Le Film
    Critique de José  Evrard
    
    
    
        
            Editeur
            
            Edition
            
                Standard
            
            Label
            
                
            
            Zone
            
                2
            
            Durée Film
            
                104 min
            
            Nb Dvd
            
                1
            
         
     
    
 
                            
	
Wra Va Vroum
 
Synopsis
Michael Delaney, pilote automobile, se prépare à courir les 24 Heures du Mans et à affronter Stahler, son rival allemand. C’est son retour çà la compétition un an après avoir été gravement accidenté.Au même moment, il tombe amoureux de Lisa, l'épouse de son coéquipier décédé dans el crash qui a failli lui couter la vie.
Critique subjective
A fond dans la course
Pour une meilleure préparation,  fan de courses automobiles, participa aux Douze Heures de Sebring en mars 1970, en tant que coéquipier de Peter Revson, sur Porsche 908. Au départ, Il devait être le partenaire du pilote Jackie Stewart, mais les assurances refusèrent sa participation à la course automobile. L'acteur n'en fit qu'à sa tête et décida tout de même d'être dans le coeur de l'action. L’acteur dépassa même le budget initial en engageant sur le plateau les services de coureurs professionnels comme David Piper, Jonathan Wild, Dereck Bell et Jackie Ickx, et en ayant recours à 25 voitures pour simuler la compétition. Parmi elles, trois Porsche 917, quatre Ferrari 512, une Porsche 908, une Matra et une Corvette.
Le véritable bébé de Mc Queen
Contrairement à Steve McQueen qui voulait privilégier l'aspect documentaire, la chaîne CBS, qui finançait le film, voulait une histoire dramatique pour tenir les spectateurs en haleine. John Sturges, d'abord pressenti comme réalisateur, souhaitait faire commencer l'action trois ou quatre jours avant la course, alors que l'acteur désirait la faire débuter une quinzaine de minutes avant la compétition. John Sturges abandonna la réalisation du film, agacé par la surveillance des directeurs de CBS, par l'arrêt temporaire du tournage (quinze jours), par la révolte des figurants français et par la désinvolture de Steve McQueen, parti en vacances au Maroc. Sa démission sera suivie de celle du chef monteur Ferris Webster. Pour la première fois, des caméras sont embarquées dans les voitures
Un tournage éprouvant 
Le tournage du <> a débuté sans scénario, avec pour but de filmer seulement la course. Trois écrivains, parmi lesquels l'expert automobile de Playboy Ken Purdy, travaillèrent à l'écriture du script dans une roulotte de Solar Productions, campement improvisé à proximité du Mans.Le tournage ne fut décidément pas de tout repos, retardé par de graves accidents. La Ferrari de Dereck Bell prit feu et le conducteur fut brûlé au visage et aux mains ; David Piper fut amputé de la jambe droite après avoir percuté sa Porsche 917 contre un garde-fou et Steve McQueen frôla la mort en évitant de peu un camion à trois cents à l'heure.
Un dernier motLe montage est nerveux, dynamique et chaque instant du grand prix est mis en scène et dramatisé. Les amateurs de grand prix et de courses automobiles ne seront pas déçus.
                            
    
        L'image
    
    
    
    
        
            Couleurs
            
            Définition
            
            Compression
            
            Format Vidéo
            
                16/9 anamorphique couleur
            
            Format Cinéma
            
                2.35:1
						
            
         
     
    
 
                            
	
Elle est d’époque et elle fait ce qu’elle peut. Il y a beaucoup de rémanence et il faudra pousser un peu les contrastes.
                            
                            
    Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Anglais                       
5.1
Français                      
1.0
 
                            
	
Concentrons nous sur les deux bandes sons qui peuvent nous intéresser. La française est en mono, elle manque singulièrement de coffre et les dialogues sont perceptibles à condition de pousser le volume. La piste anglaise a elle eu le droit à un remixage sur 5 canaux, elle a de l’étoffe, les dialogues sont clairs et incisifs et les passages de voiture permettent de nombreux effets. Hélas comme bien souvent avec les remixages, les basses sont inexistantes.
                            
                            
    
        Les Bonus
    
    
    
        
            Supléments
            
            Menus
            
                
            
            Sérigraphie
            
            Packaging
            
            Durée
            
                0 min
            
            Boitier
            
                Amaray
            
         
     
    
 
                            
	Rien
                            
Bonus
    
        
            
            Livret
 
        
            
            Bande annonce
 
        
            
            Biographies
 
     
    
        
            
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            Interviews
 
     
    
        
            
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