Breakdown, point de rupture

Titre Original
Breakdown
Genre
Pays
USA (1997)
Date de sortie
mercredi 8 janvier 2003
Durée
89 Min
Réalisateur
Producteurs
Martha de Laurentis et Dino de Laurentis
Scénaristes
Jonathan Mostow et Sam Montgomery
Compositeur
Basil Poledouris
Format
Dvd 9
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Français
Oui
Non
Non
Anglais
Oui
Non
Non
Néérlandais
Oui
Non
Non
Le Film
Critique de Nicolas Polteau
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
89 min
Nb Dvd
1


Jeff (Kurt Russel) et Amy (Kathleen Quinlan) ont décidé de changer de vie et de tout plaquer pour aller s’installer en Californie. Mais leur voiture tombe en panne, en plein désert. Par chance, un camionneur propose d’amener Amy au restaurant le plus proche pour chercher du secours. Ayant finalement réussi à localiser la panne, Jeff pense retrouver sa femme dans ce bar perdu au milieu de nulle part. Mais personne ne semble avoir vu ni Amy ni le mystérieux camion...


« Chaque année, des milliers de personnes disparaissent... Et ne sont jamais retrouvées... ». C’est en ces termes que Breakdown, point de rupture se résume le mieux. Auteur d’une première demi-heure tonitruante avec brouillage de pistes volontaires, le film s’essouffle un peu par la suite en devenant un peu plus classique, le résultat est tout de même probant. L’intrigue est assez simple, basée sur un fait divers, elle permet une identification du public à l’histoire (et si ça m’arrivait ! qu’est-ce que je ferai ?). Le scénario accentue encore plus cette impression, étant donné que le film suit sans discontinuité le personnage de Jeff, on se met vite à sa place et on ressent les émotions qu’il éprouve. Kurt Russel est ici déchaîné, prêt à tout pour retrouver sa femme. Son jeu d’acteur colle admirablement bien à la situation. Mais ce qui surprend au premier abord, c’est la réalisation.


Premier film de Jonathan Mostow, plutôt méconnu à cette époque, Breakdown dévoile les prémices d’un futur grand réalisateur. La mise en scène est déjà très efficace, alternant différentes prises de vue peu utilisées et cascades spectaculaires. Le célèbre producteur, Dino de Laurentis (Le silence des agneaux) avait vu juste, et mise alors une seconde fois sur lui pour la réalisation de U-571. Le résultat est détonnant ! En seulement deux films, Jonathan Mostow s’est fait un nom dans le monde du cinéma. Mais l’histoire ne s’arrête pas là, car suite au refus de James Cameron de tourner Terminator 3, les producteurs de celui-ci trouvent en lui le parfait remplaçant. L’avenir nous dira si son talent atteindra celui du « roi du monde ».


Pouvant être qualifié de road movie, Breakdown, point de rupture présente sur le papier une histoire assez banale, mais qui devient à l’écran, une histoire trépidante. C’est vraiment une agréable surprise ! De plus, les références ne manquent pas, on remarque ici ou là, des emprunts au Duel de Spielberg ou au Mad Max de Miller. Breakdown, point de rupture mérite franchement une plus grande reconnaissance du public, vous ne serez pas déçus !
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
2.35:1
Le film est diffusé sur un master présentant de multiples petites éraflures, ainsi que des tâches. Concernant l’image, elle est claire et détaillée avec des couleurs saturées à la perfection. Sinon aucun défaut de compression à signaler. Malgré des imperfections assez minimes la vision du film n’est en aucune façon gâchée.

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Anglais
5.1
Français
5.1
Deux pistes audio sont présentes sur le DVD : Dolby Digital 5.1 en anglais et en français. Breadown étant un film tourné vers l’action, avec des courses poursuites, des explosions et des coups de feu, le son est forcément imposant notamment avec le caisson de basses qui ronronne idéalement. Côté enceintes frontales, elles disposent d’une grande richesse sonore avec une spatialisation impeccable. Par contre, pour les surrounds c’est une autre histoire, leurs utilisations sont très épisodiques et auraient donc mérité un plus grand soin. Peu de différence à signaler entre la VO et la VF, si ce n’est une dynamique un brin plus accentuée !

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
0 min
Boitier
Amaray
Une malheureuse bande-annonce en guise de supplément !
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
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Bonus Cachés
Court Metrage