Terminator 3, Le Soulèvement des machines

Titre Original
Terminator 3 : Rise of the Machines
Genre
Pays
Usa (2003)
Date de sortie
vendredi 6 février 2004
Durée
109 Min
Réalisateur
Producteurs
Mario Kassar et Andrew G. Vajna
Scénaristes
John D. Brancato; Michael Ferris et Tedi Sarafian
Compositeur
Marco Beltrami
Format
Dvd 9
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Anglais
Non
Non
Non
Français
Oui
Non
Non
Le Film
Critique de José Evrard
Editeur
Edition
Simple
Label
Zone
2
Durée Film
109 min
Nb Dvd
1


Synopsis

10 ans ont passé depuis que John Connor (NICK STAHL) a contribué à sauver l’Humanité de la destruction totale lors du « Jugement Dernier ». Connor qui a maintenant 25 ans, vit « en marge de la société » - sans domicile fixe, sans carte de crédit, sans portable et sans travail. Répertorié nulle part, il n’a aucune chance d’être filé par Skynet - le réseau électronique ultra performant des machines qui a tenté autrefois de l’éliminer et de déclarer la guerre à l’Humanité. Jusqu’à ce que sorte des limbes du futur T-X (KRISTANNA LOKEN), la cyborg tueuse la plus performante jamais imaginée par Skynet. Elle a été expédiée dans le passé afin de terminer le travail laissé inachevé par son prédécesseur le T- 1000. Cette créature est aussi impitoyable que son apparence humaine est parfaite.


Critique Subjective


Un projet Terminated….

Grâce à C-2 Pictures, Intermedia et le réalisateur Jonathan Mostow, TERMINATOR 3 : LE SOULEVEMENT DES MACHINES représente le troisième volet d’une des plus grandes réussites novatrices et commerciales qu’ait connu Hollywood, initiée en 1984 par Terminator. Ce nouveau chapitre rend hommage à ses prédécesseurs, il mêle suspense haletant, humour légendaire et action explosive et ajoute un troisième volet électrique à la mythologie sophistiquée de la série. Arnold Schwarzenegger reprend ici son rôle fétiche de Terminator, à la tête d’un casting réunissant entre autres, Nick Stahl, (In the Bedroom, La ligne rouge), Kristanna Loken (Panic) et Claire Danes (The Mod Squad, Romeo +Juliet). Stan Winston, créateur et designer renommé du personnage de Terminator, revient en tant que superviseur de l’animation électronique et du maquillage. Les effets spéciaux sont toujours produits par ILM. John Brancato, Michael Ferris et Tedi Sarafian cosignent le scénario d’après une histoire originale de John Brancato, Michael Ferris et Jonathan Mostow.


…avec une terminatrice….

Il fallait bien renouveler le genre et le méchant. Et comme tout el monde le sait , un bon méchant fait souvent un bon film. La plastique irréprochable de Kristanna Loken sert (ou dessert puisqu’on en mangerait bien ) le rôle de la T-X Machine, l’androïde nouvelle génération, la plus sophistiquée et la plus puissante qui soit, envoyée sur Terre pour assassiner le jeune John Connor. Née à Hudson, dans l’Etat de New York, Kristanna a grandi dans une ferme spécialisée dans la culture des fruits biologiques auprès de son père, écrivain et acteur célèbre de Broadway, et de sa mère, mannequin talentueux. James Cameron n’étant pas partant , il a fallu toruver un réalisateur talentueux pour finaliser le projet.


…un tueur de U Boat…

Jonathan Mostow réalisa et fut le co-auteur dernièrement du thriller d’action à succès « U-571 » , mettant à l’affiche Matthew McConaughey, Harvey Keitel et Jon Bon Jovi. Le film sur un sous-marin de la seconde guerre mondiale d’Universal Pictures fut classé n°1 au box office pendant deux semaines de suite. Le film recueillit deux nominations pour les Academy Awards® et une pour les Oscars® dans la catégorie « Meilleur montage son ».J. Mostow fit ses débuts dans le cinéma en tant qu’auteur et réalisateur du thriller de 1997 de la Paramount vivement acclamé « Breakdown, point de rupture », avec pour vedettes Kurt Russell et Kathleen Quinlan. La même année, il participa à « The Game » en tant que producteur exécutif, avec à l’affiche Michael Douglas et Sean Penn. Les deux films se classèrent directement à la première place du box office.


…pour un T2 Bis repetita.

Désormais, la seule chance de survie pour Connor est Terminator (ARNOLD SCHWARZENEGGER), son précédent mystérieux assassin. Ensemble, ils devront triompher de la supériorité technologique de T-X et contrer la menace du « Jugement Dernier » qui pèse sur eux…ou bien subir l’apocalypse et l’anéantissement de notre civilisation, telle que nous la connaissons. Ceci ne vous rappelle rien. Allez, cherchez un peu. Mais oui, vous l’avez sur le bout de la langue. Ter, Termi, Terminator 2. Voilà. Ce qui choque à première vue , c’est la similitude de scénario, de circonstance voire de plan entre l’opus 2 et l’opus 3. L’arrivée des Terminators, la scène d’habillage dans le bar, etc, etc.. Et même si le scénariste a essayé de jouer sur les codes et d’en rire ou de les détourner en tre les deux films, on peut que pâlir devant cette sombre et pale copie à la fois. Bien sûr les scènes d’actions sont parfaitement menées et dantesques, bien sûr le charisme de l’acteur dans son rôle phare (Arnie the governator) est intacte. Alors qu’est-ce qui pêche dans ce film ? La transparence incroyable de Nick Stahl, qui est insignifiant d’un bout à l’autre du film, le rôle de faire valoir joué par claire Danes, la sous-exploitation des possibilité de la terminatrice, les incohérences de sénario(comment une arme fabriqué de toute piéce par un organisme changeant peut-elle tomber en panne ?) et surtout le manque d'innovation qui enlise la trilogie au lieu de l'élever vers les sommets mérités  ….


Un dernier mot

T3 est un p…. de film d’action en soi.

Mais en tant que troisième opus d’une trilogie, il ne vient qu’entacher d’opprobre une œuvre géniale en deux parties d’un homme ayant un véritable génie pour raconter les histoires : James Cameron. T3 « amuse » sur l’instant et est même jouissif en Home-cinéma. mais finalement c'est un exercice vide qui laisse un étrange mécontentement.

Quand on pense qu’un  quatrième volet sera mis en route sans Cameron et sans Shwarzy, c’est à frémir.
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
2.40:1
On l’attendait au tournant cette édition de T3, à l’époque la sortie de T2 en édition ultimate avait défini un nouveau pas dans la qualité de l’image en DVD. Eh, bien on n’est pas déçu. L’image  est claire, propre, et teintée de dominante rouge , mais c’est volontaire. Les couleurs sont parfaitement retranscrites et  lumineuses lorsque c’est nécessaire. La définition est exemplaire. Les effets de grain et de moiré sont presque entièrement absents. C'est un excellent transfert,

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Français
5.1
Anglais
5.1
Anglais
5.1
Pour reprendre le même argumentaire que pour l’image, le son de T2 ultimate avait là aussi impressionné par son dynamisme et l’utilisation de nouveaux standards sonores. Cette bande son a-t-elle été créé pour se brouiller avec ses voisins ? Le Dolby Digital est extrêmement dynamique, et je veux dire extrêmement. La répartition est là aussi exemplaire et on est sans cesse immerger dans l’ambiance acoustique du film enveloppés dans les bruits des explosions,avec des balles, des bombes, des voitures, du verre qui explosent, des avions, et des hélicoptères volant à peu près dans toutes les directions. Les dialogues se détachent parfaitement. Petit avantage à la Vo DTS puisque la voix et l’accent de Shwarzy donne un coté un peu plus robotique au personnage et le soin apporté au mixage DTS appuie un peu plus les effets et le jeu avec les basses sèches et percutantes. Pourquoi une Vo DTS, une fois n’est pas coutume, parce que un soin particulier a été apporté à cette piste et que ce soin n’aurait pu être reproduit en Français.

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
5 min
Boitier
Amaray


• Le commentaire audio du réalisateur : Jonathan Mostow dissèque, analyse chaque plan du film, nous explique ses motivations, ses choix de prises de vue tout ceci avec une passion et une énergie telle que l’on a  envie de l’écouter jusqu’au bout.



• Le commentaire audio du réalisateur et des acteurs :
d’Arnold Schwarzenegger, Nick Stahl (John Connor), Claire Danes et Kristanna Loken. Tout ce beau monde aligne les anecdotes ce qui donne un coté très dynamique. Étrange impression, on n'a pas l'impression que ces commentaires aient été faits ensembles. Arnold reste toujours très Relationman et consensuel. Un homme politique, quoi ?



• Les bandes-annonces (dont celle du jeu vidéo)
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage