Bonus
L'édition prestige testée
propose le film sur Blu-ray et les bonus sur deux DVD. Tous les documents sont
en VOST.
Si les deux couts documents
présentés dans la version standard, c'est le deuxième DVD de l'édition Prestige
qui apporte son lot d'informations très intéressantes sur la production, le
tournage et les coulisses de groupe. Les groupies seront certainement déçues
car les membres du groupe sont ici souvent sérieux et au travail…
Voici la liste des documents
BLU-RAY (EN AUDIO 3D) - LE FILM 3D/2D (90 mn. env VOST Piste
audio : 5.1 + piste Audio 3D) - La bande-annonce - Le clip MASTER OF PUPPETS - Autour du film : Interviews du groupe et
de l'équipe technique (10 mn env) et Les coulisses du mixage d'un film hors de
commun (10 mn) - Avant-première française au Grand Rex -
EXCLUSIF
DVD 1 (EN AUDIO 3D) - Le film (92 mn. VOST Piste audio: 5.1 + piste
Audio 3D) - La bande-annonce - Le clip MASTER OF PUPPETS - Autour du film: Interviews du groupe et
de l'équipe technique (10 mn) et Les coulisses du mixage d'un film hors de
commun (10 mn) - Avant-première française au Grand Rex
- EXCLUSIF
DVD 2 + de BONUS - Le making of "HIT THE
LIGHTS" - 2 scènes inédites (80 mn) - Metallica au festival du film Mill
Valley (30 mn) - Orion Music + More le festival créé
par Metallica, avec Lars Ulrich (54 mn)
Extrait dossier de presse Depuis bientôt 30 ans,
Metallica est un groupe phare de la scène Rock, dépassant constamment les
attentes avec des performances live exceptionnelles, des albums de très haute
qualité et des visuels devenant toujours iconiques. D’un garage du Sud de la
Californie où ils commencèrent, aux plus grands stades du monde, Metallica
s’est toujours distingué en repoussant ses limites pour créer des expériences
musicales singulières et spectaculaires.
« Après 30 ans de métier, le
plus important pour nous a toujours été de rendre notre travail le plus varié
possible, » explique Lars Ulrich, batteur du groupe et, co-fondateur de
Metallica avec le chanteur et guitariste James Hetfield.
« Nous ne voulons pas nous
répéter. Durant un temps, nous avons caressé l’idée d’un autre film mais il
nous semblait avoir déjà exploré le documentaire avec Some Kind of Monster.
Nous désirions quelque chose qui soit différent, frais ».
Pour combler l’ambition de
Metallica, le show devait être plus grand que jamais – de préférence plus grand
que tout ce qui avait déjà été fait… Une scénographie complètement nouvelle fut
donc créée spécialement pour le film, intégrant certains des éléments scéniques
les plus élaborés et les plus originaux que le groupe ait développé durant
toutes ces années. « On a fait tout à l’envers », raconte James Hetfield. « En
règle générale, on fait une tournée, on s’améliore à chaque concert et à la
fin, on film le concert. Nous nous sommes donc demandés : pourquoi ne
changeons-nous pas de méthode ? Nous aurions alors un environnement
complètement sous contrôle pour filmer dans les meilleures conditions possibles.
Nous n’avons jamais vu cela auparavant. »
« Ce n’est pas une captation
avec 10 caméras des 5 derniers concerts de la tournée », ajoute Lars Ulrich, «
il n’y a pas eu de tournée. Ces concerts ont été spécifiquement montés pour le
film. Nous avons tenté de rassembler le meilleur, la liste des nos morceaux les
plus dynamiques, les favoris des fans et les morceaux les plus profonds de nos
albums. »
La 3D Les récentes évolutions de la
captation en 3D a inspiré l’équipe à revoir le film comme une expérience en
immersion totale. « La 3D n’est pas utilisée de cette manière un peu dépassée
consistant à faire sortir le manche de guitare de l’écran ou à donner l’impression
que les baguettes que le batteur a lancées vont atterrir dans le public, » dit
Lars Ulrich,
« il s’agit beaucoup plus de
donner un sens, une profondeur réelle à ce qui se passe sur la scène. Le film donne
largement à montrer le point de vue du groupe sur scène. Le public du film sera
beaucoup plus sur scène qu’à regarder vers la scène. Naturellement, la 3D
apporte un plus grand réalisme à l’expérience. »
Selon James Hetfield, la technologie
3D peut même rendre l’expérience cinéma plus exaltante encore qu’un live. «
Alors que nous tournions, je regardais avec une paire de lunettes 3D un moment
où Kirk Hammett jouait sur la scène » raconte-t-il. « Je regardais Kirk sur
scène puis je le regardais à l’écran. Il était mieux à l’écran ! La 3D vous emporte
au beau milieu de la folie de la scène. Elle vous apporte l’intensité de la
narration aussi, avec le chaos des rues autour de vous. »
Pour assurer la production du
film, Metallica a fait confiance à Charlotte Huggins, une spécialiste des
créations 3D dans l’industrie du film. Depuis son travail dans le court métrage
de 1993 Honey, I Shrunk the Audience en tant que productrice des effets
spéciaux, Charlotte Huggins a travaillé exclusivement en 3D notamment pour le
film Voyage au centre de la Terre.
« Quand Charlotte est arrivée,
nous n’avions ni réalisateur ni équipe », raconte Reiter, manager de Metallica.
« Nous n’avions qu’une idée et un groupe. Nous pensions avoir le budget mais il
était loin d’être complété. Elle nous a mis en relation avec James Cameron et
Vince Pace, qui nous a fourni les meilleures caméras du marché et le meilleur équipement.
Et je n’exagère pas quand je dis que sans elle, nous n’aurions pas eu de film
aujourd’hui. »« J’étais intéressée par le projet car il a un format narratif unique
» explique Charlotte Huggins. « Trip, joué par Dane DeHaan, est coursier pour le
groupe, envoyé dans la ville. Les événements qui ont lieu dans le stade ont une
répercussion sur ce qui se passe dans la ville et réciproquement. Ainsi, Metallica
crée une scénographie unique pour les besoins du tournage et je crois que c’est
la première fois que cela arrive pour un long-métrage. »
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