un Mammouth terrifie une petite ville des Etats-Unis.
Parfois, on se demande, où les scénaristes vont chercher des idées aussi surprenantes que celle de faire revivre un mammouth dans une petite ville des Etats-Unis. Et puis alors surtout, comment peuvent-ils penser que cela puisse se passer dans ce pays de nature si tranquille que l’on oublierait presque qu’il existe ? Car, il y a du génie dans ce film, des surprises à chaque plan, une inventivité débordante dans chaque recoins de l’intrigue, une telle foison de contre hypothèse, que l’on ne parvient pas à comprendre comment un « faiseur de chef-d’œuvre de finesses » tel que Roland Emmerich, n’y ait pas pensé plus tôt. Et oui car le film est hypnotisant de bout en bout, on trépigne d’impatience à l’idée de savoir ce qu’il va se passer, et surtout on sursaute à chaque apparition de ce mammouth qui ferait passer le « King Kong » de Peter Jackson, pour une peluche de la « Foirefouille ».
Car, il faut le dire, les effets spéciaux de « Mammouth » sont révolutionnaires. On ne parvient jamais à faire la différence entre le réel et le fictif. Prenez le Mammouth, par exemple, impossible de ne pas s’agenouiller devant une telle réussite de crédibilité. On se croirait dans du Pixar de luxe. Les poils de la créature sont incroyablement soyeux, on jurerait en avoir un vrai devant les yeux, il en va de même pour la fluidité de son mouvement. Les graphistes ont réellement touché le génie de leur doigt, tant les mouvements du pachyderme sont d’un réalisme saisissant. La bête semble tout droit sortie du passé pour nous impressionner un peu plus.
Mais la meilleure idée de
un Mammouth terrifie une petite ville des Etats-Unis.
Parfois, on se demande, où les scénaristes vont chercher des idées aussi surprenantes de celle de faire revivre un mammouth dans une petite ville des Etats-Unis. Et puis alors surtout, comment peuvent-ils penser que cela puisse se passer dans ce pays de nature si tranquille que l’on oublierait presque qu’il existe ? Car, il y a du génie dans ce film, des surprises à chaque plan, une inventivité débordante dans chaque recoins de l’intrigue, une telle foison de contre hypothèse, que l’on ne parvient pas à comprendre comment un « faiseur de chef-d’œuvre de finesses » tel que Roland Emmerich, n’y ait pas pensé plus tôt. Et oui car le film est hypnotisant de bout en bout, on trépigne d’impatience à l’idée de savoir ce qu’il va se passer, et surtout en sursaute à chaque apparition de ce mammouth qui ferait passer le « King Kong » de Peter Jackson, pour une peluche de la « Foirefouille ».
Car, il faut le dire, les effets spéciaux de « Mammouth » sont révolutionnaires. On ne parvient jamais à faire la différence entre le réel et le fictif; prenez le Mammouth, par exemple, impossible de ne pas s’agenouiller devant une telle réussite de crédibilité. On se croirait dans du Pixar de luxe. Les poils de la créature sont incroyablement soyeux, on jurerait en avoir un vrai devant les yeux, il en va de même pour la fluidité de son mouvement. Les graphistes ont réellement touché le génie de leur doigt, tant les mouvements du pachyderme sont d’un réalisme saisissant. La bête semble tout droit sortie du passé pour nous impressionner un peu plus.
Mais la meilleure idée de Tim Cox (Morphman) reste sa distribution. Des choix judicieux tant au niveau du rôle principal, car Vincent Ventresca (Invisible Man) que l’on ne devrait pas tarder à voir monter les marches des Oscars, tant sa prestation est remarquable. L’acteur est littéralement possédé par son personnage et nous gratifie d’une finesse de jeux, pour ainsi dire jamais vu auparavant. Quand à sa partenaire : Summer Glau (Les 4400) qui interprète sa fille, elle devrait suivre le même chemin tant elle arrive, d’un seul regard à nous faire plonger dans son univers.
Quand au réalisateur, il parvient avec beaucoup de finesse et de brio à nous faire partager son hommage pour les films de série Z ou B des années 50. Les idées, dont il fait preuve, pour suivre une trame bien peu singulière, sont digne du génial McG (Charlie et ses drôles de dames), dont on connait toute la superbe de l’image, la délicatesse de la mise en scène qui reviendrait à sublimer n’importe quelle œuvre de cinéma. Tim Cox s’inscrit dans la lignée de ces réalisateurs de génie qui nous ont tant apporté : Mic Rodgers (Universal Soldier : le combat absolu) ou Graham Baker (Beowulf, avec Christophe Lambert) ou encore Jacques Dorfmann (Vercingetorix).
En conclusion : OUBLIEZ, tout ce que je viens de dire, car je parlais forcément d’un autre film. « Mammouth » aurait bien un adjectif pour le définir, mais il serait indécent de le citer dans ses lignes. Mieux vaut simplement dire que ce film est mauvais et vient de nous faire sombrer dans ce qu’il peut y avoir de pire dans la production américaine.