Twelve
Date de sortie
25/01/2011
Producteurs
Sidonie Dumas, Ted Field, Charlie Corwin, Jordan Melamed, Robert Salerno
Scénaristes
Jordan Melamed
Compositeur
Harry Gregson-Williams
L'histoire :
L'histoire tourne autour de Mike White, un gosse des quartiers riches de New York, qui a quitté l'école après la mort de sa mère, pour vendre de la drogue aux autres gosses riches.
Critique :
Les films "choral" sont en général bien racontés et bien structurés, ex : "Collision", "Magnolia", "Babel"... Ce n'est pas le cas de "Twelve".
L'histoire est brouillon, il faut plus d'une demi heure pour savoir qui est qui et qui fait quoi...et encore. Les questions qui restent en suspend jusqu'à la scène finale, c'est : "De quoi parle cette histoire ?", et "Où est-ce que le réalisateur veut il en venir ?"
Après 1h30 de métrage où le réalisateur s'évertue à faire en sorte que le spectateur s'attache à ses personnages (des gosses riches qui ont malgré tout des problèmes existentiels, les pauvres), sans succès. Les réponses aux questions posées ci-dessus sont "balancées" à la figure du spectateur avec une naïveté comme seul les téléfilms de Tf1 savent le faire.
Si seulement la mise en scène pouvait relever le niveau du film...même pas. Les situations sont du "déjà vu", les plans sont d'un manque total d'inspiration. L'ennui absolu.
Le casting est composé de jeunes comédiens et comédiennes tout droit sortis d'un épisode de "Beverly Hills", mais qui jouent encore plus mal que les acteurs de la série mentionnée. Ils sont incapables d'exprimer la moindre émotion crédible.
La palme d'or du plus mauvais jeu d'acteur revient à Chace Crawford qui joue le personnage principal, offrant la même expression tout le long du film (certes, il est censé jouer un personnage renfermé mais...).
Seul le frère de Macaulay Culkin, Rory Culkin arrive à exprimer quelque chose à l'écran.
"Twelve" s'avère au final être un film prétentieux, brouillon, et naïf qui n'arrive pas à la hauteur de ses prétentions. A fuir.
Définition
Couleurs
Compression
Format Vidéo
HD 1080p
Format Cinéma
1.85:1
Le film a été tourné avec la caméra numérique Red One 4K, et offre un bel rendu à l'ensemble de l'image, et ceci malgré un encodage en VC-1 à très faible débit, 15Mbps, 20Mbps max.
La photographie du film est typique des films d'aujourdh'ui, avec une image très contrastée, des noires profondes, et des couleurs hyper saturées. Les scènes nocturnes ne présentent pas de bruits numériques.
Aucun problème de compression à signaler. Que ce soit sur les plans d'ensembles, ou les gros plans, la définition est remarquable.
Une très bonne image offerte par la Gaumont.
Langues
Film
Bonus
Com
Spatial
Dyn
Surr
L'éditeur a eu la bonne initiative d'offrir du DTS HD MASTER 5.1 pour la V.O ainsi que pour la VF (chose assez rare chez les éditeurs de Blu ray pour le signaler).
Les deux pistes offrent une écoute de qualité, et une immersion efficace dans le film. Les dialogues sont clairs et précis. La musique est très présente ainsi que les bruits environnants de la ville de New York, ne laissant aucun moment de répit aux enceintes. Et même le caisson de basse est sollicité de temps à autre tout le long du film.
Le film propose également une piste DTS HD MASTER 2.0 à la fois en V.O et en VF pour les personnes qui n'ont pas d'installations 5.1.

Supléments
Menus

Sérigraphie

Packaging
Durée Bonus :
0 min

Livret

Bande annonce

Biographies

Making of

Documentaire

Interviews
Com. audio

Scènes sup

Fin alternative

Galerie de photos

Story board

Multi-angle

Liens internet

Interface Rom

Jeux intéractifs

Filmographies

Clips vidéo

Bêtisier

Bonus Cachés

Court Metrage
- Making of : d'une durée de vingt minutes, c'est un making of formaté qui voit l'intervention du réalisateur Joel Schumacher, du producteur, les comédiens et de l'auteur du roman "Twelve". La plus grande partie du making of est consacré au roman et à son auteur.
- Bande annonce cinéma du film.