Le Contrat

Synopsis
Mark Kaminsky, ex-agent du FBI limogé pour brutalité, est désormais le shérif d'une petite ville de Caroline du Nord. Alors qu'il s'ennuie fermement dans cette petite vie sans incidents, il est contacté par son ancien chef, dont le fils a été abattu par des maffieux, pour reprendre du service.
Kaminsky accepte dans l'espoir de ré-intégrer le FBI. Sa mission consiste à s'infiltrer dans le gang de maffieux pour le démanteler de l'intérieur et en exécuter tous ses membres dont le puissant Patrovina. La vendetta va s'accomplir dans un bain de sang...
Critique Subjective
Shwarzy le commerçant
"Je sens vraiment que grâce au Le Contrat (Raw Deal), je suis devenu un meilleur acteur. Jouer c'est comme la musculation : plus on travaille, plus on reçoit et j'ai vraiment eu l'impression d'avoir progressé. Mais, comme d'habitude, j'essaie de ne pas trop prendre les choses au sérieux. Je ne me prend pas moi-même au sérieux. Je fais de mon mieux et j'essaie toujours de m'amuser."  Ile st assez amusant de lire ces mots quand on sait que Arnold Schwarzenegger a tourné ce film à la seule condition que son contrat le liant au producteur Dino De Laurentiis soit annulé. En effet, l’acteur, qui gére sa carrière avec intelligence, savait très bien que le producteur ne lui permettrait pas de monter les marches du succés
Shwarzy, l’acteur ?
Le comédien voulait tourner Total recall et se servit de sa notoriété suite au film de John Irvin pour acheter les droits du film via Carolco Pictures. En effet, Le contrat est un film d’époque. Ile st très ancré dans les années 80 tant au niveau de l’esthétique, de la musique que du style de cinéma d’action un peu bourrin et sans grande originalité. Pas étonnant que le cinéma d’action de John Woo provoque un tel raz de marée chez les fans du genre. En fait, Shwarzenneger passera sa carrière à développer son rôle de Terminator impitoyable, tueur inflexible.
Un dernier mot
Le contrat est violent, dénué d’humour et d’originalité.

Alors là Best of. Défauts de compressions, effet de moirage sur les noirs. Le début du film est une catastrophe. Puis l’image s’améliore quelque peu mais n’atteint jamais un niveau correct.

L’éditeur a fourni un véritable effort pour satisfaire à la fois les puristes et les innovateurs. En effet sur le DVD cohabitent 4 pistes sons : les deux stéréo originelle et deux pistes 5.1, anglaise et française. Le remixage nourrit surtout la scène frontale, avec quelques effets surrounds.

Menu et interactivité

Les menus tentent de retranscrire l’esthétique de l’époque avec musique…


Bonus :
• Le documentaire "Arnold, l'homme derrière le muscle" (45 mns) :

Un documentaire réalisé au départ pour la télé américaine. Une sacrée carte de visite promotionnelle pour l’acteur. Quel homme, quel star et surtout quel business man. Une véritable success story à l’américaine. On découvre aussi que si l’acteur autrichien avait si peu de répliques dans ses films , c’est que son anglais était incompréhensible.
• La bande-annonce
• Les filmographies