Ingmar Bergman Carnets 1955-2001





VOUS AVEZ ADORE LES CARNETS D'OZU... VOUS ALLEZ DEVORE LES CARNETS DE BERGMAN ! INGMAR BERGMAN, L’UN DES PLUS GRANDS CINEASTE DE L’HISTOIRE DU CINEMA. SES CARNETS INTIMES RACONTENT L'HOMME ET LE RÉALISATEUR. UN VOYAGE AU COEUR DE SON UNIVERS. Du Septième Sceau (1957) à Sarabande (2004), en passant par Persona (1966), Sonate d’automne (1978) ou Fanny et Alexandre (1982), ces Carnets inédits d'Ingmar Bergman nous dévoilent les coulisses mentales de ses plus célèbres œuvres, mais aussi de projets de films jamais réalisés, au gré de dialogues, de scènes et d’anecdotes où la réalité et les souvenirs se mêlent à la fiction et au rêve. Tour à tour journal intime et exploration du cœur palpitant de la création, ces Carnets nous livrent un autoportrait poignant, celui d’un artiste au quotidien, avec ses moments d’euphorie et d’abattement, à la recherche éperdue de la vérité enfouie, brute et intime, des êtres et des sentiments.


Quoi de mieux pour connaître un réalisateur que de se plonger dans ses propres réflexions, dans ses propres évolutions et ses propres doutes, et bien c’est ce que propose l’éditeur Carlotta, qui, en plus de nous faire découvrir des œuvres de réalisateurs marquant du monde entier, a décidé d’éditer les carnets de réalisateur emblématiques. Ce fut le cas de Yasujiro Ozu, grand réalisateur japonais qui notait toutes ses idées et parfois ses pensées intimes qui donnèrent ensuite les fikms qui ont fait sa renommée : « Herbes Flottantes » (1959), « Voyage à Tokyo » (1953) ou encore « Le Goût du Saké » (1962). Dans sa lancée, l’éditeur a décidé de publier les carnets d’un autre réalisateur emblématique du cinéma mondial : Ingmar Bergman.
Ce qui saute aux yeux du lecteur, tout de suite, c’est la manière dont le réalisateur consigne ses idées.  Comme si nous pénétrions l’esprit créatif de Bergman, nous voyons des histoires prendre formes, d’abord dans une idée, contredite par une autre, puis parfois, rarement, des dialogues qui ne sont là que pour donner une direction à suivre, ou à abandonner. Chaque fois le réalisateur lance son idée, puis ensuite peut y mettre des annotations, pour enfin commencer à rencontrer ses personnages et initier une première ébauche qui va par la suite s’affiner. Pour donner ensuite un résultat que le spectateur finira par découvrir sur grand écran. 


La grande force de ces carnets qui parcourent une période allant de 1955 à 2001, c’est de découvrir le processus créatif de ce réalisateur suédois qui fit vibrer le monde avec des œuvres aussi abouties que « Le septième sceau » (1957), « Personna » (1966), « Sonates d’automne » (1978), « Fanny et Alexandre » (1982) ou encore « Sarabande » en 2004. Pour les cinéphiles ce cadeau est une pièce indispensable pour mieux comprendre l’œuvre du maitre et le cheminement qu’il lui aura fallu pour arriver au film.


Editeur : Carlotta   Dimensions : 14,6 cm x 20,46 cm    1 000 pages Prix Conseillé 59€