Le Jeu
    Critique de Simon  Volant
    
    
    
        
            Editeur
            
            Edition
            
                Standard
            
            Label
            
                
            
            Zone
            
                2
            
            Durée Film
            
                999 min
            
            Nb Dvd
            
                1
            
         
     
    
 
                            
	Voici un jeu qui associe une petite dose de Zelda (RPG) dans le scénario à une bonne louche de Minecraft pour la construction du monde. 
L’histoire
Note : le joueur définit le sexe, l’aspect et le nom de son avatar. Nous le nommerons donc « héros ».
Le héros se fait réveiller par la déesse Rubiss dans un tombeau au cœur d’un monde en ruine. Il doit reconstruire ce monde ce qui permettra d’y ramener la lumière et la vie. Tout commence par une petite cité. À chaque étape, de nouveaux habitants y arriveront et l’animeront.
Au-delà, le héros doit partir à la chasse aux matériaux et réaliser des quêtes qui, même si certaines lui semblent inutiles, lui permettront d’avancer et de débloquer de nouvelles constructions.
La réalisation
Commandes
Les 2 Joy-Con de la Switch vont avoir du mal à rivaliser avec la souris d’un ordinateur surtout quand « Dragon Quest Builders » rappelle autant « Minecraft ». Et pourtant les commandes sont correctement réparties entre les 2 joy-con. La progression est régulière, on a quelques étapes avant de gérer l’ensemble des combinaisons de touches. 
Image & Animation
Une définition très correcte avec de nombreuses textures et un niveau de détails impressionnant. Malgré tout, quelques ralentissements seront à noter lorsque la vue est dégagée et offrant ainsi une grande profondeur de champ sur le monde.
Le jeu a été modélisé dans un style très mignon et un peu enfantin ce qui créer une ambiance très joyeuse en journée, mais un peu « creepy » durant la nuit ce qui colle parfaitement à cet univers où les monstres les plus effrayants apparaissent la nuit.
Les décors sont extrêmement variés et chacun possède ses propres particularités (minerais, poissons, ennemis, etc.). Chaque région devient alors intéressante et agréable à visiter. Un point assez négatif, mais c’est un classique dans les jeux 3D, c’est la gestion de la caméra qui est assez perfectible dans les endroits fermés. On est souvent obligé de la gérer manuellement pour éviter le gros plan sur le dos de notre héros.
Construction 
Vous allez construire principalement pour 2 choses : vous déplacer et agencer le village. Les endroits inaccessibles seront facilement atteints avec quelques blocs bien placés (attention aux nombreux monstres qui les protègent). L’agencement du village n’est pas un concours d’esthétisme, mais d’optimisation. Chaque pièce construite (un mur et une porte) peut se voir attribuer une fonction selon l’équipement qu’on y met. Poser un lit et vous obtenez une chambre, une forge et vous pourrez y manipuler les métaux, etc.
Les personnages
Les personnages présents dans le jeu possèdent tous une personnalité différente, une manière de parler qui leur est propre ainsi que des lignes de dialogues changeant régulièrement. Cela rend les personnages-non-joueur attachants et leurs parler devient un plaisir. Fini les personnages disant les mêmes phrases du début à la fin du jeu ! Avec la progression du village, ils prennent des occupations propres et vous aideront dans la quête.
Les bugounets
Après un premier chapitre sans le moindre bug, on fait face à un bloc qui, malheureusement, refuse de fonctionner. Un peu gênant lorsqu’on se rend compte qu’il nous est presque indispensable. Mais (heureusement) il est possible de s’en passer même si cela nous prive de quelques points pour la base. Ce bloc fait partie des très rares bugs présents dans ce jeu, et, bien que frustrant sur le moment, il est vite oublié.
Musique
Les musiques sont variées, bien réalisées, mais rapidement assez répétitives. Heureusement, les réglages permettent de baisser leur volume voire les mettre en sourdine.
Verdict
Un jeu mignon, agréable à regarder et simple à prendre en main. Un jeu parfaitement calibré pour la Switch en mode portable, mais qui en jette aussi sur grand écran. Les quelques légères imperfections techniques n’entachent en rien la qualité du titre. Square Enix avait été bien rôdé ce jeu sur d’autres systèmes. Une réussite qui a eu un très grand succès à la rédaction.
                            
    
        L'image
    
    
    
    
        
            Couleurs
            
            Définition
            
            Compression
            
            Format Vidéo
            
                Sans objet
            
            Format Cinéma
            
                Sans objet
						
            
         
     
    
 
                            
	Une définition très correcte avec de nombreuses textures et un niveau de détails impressionnant. Malgré tout, quelques ralentissements seront à noter lorsque la vue est dégagée et offrant ainsi une grande profondeur de champ sur le monde.
Le jeu a été modélisé dans un style très mignon et un peu enfantin ce qui créer une ambiance très joyeuse en journée, mais un peu « creepy » durant la nuit ce qui colle parfaitement à cet univers où les monstres les plus effrayants apparaissent la nuit.
Les décors sont extrêmement variés et chacun possède ses propres particularités (minerais, poissons, ennemis, etc.). Chaque région devient alors intéressante et agréable à visiter. Un point assez négatif, mais c’est un classique dans les jeux 3D, c’est la gestion de la caméra qui est assez perfectible dans les endroits fermés. On est souvent obligé de la gérer manuellement pour éviter le gros plan sur le dos de notre héros.
                            
                            
    Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Français                      
2.0
 
                            
	Les musiques sont variées, bien réalisées, mais rapidement assez répétitives. Heureusement, les réglages permettent de baisser leur volume voire les mettre en sourdine. Les personnages s'expriment en pseudo-yaourt avec des onomatopées qui retranscrivent leurs émotions.
                            
                            
    
        Les Bonus
    
    
    
        
            Supléments
            
            Menus
            
                
            
            Sérigraphie
            
            Packaging
            
            Durée
            
                0 min
            
            Boitier
            
                Amaray
            
         
     
    
 
                            
	Pas de bonus, pas de DLC.
                            
Bonus
    
        
            
            Livret
 
        
            
            Bande annonce
 
        
            
            Biographies
 
     
    
        
            
            Making of
 
        
            
            Documentaire
 
        
            
            Interviews
 
     
    
        
            
            Com. audio
        
            
            Scènes sup
 
        
            
            Fin alternative
 
     
    
        
            
            Galerie de photos
 
        
            
            Story board
 
        
            
            Multi-angle
 
     
    
        
            
            Liens internet
 
        
            
            Interface Rom
 
        
            
            Jeux intéractifs
 
     
    
        
            
            Filmographies
 
        
            
            Clips vidéo
 
        
            
            Bêtisier
 
     
    
        
            
            Bonus Cachés
 
        
            
            Court Metrage