Les confessions de Stéphane Rousseau

Genre
Pays
Quebec et France (2011)
Date de sortie
mercredi 1 février 2012
Durée
97 Min
Réalisateur
Producteurs
Gilbert Rozon et Marie-Laurence Berthon
Scénaristes
Stephane Rousseau
Compositeur
Scott Price et Dee
Format
Dvd 9
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Français
Oui
Oui
Non
Le Film
Critique de Emmanuel Galais
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
97 min
Nb Dvd
1
Véritable star au Québec, Stéphane Rousseau est un surtout connu en France comme étant l’acolyte de Franck Dubosc. « Les confessions de Stéphane Rousseau » est un spectacle ou l’humoriste chante, danse, imite et provoque des fous rires.

Directement lié au succès de Franck Dubosc, Stéphane Rousseau est un humoriste québecquois qui ne ménage pas ses efforts pour emmener son public dans un univers à la fois tendre, parfois sombre, mais surtout particulièrement drôle. D’une précision rare, le comédien sait faire usage de son charme et de son accent quebecquois pour emmener son public dans des sketches souvent hilarants, dans lesquels il retrace des bouts de sa vie, des peintures de son enfance, de sa vie de père de famille, de la mort qui forcément croise obligatoirement celle de d’un être humain.

Musical et drôle,  le spectacle est un véritable plaisir où l’on rit énormément de sujets divers, sans jamais avoir l’air coupable. Le comédien fait preuve d’un talent assumé pour donner toute l’énergie nécessaire afin d'embarquer son public. Parfois burlesque, parfois acide, on croit reconnaitre de temps à autres des intonations ou des gestes de Franck Dubosc, tout en imposant un style personnel assumé et imparable.

L’humoriste se confesse et utilise un pléiade de personnages, tous plus drôle les uns que les autres : Tata Yvette, Chico Rico, ou encore sa version très personnelle de « Si j’étais un homme » de Diane Tell, qui fait que l’on ne regardera plus notre femme nous faire des poissons panés de la même façon, ou encore son imitation de David Bowie, un ensemble de sketches particulièrement hilarants, où le comédien n’hésite pas à en rajouter, y compris en reprenant des expressions quebecquoise de manière à mieux séduire le public. L’un des sketches les plus significatif montrant l’humoriste s’amusant de cette image qui colle à la peau du Québec, étant celui de l’interview. Le comédien se trouve en face d’un animateur français intellectuel dont il ne comprend absolument pas le moindre mot.

En conclusion, le spectacle « Les confessions de Stéphane Rousseau » est un véritable plaisir d’humour, de musique et d’émotion. L’humoriste s’imprègne de sa propre vie, parle de la mort de son père, de la joie d’avoir un enfant, de lui apprendre la vie, confesse les travers de sa famille et donne au spectacle un originalité folle. Le tout saupoudré d’une énergie folle et d’un naturel remarquable qui manque à tellement d’humoriste ou apprenti humoriste qui se produise sur les scènes du monde entier.
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
1.78:1
Une image soignée qui joue sur le grain et sur les couleurs pour mieux imprégner le spectateur. Les contrastes sont de très bonne tenues et donnent une réelle profondeur à l’ensemble. Les couleurs quand à elle gardent une véritable identité servant à merveille les besoins de la réalisation. Un véritable bonheur donc !

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Français
5.1
Français
2.0
Une piste 5.1 agréable, qui colle parfaitement aux ambiances musicales du spectacle. «Les Confessions de  Stéphane Rousseau», utilise énormément la musique et les effets sonores, la précision de la bande son est donc capital. L’ensemble donne ainsi une agréable sensation de plongée dans le public.

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
20 min
Boitier
Amaray avec fourreau cartonné
Côté bonus, on nous offre la minimum syndical, d’abord un reportage surprenant et déstabilisant au départ : 7 jours avec Stéphane Rousseau , dans lequel on voit l’artiste parler de sa terre, en faisant du canoë, ou alors en journée promo intense, mais le plus surprenant en plein pèlerinage à St Jacques de Compostelle pour une association d’aide au cancer. Puis un making of traditionnel avec la préparation du spectacle, les sketches abandonnés et les derniers réglages. Intéressant mais pas forcément très passionnant.
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage