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Robert Plant and The Sensational Space Shifters - Live at David Lynch's Festival of Disruption Inserer Le Titre
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Genre
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Concert |
Pays
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USA (2018) |
Date de sortie
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vendredi 9 février 2018 |
Durée
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77 Min |
Réalisateur
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Chris Markwell |
Avec
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Robert Plant, Justin Adams, Liam Tyson, John Baggott, Juldeh Camara, Billy Fuller, Dave Smith |
Format
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Dvd 9 |
Informations Complémentaires
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Robert Plant Festival Of Disruption Playlist
01 Poor Howard Auteurs: Alan Lomax, Billy Fuller, Dave Smith (48), Huddie Leadbetter*, John Lomax*, John Baggott, Juldeh Camara, Justin Kirk (2), Liam Tyson, Robert Plant 02 Turn It Up Auteurs: Billy Fuller, Dave Smith (48), John Baggott, Justin Adams, Liam Tyson, Robert Plant 03 Black Dog Auteurs: Jimmy Page, John Paul Jones, Robert Plant 04 The Enchater Auteurs: Clive Deamer, John Baggott, Justin Adams, Liam Tyson, Robert Plant 05 Rainbow Auteurs: Billy Fuller, John Baggott, Justin Adams, Liam Tyson, Robert Plant 06 Babe I´m Gonna Leave You Auteurs: Anne Bredon, Jimmy Page, Robert Plant 07 Little Maggie Auteurs: Billy Fuller, Dave Smith (48), John Baggott, Juldeh Camara, Justin Adams, Liam Tyson, Robert Plant 08 Hoochie Coochie Man / Whole Lotta Love / Mona Auteurs: [Hoochie Coochie Man] – Willie Dixon [Mona] – Elas McDaniel [Whole Lotta Love] – Jimmy Page, John Bonham, John Paul Jones, Robert Plant 09 Going To California Auteurs: Jimmy Page, Robert Plant
Bonus
1 David Lynch On Creativity 2 David Lynch On Meditation 3 David Lynch On Music |
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Langues
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PCM
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Label
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Film
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Bonus
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Commentaire
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Anglais
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Non
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Non
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Non
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Le Film
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Critique de
José Manuel Saraiva
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Editeur
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Eagle Vision
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Edition
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Standard
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Label
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Zone
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all
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Durée Film
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77 min
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Nb Dvd
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1
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Robert Plant, le chanteur des Led Zeppelin, dans un festival de la "perturbation". C'est ce que l'on appelle être raccord. Le concert a été capté à l’Ace Hotel Theater de Los Angeles le 8 octobre 2016, lors du Festival Of Disruption.
Ce festival a été créé pour collecter des fonds pour la fondation du réalisateur David Lynch. David Lynch y a projeté ses films Blue Velvet et The Elephant Man, des courts-métrages, et exposé ses photos. Il y a aussi des séances collectives de méditation transcendantale, dont le réalisateur est un fervent apôtre. Sont prévues aussi des rencontres avec Debbie Harry et Chris Stein de Blondie, Kyle MacLachlan et Laura Dern, ainsi qu'avec l'architecte Frank Gehry et Mel Brooks. Tous les bénéfices du Festival of Disruption iront à la Fondation David Lynch , qui vise à réduire le stress et les traumatismes des populations à risques, comme les victimes de violences domestiques, les militaires souffrant de stress post-traumatique et les jeunes issus de milieux défavorisés.
Pour cette première édition Robert Plant propose un mix de nouveaux titres et de classiques dont certains de son groupe. Son groupe est composé de pros. On note particulièrement la présence de Juldeh Camara. Ce multi instrumentiste: Fiddle Ritti, Kologo, Bendir et chanteur apporte son âme africaine au concert. La touche qu'il apporte à ces morceaux est particulière: ce sont les mêmes mais différents, transcendés. Robert Plant est depuis longtemps un passionné du continent noir et cela se sent.
Les autres musiciens forme son groupe: les Sensational Space Shifters. Guitaristes, Justin Adams et Skin Tyson, bassiste, Billy Fuller, et claviériste, John Baggott. Ils sont eux aussi excellents et apportent chacun leur touche à une musique qui de rock à la base s'évade sur d'autre sentiers pour mieux revenir au rock.
Deux meddley de très haut niveau en sont le meilleur exemple. Le meddley qui inclus Whole lotta love est magnifique. Quand retenti le riff de basse caractéristique de ce tube, il est impossible de ne pas se déhancher en rythme. Les 8 morceaux sont en majorité extraits de son avant-dernier album, "Lullaby And… The Ceaseless Roar" (Poor Howard, Turn It Up, Little Maggie..), et aussi de "Mighty Rearranger" (The Enchanter). Bien sûr quelques classiques de Led Zeppelin : Black Dog, Babe, I’m Gonna Leave You, Whole Lotta Love.Le concert termine avec Going To California.
A l’instar d'autres vétérans du rock, Robert Plant assure. Par sa présence, par sa voix, par sa pêche. Mais bien sur pas d’exubérance scénique de jeune rocker fou. Depuis 1968 date de la création du groupe avec Jimmy Page le temps a passé. Le dernier album du groupe "In Through the Out Door" date tout de même de 1979. Mais l'énergie est là avec de l'expérience en plus. Avec un background qui a enrichi au cours des années le rock brut des origines. Sa carrière solo, ses albums, ses collaborations sont multiples. Avec Jimmy page il commet en 1994: No Quarter: "Jimmy Page and Robert Plant Unledded" et reformera même Led Zeppelin le 10 décembre 2017 pour un concert caritatif. Toutes ces influences sont là, présente dans ce concert.
Sa voix est toujours là aussi. N'oublions pas que Monsieur à été élu en 2008: "meilleure voix de l'histoire du rock" ! Et ça se sent. Ce n'est pas un concert intimiste piano-voix, à l'ambiance feutrée de cabaret. La musique dépote et la voix du Maître suit, voir domine. Bravo. Robert Plant ("Commandeur de l'Ordre de l'Empire Britannique" depuis 2008) fait résonner sa voix Royale dans le nouveau monde.
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L'image |
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Définition |
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Couleurs |
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Compression |
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Format Vidéo |
16/9 anamorphique couleur |
Format Cinéma |
1.78:1
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Il s'agit ici d'un DVD. Quand on visionne comme de nos jours en majorité des Blu-ray, de la HD, voir de la 4K, l'image est difficile à appréciée. Donc c'est de la pure subjectivité que donner un avis. C'est un concert. Qui dit concert, dit jeux d'éclairages et dit images sombres. Ce concert n'échappe pas à la règle. La compression est mise à mal, comme toujours, pas ces brusques changements de luminosité. Le DVD fait tout ce qu'il peut avec ses moyens techniques. Ce n'est pas trop mal compte tenu des contraintes du support. L'image reste lisible, même si en basse lumière un grésillement est présent. Certains rouges bavent, mais rien de rédhibitoire. En éclairage plein, la qualité est là. Une qualité DVD bien sur. Mais il n'y a pas à rougir du travail fait. Pour ceux qui ne sont pas encore passer à la HD ce DVD est pour vous. Il s'en tire avec tous les honneurs dus à son rang. Les gros plans sont biens définis et on profite bien de l'intimité crée.
Les bonus sont de qualités diverses. Mais cela est du aux différents types de captation.
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Le Son |
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Le son est primordial dans un concert. Ici 3 possibilités.
Le Dolby Digital 2.0. Si vous n'avez pas un Home cinéma de la mort qui tue cette solution est la votre. La dynamique est époustouflante. La batterie est pêchue, les guitares claques, les basses vrombissent. Avec juste deux enceintes vos voisins vont déjà vous détester. C'est le même son que sur les menus et les menus décoiffent !! Pensez à baisser en revenant dessus.
Le Dolby Digital 5.1. Par rapport au 2.0 c'est bien sur un peu plus enveloppant. Malgré tout il y a peu d'effets surround sur le concert. Les baffles arrières sont surtout là pour l'ambiance: réverbe, son de foule, applaudissements voir un peu les instruments. Les basses sont moins présentes qu'en 2.0, mais du coup les médiums et aiguës sont plus affirmés. La puissance est inférieure mais un petit coup de télécommande et c'est reparti.
Le DTS 5.1. Identique au Dolby 5.1 sur bien des points. Pas plus d'effets arrières. Puissante ici aussi un peu en deçà, mais là encore il suffit de remonter un peu. Les basses sont peu être plus charnues. Ce qui frappe c'est un meilleur équilibre du son. Toute la gamme est ressentie plus justement, sans prédominance du bas ou du haut du sceptre.
Dans toutes les versions le son est essentiellement frontale sur les morceaux acoustiques.
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Les Bonus |
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Supléments |
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Menus |
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Sérigraphie |
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Packaging |
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Durée |
23 min |
Boitier |
Amaray |
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Il s'agit ici d'un concert lors du premier 'Festival Of Disruption' à l'Ace Hotel Theatre de Los Angeles, dont le but de collecter des fonds pour la Fondation David Lynch.
David Lynch y a: projeté des films, des courts-métrages, exposé ses photos, fait des séances collectives de méditation transcendantale, dont le réalisateur est un fervent, organisé des rencontres avec Debbie Harry et Chris Stein de Blondie, Kyle MacLachlan et Laura Dern, ainsi qu'avec l'architecte Frank Gehry et Mel Brooks. Les bonus ici sont donc totalement consacrés à David Lynch. Les 3 bonus sont: 1 David Lynch On Creativity 2 David Lynch On Meditation 3 David Lynch On Music Ce sont des extraits de conférence, discutions, interviews. Voir des créations. Certaines fois les paroles du Maître s'incrustent à l'écran, sinon il n'y a pas de sous titres. Ça a de l’intérêt si vous êtes fan du réalisateur et que vous soyez bilingue. Le DVD est international d’où l'absence de sous titres Frenchies.
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Bonus
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Interviews
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