Desperate Housewives Saison 7

Genre
Pays
USA (2011)
Date de sortie
mercredi 7 décembre 2011
Durée
999 Min
Réalisateur
Producteurs
Larru Shaw et Charles McDougall
Scénaristes
Divers
Compositeur
Divers
Format
Dvd 9
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Anglais
Oui
Oui
Non
Français
Oui
Oui
Non
Le Film
Critique de Emmanuel Galais
Editeur
Edition
Coffret
Label
Zone
2
Durée Film
999 min
Nb Dvd
6
Au bout de sept années de bons et loyaux services les habitantes de Wisteria Lane s‘apprêtent à tirer dans leur révérence pour une ultime saison que l‘on annonce déjà remarquable. En attendant, Bree cède à la tentation « Cougar » , Tom et Lynette traversent une zone de turbulence post natale, Suzanne et Mike rencontrent des problèmes financiers qui vont les obliger à prendre des décisions radicales

Alors tout y est, le style s’est affiné au fil des saisons, les auteurs ont su redonner un souffle nouveau, lors des précédentes saisons en faisant vieillir tout le monde de 5 ans, afin de redistribuer les cartes et progresser librement dans de nouvelles intrigues sans s’engluer dans une logique quotidienne.

Et cette saison ne manque toutefois pas de piquant, car les auteurs n’aiment rien de plus que bousculer le quotidien de ces héroïnes hautes en couleurs, n’hésitant pas la surenchère parfois limite, notamment autour du personnage de Suzanne. Pourtant la sauce continue de prendre inlassablement, on reste captivé par les aventures de ces femmes aux foyers américaines. Mais, en y regardant de plus prêt, le manque d’inspiration commence a se faire sentir, et la pression de l’audimat n’y est certainement pas étranger. Du coup tout y est « toujours plus beau, toujours plus haut, toujours plus fort », on a le droit à une sorte d’émeute, à un personnage qui ressemble à Max Von Sydow sur l’affiche de « L’exorciste », ou encore à une réflexion sur l’immigration clandestine et ainsi de suite. Avec parfois un peu de maladresse ou sans trop d’originalité, les sujets traités se succèdent, sans pour autant gagner en volume dans le déroulé des intrigues.

Toutefois l’ensemble conserve une véritable fraicheur, avec une dose d’humour qui ne cesse de se démentir. On rit beaucoup, même des fois plus, particulièrement autour du personnage de Bree, qui prend conscience de son âge tout en souhaitant à nouveau profiter de la vie après sa séparation d’avec Orson.

En conclusion, une saison 7 amusante, pleine d’intrigues nouvelles (un peu trop ?) pour pimenter l’ensemble, mais qui manque toutefois d’originalité. On peut même regretter l’aspect souvent trop moralisateur de Lynette, notamment. Malgré tout on prend toujours autant de plaisir à visionner cette avant dernière saison.
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
1.77:1
Une image soignée qui joue sur le grain et sur les couleurs pour mieux imprégner le spectateur. Les contrastes sont de très bonne tenues et donnent une réelle profondeur à l’ensemble. Les couleurs quand à elle gardent une véritable identité servant à merveille les besoins de la réalisation. Un véritable bonheur donc !

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Français
5.1
Anglais
5.1
Une piste 5.1 forcément efficace, qui parvient à vous envelopper au coeur de Wysteria Lane. La dynamique est à la hauteur de la série et s’il y un plaisir à prendre il est certainement ici. La spatialisation reste toutefois assez inégale et les dialogues peuvent perdre en équilibre. A noter toutefois une très bonne idée, toutes les version bénéficient d’une piste 5.1.

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
30 min
Boitier
Coffret
Des bonus qui ressemblent finalement beaucoup plus à du remplissage qu’à une véritable volonté d’apporter des informations complémentaires aux spectateur, avec notamment des scènes coupées pour prolonger principalement le plaisir de certaines sans toutefois leur donner un sens différent.
 
Puis un reportage sur les jeunes acteurs de la série et leurs impressions sur l’évolution de l'intrigue. Tout cela reste très cadré et manque un peu de spontanéité pour être tout à fait passionnant.

Puis un quizz posé aux principaux acteurs de la série sur leur personnage, amusant sans être transcendant. Et pour finir le tellement banal bêtisier qu’il n’en devient plus drôle. On pouvait attendre mieux.
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage