Sleepwalker

Titre Original
Sleepwalker
Genre
Pays
Suéde (2000)
Date de sortie
mardi 19 novembre 2002
Durée
97 Min
Réalisateur
Format
Dvd 9
Informations
Complémentaires
Le film a reçu le Grand Prix « Sang neuf » au Festival du film policier de Cognac 2001. SLEEPWALKER est le premier long métrage du réalisateur Johannes Runeborg.
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Français
Oui
Non
Non
Le Film
Critique de José Evrard
Editeur
Ufg
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
97 min
Nb Dvd
1


Synopsis

Ulrik Hansson (Ralph Carlsson) est un architecte d'une quarantaine d'années qui mène une vie paisible dans une banlieue tranquille, entouré de sa femme Monika (Ewa Carlsson) et de ses deux enfants. Ces derniers reviennent tout juste d'un agréable voyage avec leurs amis et ont décidé de déménager. Tout semble aller pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Pourtant, le lendemain, Ulrik se réveille baignant dans le sang et découvre avec étonnement que sa famille a disparu. S'apercevant également qu'il est victime de crises de somnambulisme, il tente une expérience en filmant ses errances nocturnes afin de retrouver sa famille.
Commence alors le dramatique voyage d'Ulrik dans son inconscient le plus noir.


Critique subjective

Frisson au pays des glaçons

Quand on regarde ce genre de film basé sur la surprise du coupable idéal, il y a de nombreuses références qui viennent à l’esprit : Usual Suspects de Brian Singer ; Le sixième sens de Night Shalamayan et d’autres encore. Ce qui fait que l’on devient exigeant. Acclamé par la presse unanime sur la qualité du film, ce petit film de Johannes Runeborg mérite que l’on s’y attarde.


Le cinéma nordique

Comment en pas penser au Veilleur de nuit de Ole Bornedal ou à d’autres fleurons du cinéma nordique. Autant de perles et de surprises agréables. Réalisé par un ancien journaliste, le film joue sur les codes inhérents au genre : fausses pistes, divers types de prises de vues et de plans pour nous désigner le coupable le plus maladroit qui soit. Jusqu’à la grosse surprise finale que je ne vous dévoilerai pas ici si ce n’est qu’elle est en deux temps ;)


Mais

Ce petit thriller suédois contenait pourtant chaque élément nécessaire à un très bon film de genre. Pêle mêle : un somnambule bon père de famille le jour et meurtrier armé d'une pelle la nuit, des fausses pistes dans lesquelles s'engouffre forcément le spectateur, le tout filmé par une caméra que s'est fixé le somnambule lui-même pour enquêter sur son sommeil. Comment juger un criminel qui tue sans s'en rendre compte? Mais hélas, le réalisateur passse un peu au travers de son sujet et n'insufle jamais à son film la dimension étrange et perturbante que son scénario proposait. 


Un dernier mot


Quand dormir est une malédiction. Un petit film bien surprenant qui mérite le coup d’œil.... Pour ce qu'il aurait pu être....
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
1.77:1


Un peu de grain et des problèmes de compression sur le générique. Le master retranscrit bien les différents types de caméra utilisés et renforcent ainsi les choix narratifs.L'image est en tout cas bien meilleure que le son dans cette petite production.

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Français
5.1


Un français DD 5.1 très étrange. La voix est omniprésente et est répartie sur tous les canaux. Effet de style ? Eh ben non. Ici point de vrai DD 5.1 mais du mono retranscrit sur 5 canaux en même temps. Un choix de mixage tout à fait étrange et usurpateur. Carton rouge. La piste Suédoise en 2.0 est à la limite mieux spatialisée mais heurte terriblement nos oreilles latines.

 

 

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
60 min
Boitier
Amaray


Menu et interactivité.

Le menu est en DD 5.0. Très bonne ambiance dans les surrounds. Tous les menus sont animées ainsi que les transitions.


Bonus :
• Les commentaires audio du réalisateur et du scénariste : Où la structure du film et les choix narratifs (surtout les scènes qui ont été enlevées et qu’on retrouve en bonus) apparaissent plus clairement. On est passé à côté de quelque chose de grand.Mais tout ceci indique bien que le réalisateur avait une frousse bleue de ne pas être compris et de ne pas trouver un public.


• 10 scènes coupées :
Il est clair que ces scènes en dévoilait trop. On a le droit au mixage original ou au commentaire du réalisateur.

• Le court-métrage "Pickpocket" de Johannes Runebeorg :
Bien éloigné de sleepwalker. Un court métrage sur l’apprentissage d’un pickpocket amateur.


• L'épilogue non retenu "Le sac plastique" :
Le montage retenu s’avère beaucoup plus efficace et glauque.


• Les affiches



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