L'un des personnages les plus populaires et les plus attachants du monde merveilleux de Walt Disney fait ce mois-ci sa première apparition en haute définition Disney Blu-ray : BAMBI. Communiqué de presse pour cette sortie programmée le 2 mars 2011.
Un chef-d'œuvre du film d'animation qui fête cette année ses 69 ans d'existence, mais dont l'idéal écologique est tellement actuel qu'il semble n'avoir été réalisé que ces derniers mois. Le temps ne peut avoir de prise sur BAMBI, véritable hymne à la nature et à la vie qui a marqué durablement l'inconscient collectif. Quel enfant n'a pas été ému par les maladresses du jeune faon, éclaté de rire aux facéties de son ami Panpan ou été bouleversé par la mort de la gracieuse maman...
Cinquième long métrage d'animation des studios Disney, BAMBI n'a pas connu un succès immédiat, préoccupations de la Seconde Guerre Mondiale obligent. Mais la reconnaissance du temps a fait son œuvre, et tout le monde salue aujourd'hui l'extrême soin et la minutie apportés aux détails des sous-bois et aux traits caractéristiques des animaux, donnant ainsi un sentiment d'authenticité rarement atteint dans l'univers du dessin animé.
A l'instar de nombreuses autres productions de légende signées Disney, BAMBI bénéficie d'une sortie « édition spéciale Blu-ray + DVD » permettant aux personnes qui remettraient à plus tard leur achat de lecteur Blu-ray de s'équiper dès maintenant en technologie haute définition, tout en ayant la possibilité d'apprécier le film en DVD sur leur lecteur habituel. Une somptueuse édition riche en bonus d'époque et en contenus exclusifs. Un must pour tous les vidéophiles !
Synopsis
La terre s'éveille sous les rayons du soleil printanier. Une grande effervescence s'empare des hôtes de la forêt : un Petit Prince vient de naître. Tous les animaux des alentours viennent féliciter l'heureuse mère et admirer le jeune faon qui s'éveille à la vie. Il s'appellera Bambi...
Sous la vigilante protection de sa mère, le faon explore son futur royaume. Ses pattes sont encore fragiles, sa démarche incertaine, mais sa curiosité infinie. Candide, il subit sans broncher les facéties du lapin Panpan, et prend pour une Fleur... un putois au frais minois qui deviendra bientôt l'un de ses meilleurs amis.
Bambi rencontre aussi Féline, une jeune biche, et, une fois passé le premier accès de timidité, elle devient une merveilleuse compagne pour gambader dans la prairie.
En s'ébattant dans la prairie, Bambi croise pour la première fois son père, le Grand Prince de la Forêt, vénérable cerf devant lequel s'inclinent tous les animaux. C'est au cours de cette même sortie qu'il entend pour la première fois d'inquiétants coups de feu tirés dans le lointain par des chasseurs...
Notes de productions
« De tous les films que j'ai pu faire, BAMBI a été le choix le plus heureux. Je ne vois pas d'histoire ou de sujet qui puisse toucher les gens davantage[]. » Walt Disney
69 ans après sa sortie, BAMBI continue d'éblouir par sa splendeur visuelle et la magie de ses personnages. De tous les grands classiques de Walt Disney, c'est sans doute celui qui a le mieux capté la beauté, les drames de la vie animale et la poésie de la forêt. Tiré du roman éponyme de Félix Salten, BAMBI est une fable sur les cycles de la nature, les saisons et la lutte de chacun pour survivre. Le héros est un jeune daim que l'on suit de sa naissance à l'âge adulte.
Il a fallu plus de trois ans pour adapter le roman, créer les personnages, établir leurs relations et élaborer le scénario. La réalisation elle-même demanda deux ans de travail supplémentaires. En réalisant BAMBI, Walt Disney ouvrit une nouvelle étape dans sa production et dans l'histoire du genre : "Nous placions beaucoup d'espoirs et d'ambitions dans ce projet", confiait-il. "J'ai énormément de respect pour la nature et je pense que l'on peut beaucoup apprendre de son observation".
AU PLUS PRES DU NATUREL
Disney réunit une équipe des meilleurs artistes du moment sous la direction de Frank Thomas, Ollie Johnston, Eric Larson et Milt Kahl (quatre des neuf "vétérans" de son équipe), ainsi qu'un certain nombre de scénaristes de son studio. "J'ai dû en quelque sorte les "renvoyer à l'école"", aimait à raconter Disney. "Il leur a fallu perfectionner au plus haut degré les connaissances de base qu'ils avaient acquises dans les cours de dessin concernant l'anatomie et le comportement des animaux".
Des artistes et des enseignants réputés apportèrent leur aide aux animateurs. Le professeur de dessin Don Graham leur fit une série de conférences sur l'anatomie et la représentation des animaux. Rico LeBrun, célèbre peintre animalier, leur fit étudier les muscles et ligaments des daims sur une carcasse et leur fournit aussi deux volumes de dessins où ils puisèrent leur inspiration. Le naturaliste et animateur Bernard Garbutt les aida également à rendre avec plus de réalisme les animaux du film.
Deux faons vivants (des daims rouges de Virginie) furent offerts au studio par la "Development Commission" du Maine. Surnommés Bambi et Féline, ils furent placés dans un enclos à proximité du bâtiment des animateurs. Ils furent bientôt rejoints par deux putois et une véritable ménagerie d'oiseaux, écureuils, tamias rayés et lapins. Le hibou qui nichait dans le studio servit avec bonne grâce de modèle, en particulier après le coucher du soleil.
Afin de reproduire fidèlement le décor forestier, Maurice Day fut chargé d'un long safari photographique dans les régions boisées du Maine. Au cours d'une équipée de cinq mois, il parcourut plusieurs centaines de kilomètres à pied dans les montagnes sauvages de Kadahdin, dans la giboyeuse Réserve Baxter et dans les forêts de Damariscotta. Il en rapporta des volumes entiers de dessins extrêmement détaillés et de photos de la nature dans toute sa beauté. Ces reportages exceptionnels servirent, des années plus tard, à élaborer la fameuse série documentaire Disney « C'est la vie » / « True Life Adventure ».
L'équipe Disney traduisit à l'écran l'abondante iconographie de Maurice Day grâce à 450 décors, plusieurs effets nouveaux d'animation et l'usage d'une caméra "multiplane" qui donnait l'illusion du relief et de la profondeur de champ. Dans la séquence d'ouverture, neuf niveaux de décors furent ainsi superposés à l'aide de ce procédé : au fil d'un long travelling, des troncs d'arbres semblent soudain obstruer la vue du spectateur; des feuilles palpitent dans la brise et leur chute est enregistrée suivant différents degrés de netteté; un ruisseau brillant coule à l'arrière-plan, tandis que des ombres épaisses parcourent le premier plan, avant de disparaître hors champ...
AUX ORIGINES DU PROJET
Dès qu'il lut le roman de Félix Salten en 1935, Walt Disney y vit la matière idéale du second long métrage animé du studio, après BLANCHE NEIGE ET LES SEPT NAINS. En 1937, une unité BAMBI fut installée dans les studios. PINOCCHIO et FANTASIA étant eux aussi en pleine production, les locaux ne tardèrent pas à être trop exigus. En 1939, dès que les nouveaux studios Disney furent achevés à Burbank, l'unité BAMBI fut la première à occuper officiellement les lieux.
La première tâche fut d'adapter le roman de Salten qui traitait aussi bien de la lutte pour la vie chez les animaux que du conflit entre l'homme et l'animal. "Walt ne savait pas trop comment aborder le sujet", se souvient le superviseur de l'animation Frank Thomas (décédé en 2004). "Le livre était en grande partie une philosophie de la vie dans la forêt, impossible donc à traduire au cinéma. Il nous a fallu beaucoup de travail pour la transformer en scénario de film d'animation. Le fait que nous y soyons parvenus est en soi un miracle et fait toute l'originalité de BAMBI".
Dès le début, Walt Disney sut que l'une des principales difficultés serait de faire, à partir d'animaux représentés avec réalisme, des personnages à part entière. Le problème ne s'était pas posé pour BLANCHE NEIGE ET LES SEPT NAINS et PINOCCHIO, où les animaux étaient traités de façon plus "cartoonesque".
Les animateurs commencèrent par réduire les dialogues à 900 mots environ. Les mouvements des lèvres des animaux devaient s'harmoniser avec leurs déplacements. En outre, la majeure partie du dialogue serait le fait d'animaux tels que le lapin, le putois, le hibou, dont la bouche et la personnalité sont les mieux adaptées à la parole. Lorsqu'un personnage tel que le Grand Prince parle, une brume masque souvent le mouvement de ses babines.
Un autre problème était de faire en sorte que les pattes de BAMBI ne ressemblent pas à des baguettes de tambour. Pour cela, on mit en place un impressionnant dispositif de caméras tout autour de l'enclos du studio afin d'enregistrer la croissance, les habitudes et les cabrioles des jeunes faons. Malgré le passage au ralenti de ces films, il aura fallu crayonner bon nombre d'esquisses et de dessins avant de parvenir à un résultat satisfaisant.
Décédé en 2000, l'animateur Marc Davis fut plus particulièrement chargé d'élaborer la personnalité de chaque animal : "Je me suis plongé dans un ouvrage sur le comportement enfantin, et j'ai commencé à adapter toutes les expressions des petits d'hommes aux petits d'animaux. Cela m'aida beaucoup à définir leur caractère".
REFLEXIONS SUR UN CHEF-D'OEUVRE
Tous ceux qui travaillèrent sur BAMBI se souvinrent avec émotion de la passion qu'ils mirent dans ce projet, et de leur fierté du résultat atteint. Pendant longtemps, ils parlèrent des personnages qu'ils avaient créés comme s'il s'était agi de leurs propres enfants, et évoquèrent avec émotion l'esprit pionnier, l'extraordinaire camaraderie et le bouillonnement créatif qui présidèrent l'entreprise. Les superviseurs de l'animation Frank Thomas et Ollie Johnston étaient de ceux-là.
« L'histoire de BAMBI est magnifique et les relations entre les personnages y sont particulièrement chaleureuses », se plaisait à raconter Ollie Johnston, décédé en 2008. « Walt a décidé d'atténuer l'aspect trop cruel et darwinien du roman. Il voulait que les spectateurs aiment ses personnages. » Et Frank Thomas d'ajouter : « Ce film est le plus réaliste de tous ceux que nous avons crées. Les autres ont certes d'autres qualités comme l'humour ou la fantaisie, mais dans BAMBI, on parle du danger de la mort et de la nécessité de se battre pour survivre. »
L'une des séquences les plus mémorables du film est celle de la mort de la mère de Bambi tuée par les chasseurs. Exemple classique de litote, l'épisode est décrit avec beaucoup de discrétion et de subtilité, et pourtant son impact sur les spectateurs est indéniable et extrêmement durable. Ollie Johnston reconnaissait : « Aucun des films Disney n'a autant frappé le public, particulièrement à travers cette scène. Cet épisode était inévitable; il n'y aurait ni fée, ni prince charmant pour la ramener à la vie. Et ce drame rendait d'emblée crédible tout ce qui suivait. En outre, il renforçait l'identification du spectateur à BAMBI. »
Malgré son climat dramatique et pathétique, BAMBI fait une large place aux moments de pure comédie. L'animateur Marc Davis se souvient : « Le soir de la première, pendant la scène où Fleur tombe amoureuse, la réaction du public fut extraordinaire. Jamais je n'avais entendu des gens rire d'aussi bon coeur au cinéma. Ce fut le plus grand moment de ma carrière; j'en fus ému aux larmes. »
Finalement, bien que, lors de sa première sortie, BAMBI n'ait connu qu'un succès modeste au box-office (à cause de la Seconde Guerre Mondiale et de la fermeture des marchés étrangers), il demeura le film préféré de Walt Disney. Lorsqu'il rattrapa son coût, grâce à sa ressortie dans les années 50, Disney fut transporté de joie. Et Frank Thomas de conclure :« Disney m'a abordé dans le hall du studio et m'a dit "Hé! BAMBI a remboursé ses dettes aujourd'hui". Jamais il n'avait perdu confiance. Il savait qu'un jour le film connaîtrait le succès. »
Fiche artistique (avec les voix de):
Bambi enfant Célim MOUHOUBI
Bambi adulte Bernard BRIEUX
Le hibou Gérard HERNANDEZ
Panpan enfant Dimitri ROUGEUL
Panpan adulte Emmanuel KARSEN
Fleur enfant Jehan PAGES
Fleur adulte Emmanuel CURTIL
Féline enfant Morgan FLAHAULT
Féline adulte Aurélia DAUSSE
La maman de Bambi Marie-Christine DARAH
Fiche technique:
Réalisateur David D. HAND
Directeur littéraire Perce PEARCE
Scénariste et adaptateur Larry MOREY
D'après le roman de Felix SALTEN
Compositeurs Frank CHURCHILL & Edward PLUMB
Co-réalisateurs James ALGAR, Bill ROBERTS
Norman WRIGHT, Sam ARMSTRONG
Paul SATTERFIELD & Graham HEID
Direction musicale Alexandre STEINER
Année : 1942 /// Durée : 1h09
Biographies:
Walt DISNEY (producteur)
Né dans une modeste famille de Chicago le 5 décembre 1901, Walter Elias Disney se passionne dès son enfance pour le dessin. Au début des années 20, il quitte sa famille installée à Kansas City pour se rendre à Hollywood. Là, il s'associe avec un jeune dessinateur, Ub Iwerks et crée 2 séries de dessins animés : ALICE AU PAYS DES MERVEILLES et OSWALD LE LAPIN. En octobre 1923, il fonde avec son frère Roy les Disney Brothers Studios, dont l'avenir, de l'avis de tous, reste au départ très incertain.
En 1928, le succès arrive avec l'arrivée de Mickey Mouse dans STEAMBOAT WILLIE, le premier dessin animé sonore synchronisé. En 1929, Walt présente une série de dessins animés musicaux, les SILLY SYMPHONIES, dont le plus célèbre est sans doute LES 3 PETITS COCHONS. 3 ans plus tard, Walt Disney entreprend la production du premier long métrage animé, BLANCHE-NEIGE ET LES 7 NAINS.
Après de nombreuses difficultés financières, le film voit le jour en décembre 1937. C'est un triomphe. Dès lors, les longs métrages se succèdent : PINOCCHIO (1939), FANTASIA (1940), DUMBO (1941) et BAMBI (1942). Cependant, la guerre ralentit peu à peu les activités. Sans jamais avoir cessé la production de courts métrages, Walt Disney reprend en 1949 la production de longs métrages en dessins animés : CENDRILLON, ALICE AU PAYS DES MERVEILLES (1951), PETER PAN (1952)...
Au fil des années, les studios Disney ont toujours cherché des moyens d'affiner leur technique à chaque nouveau film. Ils ont ainsi apporté à l'animation le son (avec STEAMBOAT WILLIE), la couleur (avec la "Silly Symphony" DES FLEURS ET DES ARBRES), le relief (avec la multiplane dans le court métrage LE VIEUX MOULIN), le long métrage (avec BLANCHE NEIGE ET LES 7 NAINS), la stéréophonie (avec FANTASIA) ou bien encore le cinémascope (avec LA BELLE AU BOIS DORMANT). LE LIVRE DE LA JUNGLE est le dernier dessin animé produit et réalisé par Walt Disney qui disparaît en 1966 et qui n'aura jamais connu le triomphe mondial que le public a réservé au film.
Frank THOMAS (chef animateur)
Né en Californie en 1912, Frank Thomas étudie le dessin à Stanford avec Pruit Carter, un célèbre illustrateur américain. Il se présente aux Studios Disney en 1934 et débute comme intervalliste sur la partie de tennis du célèbre LIEVRE ET LA TORTUE. Il participe ensuite à la création du premier long métrage d'animation, BLANCHE NEIGE ET LES 7 NAINS, partageant avec d'autres collaborateurs l'animation des nains. Walt DISNEY lui confie ensuite la responsabilité de nombreux personnages parmi lesquels PINOCCHIO, BAMBI et Panpan, la méchante marâtre de CENDRILLON, la serrure d'ALICE AU PAYS DES MERVEILLES, LA BELLE ET LE CLOCHARD, les 3 fées et LA BELLE AU BOIS DORMANT, Madame Mim et les écureuils de MERLIN L'ENCHANTEUR, Pongo dans LES 101 DALMATIENS, LES ARISTOCHATS, ROBIN DES BOIS et BERNARD ET BIANCA. Frank Thomas a co-écrit deux ouvrages avec Ollie Johnston : "Illusion of life" et "Too funny for words".
Ollie JOHNSTON (chef animateur)
Né en 1912 en Californie, Ollie Johnston étudie très jeune le dessin et se passionne pour l'illustration. Sur les conseils de son ami Frank Thomas, il entre aux Studios Disney en 1935 comme assistant de Fred Moore sur MICKEY BRAVE PETIT TAILLEUR, puis sur BLANCHE NEIGE ET LES 7 NAINS. Il devient animateur à part entière pour le personnage de PINOCCHIO. Pour la séquence de "la Symphonie Pastorale" de FANTASIA, il anime de nombreuses centaurettes. On lui doit la composition de BAMBI, Monsieur Mouche dans PETER PAN, ALICE AU PAYS DES MERVEILLES, les trois fées de LA BELLE AU BOIS DORMANT, MERLIN L'ENCHANTEUR, Pongo dans LES 101 DALMATIENS, Baloo et Mowgli dans LE LIVRE DE LA JUNGLE, le Prince Jean dans ROBIN DES BOIS, Orville dans LES AVENTURES DE BERNARD ET BIANCA, ROX ET ROUKY.
Bonus Blu-ray et DVD:
BONUS DVD et Blu-ray BAMBI 2
* Jeu : « Cache-cache Panpan » (partie de cache-cache interactive entre Panpan et ses sœurs)
* Activité : « Comment dessiner Panpan » ou la leçon de dessin d’Andreas Deja
* Mini making of : « L’héritage de Bambi » par ceux qui ont créé ce nouveau film
* Infos et anecdotes apparaissant de façon interactive à l’écran
* Chanson supprimée : « Sing the Day / Chantons la journée »
Format : 1,78 – 16:9
Langues : anglais et français en Dolby Digital 5.1, français en DTS
(anglais en DTS-HD master audio 5.1 ; français en DTS 5.1 pour le Blu-ray)
Sous-titres en anglais et français
Bonus spécifiques Blu-ray :
* Jeux :
« Cache-cache Panpan » (partie de cache-cache interactive entre Panpan et ses sœurs)
« Le jeu forestier de Maître Hibou » : trois mini jeux pour s’amuser à compter
BONUS DVD BAMBI
Disque 1 : Film + Commentaire audio : Les notes de travail envoyées par W. Disney aux animateurs
Disque 2 : 2 scènes coupées : Nourriture hivernale et Première neige + 5 jeux : Aventures en forêt, Disneypédia sur les amis de Bambi, Psychotest sur les saisons, Histoire à lire et Forêt virtuelle + Les coulisses de la production : La naissance d’un prince (making of), La restauration, 1942 ou l’année de Bambi, La direction artistique, Les premières images de Bambi 2, Extrait de l’émission « les trucs de notre métier », Les archives Disney, La bande annonce cinéma + La recherche graphique…
Format : 1,33 – 4:3 /// Sous-titres en anglais et français
Langues : anglais et français en mono, Dolby Digital 5.1 ou français en DTS
BONUS Blu-ray BAMBI
Disque 1 : Film + Commentaire audio : Les notes de travail envoyées par W. Disney aux animateurs
Disque 2 :
* Mode d’affichage Disney View (permettant l’animation des bandes noires latérales sur les téléviseurs 16/9)
* 4 scènes coupées dont les 2 dernières inédites : « Nourriture hivernale » ; « Première neige » ; « Les deux feuilles » ; « Bambi coincé sur un roseau »
* Chanson supprimée : « Twitterpated »
* Making of en 6 parties : La naissance d’un prince
- L’histoire : un conte
- Les personnages : des modèles vivants
- Les acteurs : des voix pour les animaux
- La direction artistique : inspirée par la forêt
- La musique : une ode à la nature
- L’histoire : un retour aux sources
* La bande annonce cinéma originale (1942)
* Court-métrage « Le vieux moulin » issu des Silly Symphonies
* Les archives Disney ou tous les trésors qu’a engendré Bambi
* Extrait de l’émission « Les trucs de notre métier » sur les effets spéciaux
* Le grand livre Disney du savoir : Bambi
* Galeries interactives : décors, personnages, spectres chromatiques…
Format : 1,33 – 4:3 /// Sous-titres en anglais et français
Langues : français 7.1 DTS HD HR et anglais 7.1 DTS HD