Vendredi 13 chapitre 2 : Le tueur du vendredi

Genre
Pays
USA (1981)
Date de sortie
jeudi 26 mars 2009
Durée
83 Min
Réalisateur
Producteurs
Steve Miner
Scénaristes
Ron Kurz
Compositeur
Harry Manfredini
Format
Dvd 9
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Italien
Oui
Oui
Non
Espagnol
Oui
Oui
Non
Allemand
Oui
Oui
Non
Français
Oui
Oui
Non
Anglais
Oui
Oui
Non
Danois
Oui
Oui
Non
Finnois
Oui
Oui
Non
Néérlandais
Oui
Oui
Non
Norvégien
Oui
Oui
Non
Suédois
Oui
Oui
Non
Le Film
Critique de Emmanuel Galais
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
83 min
Nb Dvd
1

Alors qu’on le croyait mort, noyé au fond de Crystal Lake, Jason Vorhees revient se venger du sort réservé à sa mère. Après avoir assassiné Alice, seule survivante du premier opus, il massacre les innocents apprentis moniteurs, qui viennent en stage 5 ans après le premier massacre de Crystal Lake.

Ce nouvel opus voit la naissance du mythe Jason Vorhees. Puisque le premier se révélait être sa mère, le deuxième laisse donc le bambin aux pulsions incroyablement massacreuses et à la force surhumaine, s’incarner réellement aux yeux des spectateurs amateurs de frayeurs. Et pour le compte, le film est quand même très largement en-dessous du premier, puisqu’il reprend exactement les mêmes ficelles, et fait preuve finalement de très peu d’inventivité par rapport au précédent opus. Pourtant au début tout semble indiquer, que le deuxième volet des « Vendredi 13 » devait largement remplir son job, car la scène d’ouverture qui voit la mort d’Alice, la survivante du premier massacre est très prometteuse et particulièrement bien rythmée Mais passé le générique, le film sombre dans une sorte de mise en route léthargique, où les jeunes acteurs attendent avec insouciance le moment où ils seront trucidés. La mise en scène de Steve Miner (House, Warlock) est particulièrement lourde et le rythme affreusement lent, ce qui ne peut empêcher un bâillement de la part du spectateur. Même Jason semble pris de cette léthargie puisqu’il n’arrive pas à complètement montrer un véritable signe d’énergie naissante. Les comédiens et comédiennes semblent attendre leur tour de se faire trucider avec peu de conviction.

Et effectivement côté casting, pas de véritable surprise et surtout pas de prestation suffisamment impressionnante pour ne pas être oubliée. Car outre l’aptitude à savoir hurler plus que de raison, la composition des acteurs n’est vraiment pas à marquer dans les annales du cinéma d’horreur. Mis à part, Jason, aucun des comédiens ne parvient à réellement nous surprendre. Au point que l’on n’arrive jamais réellement à trembler pour eux, mais au contraire, on a envie de les voir se faire découper, à la machette ou au tournevis, pour enfin abréger leur souffrance et la notre par la même occasion.

Côté frayeur, puisque c’est de cela qu’il s’agit, on ne peut pas parler de totale réussite, même si l’on n’arrive pas à retenir certains sursauts, lors d’apparitions de Jason, les ficelles sont tellement évidentes que l’on se prépare d’avance à l’horreur. L’inventivité des meurtres ne semble pas le mot d’ordre puisque l’on retrouve pratiquement à la virgule prêt, les même schémas de meurtres : Le couple qui fait l’amour et se retrouve transpercé par une lance, la jeune fille transpercée par un tournevis, le jeune homme tout simplement égorgé ou encore un autre avec une machette plantée dans le crane. Aucun renouvellement, on sent la véritable intention de suivre un filon sans essayer de faire mieux encore.

L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
1.78:1
C’est toujours amusant de voir sur un boitier « Edition entièrement remasterisée » avec une image aussi détestable. Très granuleuse, les couleurs sont fades et les contrastes n’arrivent pas du tout a en renforcer les traits et ainsi donner un relief suffisant. En voyant le désastre on imagine l’état du master d’origine, qui devait dater au moins de…..1934 ! Non ? Alors on m’aurait trompé ?

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Anglais
5.1
Français
1.0
Allemand
1.0
Espagnol
1.0
Italien
1.0
Face au désastre, on a du mal à trouver les mots pour définir, la pauvreté de la bande sonore : Un mono d’origine. Une véritable catastrophe auditive, crachotant, faiblard, tous les superlatifs de la langue française ne suffiront pas à définir ce que l’on ressent en entendant cela ! Même la piste 5.1 en version originale ne parvient pas à sauver l'horreur d'une telle médiocrité !

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
30 min
Boitier
Amaray
Côté bonus, une interview soporifique sur l'histoire de la saga. Suivit d’un documentaire sur la meilleure convention des films d’horreurs comme il n’en n’existe qu’aux Etats-Unis. Puis « Les contes du Camp Sanglant : Chapitre 1 » qui est un court-métrage sur le thème de Vendredi 13, une bonne surprise. « Jason Forever » est un extrait d’une conférence de presse comprenant tous les interprètes de Jason Vorhees. Et pour finir la bande annonce Cinéma d’origine. Au moins les bonus sont à la hauteur !
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage