Un matin dans les forêts de l’Inde, Bagheera, la panthère noire, fait une étrange découverte : un petit garçon abandonné auprès des débris d’un canoë. Elle emporte le petit d’homme et le confie à une famille de loups qui s’engage à traiter l’enfant comme un louveteau. On l’appellera Mowgli.
Dix années passent. Et voilà que Shere Khan, le tigre qui hait les hommes, approche du territoire des loups. Il ne fait de doute pour personne que Mowgli sera sa première victime. Les loups décident d’éloigner l’enfant et de le confier aux hommes du village le plus proche. C’est Bagheera qui est chargée de l’y conduire.
Pendant leur périple, tous deux feront de nombreuses rencontres, parfois redoutables : Kaa, le python, les hypnotisera tandis que King Louie, le roi des singes, kidnappera le jeune garçon dans l’espoir de ravir aux hommes le secret du feu. Heureusement, des amis les aideront à trouver leur chemin, comme le colonel Hathi à la tête de son troupeau d’éléphants, le quatuor de vautours, et surtout Baloo, l’ours insouciant et jovial, qui deviendra le grand ami de Mowgli...
Il a bien sûr était dit beaucoup de chose sur cette adaptation très libre du roman de Rudyard Kipling par Walt Disney et son équipe, il serait donc inutile d’en remettre une couche supplémentaire tant le film est inscrit dans la mémoire collective, par une histoire, d’une humanité rare, qui rappelle que les différences ne sont jamais insurmontable dans la nature, par une musique entrainante qui dès les premières notes donne envie de bouger et de sauter dans tous les sens, comme « Il en faut peu pour être heureux » ou encore « Je veux être un homme comme vous », et enfin par des graphisme soignées, qui devinrent de façon pereine la marque de fabrique du studio.
Alors on ne peut que vous conseiller à nouveau de découvrir les aventures de Mowgli, Bageehra, Baloo, King Louis, Kah et le redoutable Shere Khan. Dans une aventure pétillante, à la musique envoutante et entrainante qu ne peut pas vous laisser indifférent.