Sting Live at The Olympia Paris

Catégorie
Musique
Genre
Pays
Fran
Date de sortie
10/11/2017
Réalisateur
Format
Blu-Ray
Boitier
Amaray
Producteurs
Martin Kierszenbaum
Scénaristes
Sting
Compositeur
Sting
Editeur
Edition
Standard
DureeFilm
137
Support
Critique de Emmanuel Galais
La tournée mondiale '57th & 9th' célébrait la sortie du premier album pop/rock de STING depuis plus d'une décennie ! Filmé à l'Olympia de Paris en avril 2017, le concert reflète parfaitement l'énergie qui régnait lors des séances d'enregistrement de cet album. Les interprétations lumineuses des nouveaux titres comme 'I Can’t Stop Thinking About You' propulsé par une guitare obsédante, du tubesque '50.000', ou des classiques de Police et de sa carrière solo, mettent en valeur tous les styles et influences musicales de Sting. Il est accompagné sur scène par un groupe de 4 musiciens, dont son guitariste de longue date Dominic Miller, ainsi que Josh Freese (batterie), Rufus Miller (guitare) et Percy Cardona (accordéon). Les chœurs sont assurés par Joe Sumner, Diego Navaira et Jerry Fuentes des Last Bandoleros. 

Pendant 137 minutes de concert, le chanteur égrène l’ensemble de ses derniers titres avec en plus les très mythiques « Englishman in New-York » ou encore « Fields of Gold» sans oublier des titres majeurs du groupe Police : « Roxanne » ou encore « Message in the Bottle ».

Et bon sang que c’est bon de retrouver Sting dans un univers pop rock qui lui va si bien ! Car effectivement depuis une décennie, le chanteur avait exploré plusieurs univers musicaux, avec des sonorités très spirituelles et un univers qui l’emmenait effectivement vers une réflexion plus chamanique, qui ont pu laisser une partie de ses fans sur le bord de la route. Avec son nouvel album, Sting revient donc à ses amours premières et nous prouve, une fois de plus, qu’il n’a rien perdu de ses qualités musicales et encore moins de son sens aigu de l’écriture.

Et le résultat est autant à la hauteur de l’attente des fans, que de la surprise des néophytes, avec des envolées musicales particulièrement énergiques, des morceaux incroyablement bien posés qui révèlent une véritable maitrise technique et musicale de la part des musiciens et du chanteur qui laissent transparaitre à chaque fois, toute la concentration dont ils savent faire preuve durant des prestations scéniques, mais surtout un plaisir évident à se retrouver sur scène pour soutenir Sting dans sa nouvelle prestation. Et l’osmose est d’autant plus grande, que pour sa prestation à l’Olympia de Paris, la star se fait accompagner de son fils Joe Sumner dont la voix est remarquablement proche de celle de son père. Du coup Sting ne cesse, quasiment à chaque intervention, de souligner le fait de que le guitariste à côté n’est autre que son fils.

Et comme Sting n’est pas du genre à créer un événement sans y associer d’autres artistes, sur scène il se fait accompagner de son ami et guitariste de longue date Dominic Miller, de Josh Freese à la batterie, de Rufus Miller encore une fois la guitare et de Percy Cardona à l’accordéon. Dans les chœurs, on peut noter la présence de Diego Navaira et Jerry Fuentes des Lats Bandoleros, qui assurèrent la première partie. Tous ces musiciens se connaissent et connaissent évidemment Sting et le plaisir évident qu’ils ont à jouer ensemble est communicatif y compris dans la captation du concert.

En conclusion, la captation de ce concert évènement de 2017 est un véritable bonheur pour les amateurs de musique pop rock et pour les musiciens de tous bords, tant la technicité et le partage de ces musiciens est visible à l’écran. On en prend autant plein les yeux que plein les oreilles par une dynamique résolument efficace, une émotion évidente et un plaisir palpable de retrouver Sting dans un registre moins métaphysique. La star garde un lien particulier avec Paris puisque c’est peu de temps avant le concert de l’Olympia, le 12 Novembre 2016, qu’il a accepté également de jouer pour l’inauguration du Bataclan.
Définition
Couleurs
Compression
Format Vidéo
HD 1080p
Format Cinéma
2.35:1
Une image correcte sans être exceptionnelle, qui a le bon goût de respecter le vidéo spectateur en n’offrant pas un montage trop hystérique. Les couleurs ne bavent pas trop, et les contrastes résistent bien à l’ensemble. Une bonne note donc.
Sous Titres
Notes
Langues
Film
Bonus
Com
Spatial
Dyn
Surr
Anglais
Non
Non
Non
Bonne
Bonne
Bonne
La piste DTSHD Master Audio 5.1 se met totalement au service de la musique. Les accords de guitares et l’accompagnement de la basse ressortent avec beaucoup de précision pour mieux imprégner le vidéaste. La voix précise de Sting ressort avec beaucoup de précision.
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée Bonus : 45 min
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage
La section bonus laisse une grande part aux invités et particulièrement à la première partie tenue par Joe Sumner et le groupe The Last Bandoleros. Sting s’invite d’ailleurs pour faire un duo avec Joe Sumner.