Dragon Quest Builder

Genre
Pays
JAP (2017)
Date de sortie
dimanche 18 février 2018
Durée
999 Min
Plateforme
Dvd 9
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Français
Oui
Non
Non
Le Jeu
Critique de Simon Volant
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
999 min
Nb Dvd
1
Voici un jeu qui associe une petite dose de Zelda (RPG) dans le scénario à une bonne louche de Minecraft pour la construction du monde.

L’histoire

Note : le joueur définit le sexe, l’aspect et le nom de son avatar. Nous le nommerons donc « héros ».
Le héros se fait réveiller par la déesse Rubiss dans un tombeau au cœur d’un monde en ruine. Il doit reconstruire ce monde ce qui permettra d’y ramener la lumière et la vie. Tout commence par une petite cité. À chaque étape, de nouveaux habitants y arriveront et l’animeront.
Au-delà, le héros doit partir à la chasse aux matériaux et réaliser des quêtes qui, même si certaines lui semblent inutiles, lui permettront d’avancer et de débloquer de nouvelles constructions.

La réalisation

Commandes
Les 2 Joy-Con de la Switch vont avoir du mal à rivaliser avec la souris d’un ordinateur surtout quand « Dragon Quest Builders » rappelle autant « Minecraft ». Et pourtant les commandes sont correctement réparties entre les 2 joy-con. La progression est régulière, on a quelques étapes avant de gérer l’ensemble des combinaisons de touches.

Image & Animation
Une définition très correcte avec de nombreuses textures et un niveau de détails impressionnant. Malgré tout, quelques ralentissements seront à noter lorsque la vue est dégagée et offrant ainsi une grande profondeur de champ sur le monde.
Le jeu a été modélisé dans un style très mignon et un peu enfantin ce qui créer une ambiance très joyeuse en journée, mais un peu « creepy » durant la nuit ce qui colle parfaitement à cet univers où les monstres les plus effrayants apparaissent la nuit.
Les décors sont extrêmement variés et chacun possède ses propres particularités (minerais, poissons, ennemis, etc.). Chaque région devient alors intéressante et agréable à visiter. Un point assez négatif, mais c’est un classique dans les jeux 3D, c’est la gestion de la caméra qui est assez perfectible dans les endroits fermés. On est souvent obligé de la gérer manuellement pour éviter le gros plan sur le dos de notre héros.

Construction
Vous allez construire principalement pour 2 choses : vous déplacer et agencer le village. Les endroits inaccessibles seront facilement atteints avec quelques blocs bien placés (attention aux nombreux monstres qui les protègent). L’agencement du village n’est pas un concours d’esthétisme, mais d’optimisation. Chaque pièce construite (un mur et une porte) peut se voir attribuer une fonction selon l’équipement qu’on y met. Poser un lit et vous obtenez une chambre, une forge et vous pourrez y manipuler les métaux, etc.

Les personnages
Les personnages présents dans le jeu possèdent tous une personnalité différente, une manière de parler qui leur est propre ainsi que des lignes de dialogues changeant régulièrement. Cela rend les personnages-non-joueur attachants et leurs parler devient un plaisir. Fini les personnages disant les mêmes phrases du début à la fin du jeu ! Avec la progression du village, ils prennent des occupations propres et vous aideront dans la quête.

Les bugounets
Après un premier chapitre sans le moindre bug, on fait face à un bloc qui, malheureusement, refuse de fonctionner. Un peu gênant lorsqu’on se rend compte qu’il nous est presque indispensable. Mais (heureusement) il est possible de s’en passer même si cela nous prive de quelques points pour la base. Ce bloc fait partie des très rares bugs présents dans ce jeu, et, bien que frustrant sur le moment, il est vite oublié.

Musique
Les musiques sont variées, bien réalisées, mais rapidement assez répétitives. Heureusement, les réglages permettent de baisser leur volume voire les mettre en sourdine.

Verdict

Un jeu mignon, agréable à regarder et simple à prendre en main. Un jeu parfaitement calibré pour la Switch en mode portable, mais qui en jette aussi sur grand écran. Les quelques légères imperfections techniques n’entachent en rien la qualité du titre. Square Enix avait été bien rôdé ce jeu sur d’autres systèmes. Une réussite qui a eu un très grand succès à la rédaction.
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
Sans objet
Format Cinéma
Sans objet
Une définition très correcte avec de nombreuses textures et un niveau de détails impressionnant. Malgré tout, quelques ralentissements seront à noter lorsque la vue est dégagée et offrant ainsi une grande profondeur de champ sur le monde.
Le jeu a été modélisé dans un style très mignon et un peu enfantin ce qui créer une ambiance très joyeuse en journée, mais un peu « creepy » durant la nuit ce qui colle parfaitement à cet univers où les monstres les plus effrayants apparaissent la nuit.
Les décors sont extrêmement variés et chacun possède ses propres particularités (minerais, poissons, ennemis, etc.). Chaque région devient alors intéressante et agréable à visiter. Un point assez négatif, mais c’est un classique dans les jeux 3D, c’est la gestion de la caméra qui est assez perfectible dans les endroits fermés. On est souvent obligé de la gérer manuellement pour éviter le gros plan sur le dos de notre héros.

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Français
2.0
Les musiques sont variées, bien réalisées, mais rapidement assez répétitives. Heureusement, les réglages permettent de baisser leur volume voire les mettre en sourdine. Les personnages s'expriment en pseudo-yaourt avec des onomatopées qui retranscrivent leurs émotions.

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
0 min
Boitier
Amaray
Pas de bonus, pas de DLC.
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage