NCIS : qu’est-ce que c’est ? Le Naval Criminal Investigative Service est le service chargé des enquêtes et des investigations criminelles chez les Marines, autant dire des hommes de terrain aguerris et des scientifiques rompus aux dernières technologies, soit un cadre idéal pour échafauder une série télévisée haute en couleur, riche en suspense et constellée de personnages plus charismatiques les uns que les autres.
Sortie en coffret dvd le 25 mars 2015
Au début était “NCIS : enquêtes spéciales”
De fait, quand NCIS : enquêtes spéciales débarque sur les écrans de télévision américains en septembre 2003 (mars 2004 pour la France), le succès est immédiat, en faisant rapidement la série la plus regardée du pays, avec des moyennes allant jusqu’à près de 20 millions de téléspectateurs par épisode !
En France, le succès est tout aussi impressionnant, la série devenant numéro 1 sur M6 avec plus de 4 millions de fidèles, sans oublier un coffret DVD qui s’est déjà écoulé à plus d’un demi-million d’exemplaires ! NCIS : enquêtes spéciales a même détrôné Mentalist en devenant la série la plus regardée au monde, avec 57,6 millions de téléspectateurs (pour 66 pays), selon un sondage réalisé dans le cadre du Festival de Monte-Carlo, qui est un peu l’équivalent de Cannes pour les séries TV.
Des chiffres qui donnent le tournis et expliquent la création de deux séries spin-offs, NCIS : Los Angeles, lancé en 2009, puis NCIS : New Orleans, en septembre dernier (bientôt sur nos écrans), spin-offs où rien non plus n’a été laissé au hasard, avec comme objectif principal avéré une indéniable constance qualitative.
Les particularités de NCIS : Los Angeles
La série se concentre autour de l’Office des projets spéciaux (OPS), une division du NCIS basée dans la cité des anges et spécialisée dans les opérations d’infiltration. De fait, l’accent y est tout particulièrement mis sur l’action, tout en restant une excellente – et indiscutablement gagnante – formule combinée de thriller et d’atmosphère policière.
Comme pour sa série mère, avec laquelle les liens sont évidents, jusque dans l’incursion de certains personnages (Leon Vance, le directeur du NCIS ou encore Abby Sciuto) de l’une vers l’autre (et inversement !), les saisons de NCIS : Los Angeles se suivent et ne se ressemblent pas tout à fait, l’évidente recherche d’une certaine idée de la perfection narrative et d’un rendu de grande qualité lui permettant de ne jamais s’essouffler et d’attirer toujours autant de téléspectateurs, un exploit suffisamment rare dans le monde toujours plus encombré des séries télé pour être souligné. NCIS : Los Angeles atteint d’ailleurs son 100e épisode dans cette saison 5 et la série arrive en 9e position des séries les plus appréciées des Français !
Des acteurs charismatiques pour une équipe de choc
Chris O’Donnell (le Robin de Batman forever et Batman & Robin, vu aussi dans Grey’s Anatomy ou Mon oncle Charlie) est G. Callen, le chef d’équipe de l’OPS, véritable tête brûlée, mais aussi parfait caméléon qui change d’identité à chaque nouvelle mission, au détriment d’une quelconque vie privée.
LL Cool J (pour Ladies Love Cool James, tout un programme !) est l’agent Sam Hanna, un ancien nageur de combat des NAVY SEAL, spécialisé dans la surveillance. L’acteur rappeur a trouvé là son rôle le plus consistant, après de nombreuses apparitions remarquées (S.W.A.T., Rollerball, Dr House…).
Daniella Rush (dont c’est le premier rôle d’importance) est l’agent Kensi Blye. Elle parle plusieurs langues, sait lire sur les lèvres et connaît le Morse, elle est experte en infiltration et a de solides bases en arts martiaux, ce qui est un plus non négligeable.
Eric Christian Olsen (The Thing, Pearl Harbor, Le Plan B…) est Marty Deeks. Le jeune acteur qui monte qui monte a rejoint l’équipe à la fin de la saison 1 pour former un binôme avec Kensi Blye. Détective pour le LAPD, il est aussi agent de liaison auprès du NCIS.
Linda Hunt (FBI portés disparus, The Unit : Commando d’élite…) est Henrietta Lange, appelée aussi “Hetty” par ses subordonnés. Responsable des opérations au NCIS, sa carrure est inversement proportionnelle à sa petite taille et son autorité ne lui fait jamais défaut.
Barrett Foa (The Closer, Entourage…) est Eric Beale. Il est l’analyste et l’opérateur technique de l’OPS et, par conséquent, le lien principal entre le siège de l’Office et les différents agents sur le terrain.
À cela s’ajoutent des guests de haute tenue, comme lors de cette cinquième saison notamment, avec ni plus ni moins que Danny Trejo, acteur fétiche de Robert Rodriguez (Une nuit en enfer, Machete…), Michelle Trachtenberg (Buffy contre les vampires ou encore Gossip Girl) et Dylan Bruno (Numb3rs, Carrie 2 : La Haine…).
Quelques surprises (parmi d’autres)
Les scénarios de la saison 5 sont tortueux comme jamais, allant parfois jusqu’à une complexité tout arachnéenne. Un exemple : dans l’épisode “Reznikov. N”, G. Callen se voit exclu d’une mission relative à une affaire de kidnapping, mène son enquête en solo et découvre finalement que la victime pourrait bien être son père !…
Attentats, faux semblants, infiltrations dangereuses, escroqueries diverses, affaires de terrorisme, meurtres mystérieux, disparitions de membres de l’équipe, crashs, vol de matériel stratégique ou encore piratage informatique des systèmes réputés inviolables de la CIA et du FBI… Rien n’est épargné aux différents membres de l’Office des Projets Spéciaux, pour notre plus grand plaisir sans cesse renouvelé !
Spécifications techniques o 6 DVD
o 24 épisodes de 42 min
o 39,99 € PVC
o Langues : français, anglais, allemand
o Sous-titres : français, allemand, néerlandais, anglais
BONUS o Joyeuse 100e !
o Développements inattendus
o Les scénaristes
o Dépeindre l’Afghanistan
o LL Cool J – No crew is superior (Remix)
o Scènes coupées