Le Film
Critique de Simon Volant
Editeur
Edition
Simple
Label
Zone
2
Durée Film
100 min
Nb Dvd
1
Résumé
Kazuya continue sa joyeuse vie d'étudiant au milieu de toutes ses cyber-poupées qui se disputent pour le séduire. Tout commence avec un Kazuya bien triste parce qu'il doit rendre May. Il faut dire que commander sur internet une cyber-poupée sans pouvoir la payer, ce n'est pas très sérieux. Avec beaucoup de larmes, le modèle de May (modèle de petite taille) repart chez le fabricant. Assez sadique, super méchant commande May en version taille normale pour Kazuya. Ce geste à priori gentil lui permettra de pouvoir briser le coeur de Kazuya une seconde fois tout en laissant le choix dans la date.
La vie reprend et Kazuya et May vont ensemble à un festival de feux d'artifices. Super méchant y rencontre pour la première fois le nouveau modèle de May et en tombe amoureux fou (enfin, fou, il l'était déjà). Pendant que Super méchant tente de séduire May, Kazuya se rend compte que la fille de la propriétaire, Kasumi, existe toujours et semble bien triste du peu d'attention qu'on lui porte. Lasse de servir pour réclamer le loyer, la jeune fille tente à son tour de reconquérir Kazuya tandis que sa mère connaît son du.
Critique
Cette série d'animation vise clairement le public masculin, adolescent (voir pré-ado) et féru de nouvelles technologies (poupée cyber, internet, etc.). La recette de l'anime est simplissime : une bonne dose de petites culottes, des cadrages sur les poitrines à la Russ Meyer et une atmosphère très coquine mais où la morale et les bonnes manières restent en bien placées. Il ne s'agit pas non plus d'un dessin animé salace.
Nous constaterons rapidement que si les scénarii ne sont pas très étoffés et les personnages sont par contre très typés (il faut bien rire de quelque chose) sauf Kazuya dans lequel le public ciblé doit pouvoir s'identifier. Une petite remarque sur le dernier épisode de ce second volume qui propose une histoire bien plus étoffée et sympathique. L'arrivée d'un nouveau scénariste dans l'équipe?
L'animation respecte tout juste la norme minimale pour une série télé et use et abuse des travellings. Par contre, le graphisme est très fouillé (on aurait aimé le même effort pour les histoires) avec une belle recherche dans les décors, le design des personnages et les couleurs. Quelques touches par l'informatique (comme les ciels et les nuages) mais l'ensemble de l'animation est bien fait "à la main". L'accompagnement sonore reste de très bonne facture.
Verdict
Avec des histoires simplistes, un humour très léger et une réalisation de qualité tout juste standard, HMM est une série à réserver aux plus jeunes. Pour ceux qui cherchent un peu plus de sens dans les histoires, "Ah! My Goddess" est une alternative intéressante, plus romantique et peu être plus orienté aux jeunes filles.
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
4/3 couleur
Format Cinéma
1.33:1
Les détails sont bien au rendez-vous avec des couleurs vives. le master est impeccable. Il est associé à une compression qui laisse apparaître quelques très rares artefacts. C'est un sans faute.
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Japonais
2.0
Une scène avant tout frontale et centrale. La piste surround est de bonne qualité mais il ne faut pas espérer des miracles en terme de spatialisation: les dialogues restent bien au centre tandis que la musique se répartit sur les enceintes satellites.
Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
0 min
Boitier
Amaray
Rien de rien.
Bonus

Livret

Bande annonce

Biographies

Making of

Documentaire

Interviews
Com. audio

Scènes sup

Fin alternative

Galerie de photos

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Multi-angle

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Bonus Cachés

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