Le Film
Critique de José Evrard
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
84 min
Nb Dvd
1
Synopsis
New York est plongée dans l’horreur après le retour du monstre indestructible, Jason Voorhees, bien décidé à repeindre la ville de sa couleur préférée, le « rouge sang ».
Echappée une nouvelle fois de sa tombe (qui a dit au fond de la salle, une fois de trop, un peu de respect jeune homme ), le diabolique Jason embarque,à destination de New York, à bord d’un bateau de croisière rempli d’adolescents. Ce voyage idyllique se transformera vite en croisière pour l’enfer, euh, pour New York. Enfin, c‘est pareil..
Mais l’une de ses victimes parvient à s’échapper du labyrinthe cauchemardesque du métro et des égouts de Manhattan, pour affronter Jason dans un dernier combat
Critique subjective.
Le petit Jason
Jason, était un enfant difforme et attardé, tous les autres enfants se moquaient de lui. En 1957, le petit Jason, âgé de 11 ans, se noie dans le lac alors que les 2 moniteurs censés le surveiller se faisaient des câlins dans un coin, son corps n'est pas retrouvé au moment des faits malgré des fouilles et un dragage du lac plusieurs fois. Car il n'est pas mort il arrive jusqu'à la rive et survit mais il ne rentre pas croyant que sa mère est en colère contre lui car elle lui a interdit de se baigner dans le lac. Jason se cachera dans les bois vivant comme bête. Pendant ce temps sa mère (oui, même les monstres ont une mère aimante) va faire passer le goût du sexe à tous ceux qui ont laissé son fils se noyer
De Crystal Lake à Manhattan
Après « Jason en colo », voici « Jason à New York ». Sur les traces d’un gendarme de sinistre mémoire, on se dit que l mot New York dans un titre de film devrait être interdit. Crystal Lake, c’est naze, ringard. Vive New York. Et surtout Manhattan où Jason a un nouveau terrain de jeu. On a même le droit à l’ectoplasme de Jason enfant. De plus, on a un Jason en petite forme qui ne tue que 14 personnes.
Rongé par les déchets toxiques , il redevient enfant. Ne cherchons pas à confondre, ils se sont mis à 6 pour écrire le scénario. Et à mon humble avis, le metteur en scène a du le perdre, ne pas oser l’avouer et travailler de mémoire…
Entretenir la légende
Le débat est intéressant : on entretient la légende de Jason ou est-ce la légende de Jason qui entretient…les producteurs.
La fée électricité ranime Jason qui revient. En effet, il a entamé un concours avec ses potes Freddy, Myckael Myers et d’autres Serial Killer de bonne famille. Il faut bien ressusciter pour « péter » un score. Non, après tout ce n’est pas la manière dont on tue les gens qui est originale et importante, c’est l nombre. Il faut en tuer beaucoup, beaucoup, beaucoup…trop.
A 10 ou 15 meurtres par film, cela fait bien entre 80 et 120 victimes. Pour l’instant, il est le premier sur le podium mais Freddy est fâché et c’est pour ça que les gras producteurs (vous savez, ceux qui sont entretenus par Jason) pensent sérieusement au combat du siècle : Jason vs Freddy.
Un dernier mot ?
Ouf, Toby le chien a survécu. C’est le seul personnage sympathique et jouant à peu près juste.
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
1.78:1
Beaucoup de scènes dans le noir donc il fallait que les contrastes soient correctes sinon…. Mais le master est très abimé et le transfert DVD montre ses limites : pixels, tâches, grouillement dans les arrières plans....
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Anglais
2.0
Français
2.0
Pas de remastering en 5.1 mais un bon vieux Dolby Surround bien dynamique bien plus clair et détaillé que le 5.1 du n° VII. Ah, le miracle du Prologic II quand même. Au fait, Prologic II , c'est la suite de Prologic I, non ? A quand Prologic VIII , l'ultime défi du non-retour ???
Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
0 min
Boitier
Amaray
Menu et interactivité.
Le choix de langue au menu d’accueil est surprenant et impressionnant. Puis une fois choisi sa langue d’interface, le film démarre directement. Faute. Retour au menu et on comprend pourquoi l’éditeur voulait le cacher. Fixe, sans animation ni musique. Une vraie malédiction.
Bonus.
Rien. Mortel.
Bonus

Livret

Bande annonce

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Making of

Documentaire

Interviews
Com. audio

Scènes sup

Fin alternative

Galerie de photos

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Clips vidéo

Bêtisier

Bonus Cachés

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