belle parure tout en respectant l’identité de la série !
Entre la spéléo effectuée pour retrouver les pellicules-source, le nettoyage de l’image, la laborieuse réintégration des effets spéciaux d’époque, les différentes retouches / ajouts en 3DCGI, le remixage du son en DTS, … rien ne vous sera caché. Ils sont plutôt contents d’eux et on les comprend !
* Archives : uniquement composé d’images d’époque en format 4/3 étiré en 16/9 pour promouvoir le nouvel équipage.
- Intro
- Promo 1 (publicité sur l’épisode pilote)
- Promo 2 (publicité sur l’épisode pilote bien plus short)
- Promo 3 (images du pilote + quelques plans de la première saison)
- Présentation annonceurs (porté cette fois sur la série, on présente les personnages puis la valeur historique et culturelle que représente son ancêtre des sixties)
Données supplémentaires du BD # 06 :
* Date Stellaire Revisitée : l’origine de Star Trek - La Nouvelle Génération (Stardate Revisited : the origin of Star Trek - The Next Generation) : reportage scindé en 3 parties dressant un bilan pour le moins objectif de cette nouvelle série.
1) Création (Inception - Part 1) : La pré-production complexe de la suite d’un ancien show à succès (tardif), qui plus est en syndication !!
Des archives du créateur original Gene Roddenberry qui exposera sa volonté de faire mieux, différent, plus adapté et gommer les points négatifs du Star Trek - TOS. Compte tenu des enjeux, il s’entourera des compétences d’une partie du staff d’antan et quelques nouvelles têtes pensantes (Rick Berman).
On enchaînera sur un travail préparatoire sur le design général avant de terminer sur le casting du futur Capitaine Picard (cf le passage aux cotés de Stephen Macht, préféré un temps face à Patrick Steward).
2) Lancement (Launching – Part 2) : Après avoir terminé avec le choix de Picard, place à ceux de Riker, Laforge, Data, Crusher mère & fils, Worf, Yar, Troi, … tous suivis de récents commentaires de la part de leurs interprètes respectifs, allant de quelques révélations sur leurs doutes à accepter le rôle ou des avantages à choisir tel acteur plutôt qu’un autre.
Il y aura de nombreuses vidéos sur les essais costumes, maquillages, accessoires, … et des difficultés qui en découlent.
3) Mission (The Continuing Mission - Part 3) : La parole sera un peu laissé aux illustrateurs / designers sur les problèmes à boucler le pilote et le plaisir global à travailler dessus.
Outre les histoires de budget, les astuces pour optimiser l’univers Star Trek, le monde merveilleux des maquettes, la puissance de la phrase d’intro, l’impact sur la popularité des acteurs et la différence d’ambiance plateau / bureaux, moult hautes & basses pensées du staff sur une 1e saison où les méthodes de travail de Gene Roddenberry ont indirectement posé de gros problèmes …
Un reportage vraiment instructif et pas promo pour un sou qui sera amené à se poursuivre sur les futures éditions (cf le cliffhanger final !).
Le disque comprend également les bonus de l’ancienne édition DVD en SD :
* Les Archives (Journal de bord des missions) : Section composée de plans de 2002 ~ images d’archives coupée en 4 parties. Leur contenu fait un peu redite avec les nouvelles infos en HD et restent d’un ton un peu plus promotionnelles.
1) Les Débuts (The Beginning) où, au milieu des décors en construction, le staff (acteurs, producteurs, créateur, techniciens) parle de leurs premiers pas.
2) Analyse de l’équipage choisi (Selected Crew Analysis) qui s’axera sur le nouveau casting, le caractère des personnages et la «camaraderie».
3) Le making-of d’une Légende (Making of a Legend) passera en revue la conception artistique (les décors, les effets spéciaux, les maquillages, le Viseur de Laforge, la musique).
4) Les missions mémorables (Memorable missions) portant essentiellement d’anecdotes concernant certains épisodes.
* Bétisier (4/3 étiré) : après toutes ces infos, rien de tel pour un peu de détente qu’une compilation de phrases mal énoncées, du damn et autres f@ck! qui ne devaient pas être dans le dialogue … sans oublier un grand moment d’allusions.