Le Film
    Critique de Emmanuel  Galais
    
    
    
        
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                Standard
            
            Label
            
                
            
            Zone
            
                2
            
            Durée Film
            
                90 min
            
            Nb Dvd
            
                1
            
         
     
    
 
                            
	Victime d’un grave accident de la route aux Etats-Unis, une jeune femme est rapatriée chez elle, au Japon, dans un fauteuil roulant, avec les deux jambes dans le plâtre. En l’absence de son père, c’est son frère qui s’occupera d’elle. Mais très vite, le jeune homme suspecte la présence de phénomènes surnaturels dans la chambre de sa sœur. Un soir, il décide d’utiliser une caméra pour filmer, les évènements qui vont se produire. 
C’était inévitable, mais le succès aidant « Paranormal Activity » fait des petits et cette fois-ci, même nous fait voyager, puisque l’action se situe aux Japon. Le monde à l’envers pour un pays qui nous a offert deux des plus grandes frayeurs des dix dernières années avec « The Ring » par exemple, qui fut au final copié par les américains. Alors lorsque les choses s’inversent on est forcément intrigué et l’on trépigne en se disant que la réussite est inévitable.
 
Et le problème de « Paranormal Activity » c’est qu’il ne se passe rien et qu’il faut donc combler. Alors les japonais ont décidé de nous offrir des images de la vie quotidienne, avec les deux personnages qui mangent souvent, salement, et bruyamment, filmés par une caméra d’une rare précision pour pouvoir retranscrire tous les bruits liés au repas. Et puis de temps en temps, le fantôme s’invite à la fête, mais l’effet de surprise de l’original étant passé, on s’attend à tout dès que le compteur ralenti.
 
Alors forcément on ne tremble plus, on en sursaute même pas, et on s’ennuie ferme d’un bout à l’autre, même lors du final qui aurait pu nous retourner. Rien de tout cela n’arrivera, on se pose au contraire beaucoup de questions, parfois même on a envie de sortir un vieux livre d’Edgar Poe, histoire de faire quelque chose d’intéressant. Car autant le dire côté scénario, nous ne sommes pas loin de la ligne simple. 
Et les acteurs ont bien du mal à trouver l’inspiration devant un vide aussi prometteur que celui d’une histoire qui n’en n’est pas une. Dès le début les compositions sont basiques, presque amateurs pour donner l’impression de faire dans la téléréalité, mais très vite tout cela devient insupportable, car les expressions sont aussi vides que celles de la distribution des « Vacances de l’amour ». Un drame. 
En conclusion, juste un conseil : « Paranormal Activity » était une surprise, « Paranormal Activity : Tokyo Night » est exactement l’inverse. 
                            
    
        L'image
    
    
    
    
        
            Couleurs
            
            Définition
            
            Compression
            
            Format Vidéo
            
                16/9 anamorphique couleur
            
            Format Cinéma
            
                1.85:1
						
            
         
     
    
 
                            
	Une image soignée avec des couleurs particulièrement bien tenues. Les contrastes donnent un véritable éclat aux effets spéciaux, mais ne parviennent pas à masquer certaines maladresses dans la direction de la photo. Le support est d’une grande efficacité lorsqu‘il s‘agit d‘espaces lumineux, mais manque de précision lors des scènes sombres. Certains défauts propres au film bénéficient pourtant d’un peu plus de soin et parviennent à être atténués mais pas suffisamment.
                            
                            
    Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Japonais                      
5.1
Français                      
5.1
 
                            
	Une piste 5.1, qui tient ses promesses, les ambiances sont reconstruites avec beaucoup de brillance surtout dans les bruitages particuliers aux ambiances. Le 5.1 fait des merveilles lors des effets sonores, mais souffre toutefois d‘un décalage remarquable entre dialogues et effets. Quelques soit la version, le support se met toutefois totalement au service du film et parvient à surprendre lors des scènes finales. Cela fait au moins un bon point. 
                            
                            
    
        Les Bonus
    
    
    
        
            Supléments
            
            Menus
            
                
            
            Sérigraphie
            
            Packaging
            
            Durée
            
                0 min
            
            Boitier
            
                Amaray
            
         
     
    
 
                            
	Pas de bonus !
                            
Bonus
    
        
            
            Livret
 
        
            
            Bande annonce
 
        
            
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