Ultime Vengeance

Synopsis

Effectuant des fouilles à l'est de la Chine, le brillant archéologue Robert Burns, découvre un trafic de drogue orchestré par les Tongs, la plus puissante triade du pays. Convaincues qu'il est impliqué dans cette sombre affaire, les autorités chinoises le jettent en prison mais, sous la pression de la DEA, le relâche afin que Burns les mettent sur la piste des Tong. Désormais utilisé comme appât, Burns va devoir affronter une vague de violence sans précédent.


Critique Subjective


Steven la cigale des films d’action

Le plus embêtant avec Steven Seagal, c’est qu’il fait toujours la même chose, il a un coté monolithique dans es combats et ses choix de film. Le pus embêtant avec Steven Seagal, c’est que si il est aussi fort qu’on le prétend, j’ai fort peur qu’il frappe un jour à ma porte pour me casser la g… d’avoir cassé ces films. Mais, à DVDcritiques nous avons une déontologie, et mon devoir de journaliste et de critique est de vous dévoiler la vérité. Tant pis pour Steven Tss-tss Tss-tss (pâle et idiote imitation des bruits de cigale)


Où est passé le scénario ?

Déjà ça démarre fort, Steven reçoit un prix pour ses travaux de Prof de Fac en archéologie. Ca y est c’est le premier film de science-fiction de Cigale. On va assister à une attaque de fourmi radine géante (Pardon la fontaine). Eh ben, non. Aussi improbable, le prof est champion de torsion de poignet et de cassage de membre, il trempe dans une sale histoire, sa femme meurt, son chien est assassiné sous ses yeux (ça c’est moi qui extrapole) et il rentre dans un colère noire (euh, ça veut dire qu’il fronce les sourcils) et tue tout le monde pour se venger, entre deux torsions de poignet à l’envers qui craque, Steven débite des proverbes chinois et des mantra bouddhistes. Hallucinant, je vous dis. .Cerise sur le gâteau, son personnage s’appelle Burns… Air du temps, les méchants sont des chinois localisés à Paris ???


Un dernier mot

Pour les inconditionnels et encore……

Là Steve ne va pas être content non plus mais l’image est crac ra, défaut de compression à gogo, moirage sans les noirs, problème de contraste. C’est pas moi qu’il faut taper M. Seagal mais les gars qui ont fait le DVD avec deux mains gauches..

Par contre là, ce paragraphe me vaudra sans doute la vie sauve. Stevy va apprécier ce qui suit. On a le choix entre du Dolby digital en Vf et en Vo  (avec sous-titrage imposé) et une piste DTS. Et je peux vous dire que ça  dépote, on ne peut pas dire que ce soit subtil mais les surrounds sont à la fête, la centrale aussi et le caisson est utilisé à bon escient.

Making of : 17’25 : On en rêvait Stevy l’a fait. Ce docualimentaire n’est pas sous-titré, il ne fallait pas rêver et c’est dommage car ce qui est raconté par les uns et les autres est proprement délirant. Ils ont fourni des amphéts sur le plateau ???