Transformers 3

Catégorie
Cinéma
Genre
Pays
USA
Date de sortie
02/11/2011
Réalisateur
Format
Blu-Ray
Boitier
Amaray
Producteurs
Ian Bryce, Tom DeSanto et Steven Spielberg
Scénaristes
Ehren Kruger
Compositeur
Steve Jablonsky
Editeur
Edition
Standard
DureeFilm
154
Support
Critique de Emmanuel Galais
Retour sur les origines d’un monde extra terrestre qui ne cesse de se déchirer et dont le combat se répand une nouvelle fois sur terre. Les autobots et les Decepticons n’ont de cesse de lutter les uns pour la protection de la terre, les autres pour le contrôle de l’univers.

Suite aux mauvais retour des fans concernant le deuxième volet, Michael Bay a donc décidé de remettre le couvert avec un troisième épisode moins compliqué et beaucoup plus à la hauteur des attentes. On pourrait dire que l’entreprise est réussit, mis à part que le réalisateur ne sait pas faire dans la finesse et qu’il fait usage des effets spéciaux à tire larigot, que les dialogues sont aussi pointus que ceux écrit par une classe de CE2, et qu’aucun des acteurs, encore moins la charmante remplaçante de Megan Fox,  Rosie Huntington-Whiteley ,n’arrive réellement à se motiver.

Côté scénario, pas de grand changement, les Autobots avaient envoyé un Messager sur la terre, mais qui, par un concours de circonstance, s’est retrouvé finalement les fesses sur la lune, découvert par la Nasa en 1969, forcément, le secret est jalousement gardé. Seulement voilà les Decepticons en ont eu vent et veulent ainsi récupérer ce que le messager gardait avec lui. Bon, on pourrait y aller encore comme ça pendant des pages, mais à la lecture du résumé, on imagine déjà une sorte de copier coller du premier volume.

Et le réalisateur d’ailleurs ne fait pas dans la dentelle, il accumule les trouvailles visuelles afin d’y incorporer des effets spéciaux à vous couper le souffle, mais sa mise en scène oublie totalement les acteurs, qui en font des tonnes et viennent, pour les principaux, remplir le tiroir caisse. Les robots sont aussi pesant qu’à l’habitude avec des dialogues mal fichus : « Gloiiiiiire …..aux.......Décepticons », à réciter comme écrit dans le texte.

Comme nous le disions précédemment, le jeu des acteurs est au minimum syndicale, Shia LaBeouf est littéralement absent, avec une énergie qui ne semble plus être suffisante pour se lancer dans ce type d’aventure. L’acteur court partout, mais a perdu la fraicheur de son jeu du premier volume et ses mimiques ne viennent rien sauver. Quand à la remplaçante de Megan Fox,  Rosie Huntington-Whiteley elle ne joue réellement qu’un rôle de faire-valoir sensuel, il suffit pour cela de voir le premier plan où elle apparait pour s’en rendre compte. Tout le reste du film, l’actrice, si tel était le cas, se déhanche, crie, avance avec un roulement de hanche d’une rare sensualité, mais qui ne suffit pas à susciter le moindre intérêt.

En conclusion, avec des résultats au box office, qui ont bénéficié d’une programmation assez désastreuse, la licence « Transformers » risque de ne pas être prête de s’éteindre. On espère simplement que Michael Bay laissera la main à un réalisateur qui aura l’envie d’en faire un véritable film, divertissant et intelligeant, car cela existe.
Définition
Couleurs
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
2.40:1
Bien évidemment, le contraire eut même été surprenant, l’image est impeccable à l’extrême. Des noirs brillants à souhaits, des contrastes, mettant parfaitement en profondeur les éléments de l’image. Et pour finir une tenue impeccable des couleurs. De ce côté-là, la qualité est au rendez-vous !
Sous Titres
Notes
Langues
Film
Bonus
Com
Spatial
Dyn
Surr
Anglais
Oui
Non
Non
Bonne
Bonne
Bonne
Français
Oui
Non
Non
Bonne
Bonne
Bonne
En VO, le Dolby True HD 7.1 est redoutable d’efficacité, forcément ! Avec des basses surgonflées, particulièrement lors des combats, des dialogues suffisamment équilibrés, même si parfois victimes des robots et de leurs explosions incessantes. La dynamique est totalement mise en valeur et la spatialisation est remarquable. Toutefois dans les autres versions, la dynamique perd en minutie et les dialogues souffrent parfois d’un réel décalage avec l’omniprésence du surgonflage des effets sonores.
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée Bonus : 0 min
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage
Une honte, pas de bonus !