Le Film
    Critique de Emmanuel  Galais
    
    
    
        
            Editeur
            
            Edition
            
                Coffret
            
            Label
            
                
            
            Zone
            
                2
            
            Durée Film
            
                920 min
            
            Nb Dvd
            
                5
            
         
     
    
 
                            
	Barry Allen est un jeune expert scientifique vivant à Central City. Il est intelligeant, séduisant… Et est désormais l’homme le plus rapide du monde ! Suite à la mort mystérieuse de sa mère et à l’emprisonnement de son père considéré comme responsable de cette tragédie, Barry Allen a grandi aux cotés de du détective Joe West.  Devenu adulte, et après un accident provoqué par l’explosion d’un accélérateur de particules, Barry se découvre un pouvoir unique : l’hyper-vitesse. Désormais, capable de se déplacer à très grande vitesse dans les rues de Central city, il devient un ange gardien invisible. Mais il découvre rapidement qu’il n’est pas le seul « Méta Humain » doté de pouvoirs surnaturels depuis l’explosion.
C’est toujours avec un peu d’inquiétude que l’on voit les chaines de télé se lancer dans des adaptations de DC Comics. On se souvient notamment de la série « Batman » des années 60, ou encore du « Frelon Vert » dans les mêmes années avec un côté kitsch à souhait que le ridicule à finit par faire entrer dans le panthéon des séries cultes. Mais il y avait aussi « Wonder Woman » qui avait eu le bon sens de ne pas faire dans la caricature mais de donner une véritable structure narrative à l’héroïne qui porte si bien le maillot aux couleurs du drapeau américain. Et puis il y a eu « Arrow » qui est venu relever le niveau. Alors lorsque ces derniers ont également annoncé travailler sur une adaptation de « Flash » on ne pouvait que se réjouir d’une telle annonce. 
Et la réussite est une fois de plus au rendez-vous. D’abord parce que les créateurs de la série, imposent d’emblée un style narratif, différent de celui d’Arrow avec un brin d’humour bien dosé qui donne tout de suite une tonalité différente au personnage. Et à la différence du vengeur masqué, Flash n’assouvit pas une vengeance personnelle, même s’il va très vite partir à la recherche du véritable assassin de sa mère, il va d’abord devoir apprendre à utiliser son pouvoir et apprivoiser l’équipe de savants fous qui lui viendra en aide. 
Ce qui est intéressant dans la série « Flash » c’est bien évidemment la qualité de ses intrigues. Car il y a bien sûr, celle qui consiste à suivre les traces du meurtre de sa mère, et de ce côté-là il faut réellement attendre le milieu de la saison pour rentrer dans le vif du sujet, mais il y a aussi les histoires par épisode, avec des méchants plus ou moins réussit ou caricaturaux, avec toujours un goût pour une écriture rigoureuse en créant des personnages récurrents et secondaires moins linéaires que ce que l’on a l’habitude de voir. Tout est fiat pour plusieurs lectures et pour que tout le monde s’y retrouve.
Et la mise en scène nous réserve également beaucoup de surprises avec notamment des combats, enfin, parfaitement chorégraphiés, avec une véritable dynamique qui ne fait pas dans le bas de gamme et n’a pas à rougir des grandes productions cinématographiques. L’action est parfaitement calibrée et l’utilisation d’une trame fil rouge autour de l’accélérateur de particules est totalement à la hauteur de l’attente.
Côté distribution, le jeune Grant Gustin que l’on avait déjà aperçu dans « Glee » ou dans la nouvelle génération de « 90210 Beverly Hills »  fait des merveilles en apportant une bonne touche de fraîcheur, d’humour et d’énergie au personnage de Barry Allen. L’acteur s’offre même de véritables moments d’émotions lorsque les scènes tournent autour de l’enfance de Flash. 
En conclusion, cette première saison de « Flash » est une réussite sur tous les points et nous donne forcément  envie de connaitre rapidement la suite des aventures de ce nouveaux héros ami de « Arrow » et homme le plus rapide du monde. 
 
                            
    
        L'image
    
    
    
    
        
            Couleurs
            
            Définition
            
            Compression
            
            Format Vidéo
            
                16/9 anamorphique couleur
            
            Format Cinéma
            
                1.85:1
						
            
         
     
    
 
                            
	L’image se prête magnifiquement à l’univers de la série et donne une véritable profondeur aux images qui parfois souffrent de couleurs saturées dans les scènes les plus sombres. Le grain reste tout de même très discret et la qualité de cette édition le met particulièrement en avant. 
                            
                            
    Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Anglais                       
5.1
Français                      
2.0
 
                            
	Côté son, la piste Dolby Digitale 5.1 en VO offre une véritable immersion dans l’univers de la série et certains effets même les plus honteux, sont parfaitement dosés dans une répartition efficace. La dynamique donne un beau résultat et la série gagne fortement en volume grâce au support. Mais alors si vous souhaitez regarder la série en Français, vous ne pourrez que vous contenter d’une pauvre piste DD 2.0, bien moins précise, qui fait perdre en qualité la série.
                            
                            
    
        Les Bonus
    
    
    
        
            Supléments
            
            Menus
            
                
            
            Sérigraphie
            
            Packaging
            
            Durée
            
                45 min
            
            Boitier
            
                Coffret
            
         
     
    
 
                            
	Côté bonus, un premier reportage : «
 L’homme le plus rapide du monde », centré sur le personnage de Barry Allen et sa transformation en « The Flash ». Au fil de ce documentaire les producteurs et l’acteur principal reviennent sur aspirations de cette adaptation et celui les a séduits dans ce personnage hors norme des DC Comics, puisqu’il est l’un des seuls à devenir un super-héros après un accident. Evidemment le reportage revient sur le choix de l’acteur et le parallèle avec « Arrow ».
Puis évidemment, un focus sur «
 Les effets spéciaux de Flash » qui sont la partie la plus importante après le scénario et la distribution pour assurer la crédibilité et évidemment le succès de la série.
« 
L’alchimie d’Emily et de Grant à l’écran », revient sur la distribution et notamment sur les talents de Grant Gustin , mais particulièrement de l’alchimie qui se doit d’exister entre son personnage et celui de Felicity  Smoak l’assistante d’Oliver Queen (Arrow) interprétée par Emily Bett Rickards (Arrow)
« 
Soirée DC Comics au Comic-con 2014 introduisant Gotham, Flash, Constantine et Arrow » nous propose de découvrir chacun des intervenants de toutes ces séries présenter les nouvelles créations de la chaîne.
Et on finit avec des 
scènes coupées et un 
bêtisier.
Bonus
    
        
            
            Livret
 
        
            
            Bande annonce
 
        
            
            Biographies
 
     
    
        
            
            Making of
 
        
            
            Documentaire
 
        
            
            Interviews
 
     
    
        
            
            Com. audio
        
            
            Scènes sup
 
        
            
            Fin alternative
 
     
    
        
            
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            Bonus Cachés
 
        
            
            Court Metrage