Wall Street : l'argent ne dort jamais
Titre Original
Wall Street: Money Never Sleeps
Date de sortie
08/02/2011
Producteurs
Edward R. Pressman
Compositeur
Craig Armstrong
Synopsis
Wall Street, New York : en plein krach boursier de 2008, un jeune trader, Jacob Moore, est prêt à tout pour venger son mentor, que d'obscures tractations financières ont poussé au suicide. Il demande de l'aide à Gordon Gekko, le meilleur - et le pire - des gourous de la finance, qui vient de sortir de 20 ans de prison pour délit d'initié. Jacob va apprendre à ses dépens que Gekko reste un maître de la manipulation, et que l'argent ne dort jamais.
Critique Subjective
Wall Street
Dur de parler d’une suite sans de référer à l’orignal. Dans ce premier opus, Douglas interprétait un requin sans scrupules prêt à tout pour gagner …de l’argent . Un salaud magnifique en quelque sorte. Et la candeur du jeune Charlie Sheen qui découvrait un monde sans scrupules avec plaisir et naïveté contribuait au charme de l’ensemble sans compter qu’à la fin le méchant était puni et tout rentrait dans l’ordre pour la morale.
« Greed is Good »
Mais voilà 15 ans après, le cynisme a gagné du terrain et le monde a basculé dans la crise des subprimes dont Oliver Stone entend se faire le détracteur et le pourfendeur mais cet aspect du film ne fonctionne pas . D’emblée Gekko/ douglas nous est présenté comme sortant de prison et sur la touche, le jeune premier est joué par Shia Leboeuf lui-même marchand du temple et donc Trader dans l’antre du mal. Mais il sort avec la fille de Gekko. A vouloir courir trop d ‘intrigues, le retour de Gekko, la liaison sentimentale, le retour du père prodigue, la dénonciation de la spéculation, un méchant très méchant, Stone perd en efficacité d’intrigue et on a du mal à accrocher à tout ceci quii manque singulièrement d’enjeux finalement.
Un dernier mot
Très bien tourné et bénéficiant d’une bande son sans faille ,Oliver Stone sait faire preuve d’un certain savoir faire pour produire un film regardable pas la fable ni le brulot qu’il avait espéré
Définition
Couleurs
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
2.40:1
Aucune surprise pour ce blu Ray qui ; comme tous les Blu Ray de master récent, est brillant et de très bonne qualité. Les images de New York, la sur impression des chiffres de la bourse sont pardfaites à la fosi en terme de couleur que de profondeur d’écran
Langues
Film
Bonus
Com
Spatial
Dyn
Surr
Hélas, la qualité de traitement du son ne suit pas la même démarche qualitative que l’image. En effet, le Blu Ray a trop tendance à suivre les mêmes errances que le DVD à ses débuts , je m’explique. On peut considérer qu’un Blu Ray Hd récent se devrait de comporter une piste son en Vf et en Vo en Hd, ce n’est pas hélas pas assez souvent le cas, comme ici. La vf est en DTS, de bon niveau certes mais indigne d ‘un tel écrin, alors que la Vo est en DTS Hd, et cette différence de traitement se fait cruellement sentir à l’écoute et à la comparaison est intraitable : la vo a de l’impact, de la densité et de la profondeur. La vf fait e qu’elle peut et est de bon niveau mais met les voixsont trop en retrait et souffre par rapport à son homologue.

Supléments
Menus

Sérigraphie

Packaging
Durée Bonus :
65 min

Livret

Bande annonce

Biographies

Making of

Documentaire

Interviews
Com. audio

Scènes sup

Fin alternative

Galerie de photos

Story board

Multi-angle

Liens internet

Interface Rom

Jeux intéractifs

Filmographies

Clips vidéo

Bêtisier

Bonus Cachés

Court Metrage
Commentaire audio de Oliver Stone
Entretien avec Oliver Stone et les acteurs (15'49) : Petite rencontre sympa entre les acteurs avec un Josh brolin lachant blague sur blague d’un ton cynique.
Money, Money, Money : Grandeur et décadence de Wall Street (50'29) : documentaire interessant et didactique autour de la bourse
Scènes inédites et intégrales
Fox Movie Channel présente "Dans la peau du personnage avec..." Plusieurs interviews : Michael Douglas (5.35), Shia LeBeouf (4.21), Carey Mulligan (5.04), Josh Brolin (5.52), et Frank Langella (5.20).