Le Film
Critique de José Evrard
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
110 min
Nb Dvd
1
Synopsis
Frank Leone purge une peine de prison. A six mois de sa libération, au terme d'un week-end de permission au cours duquel il a fait de grands projets d'avenir avec Melissa, Leone est transféré dans une autre prison. Le cauchemar commence. Frank se retrouve à Gateway, un établissement pénitentiaire dirigé par Warden Drumgoole, un homme qui a une revanche à prendre sur lui. C'est en effet de sa prison que Frank s'était évadé, ce qui avait fait la une des journaux et jeté le discrédit sur Drumgoole. Les persécutions commencent alors. Le directeur est efficacement secondé par deux gardiens sadiques, Munly et Wiley. En outre, il a conclu un accord avec Chink, un chef de gang. Frank, de son côté, trouve un appui auprès de Dallas, Base et Eclipse avec qui il travaille à l'atelier de mécanique et de carrosserie.
Critique subjective.
Un film de prison
Le film de prison pourrait se définir comme une œuvre présentant un héros prisonnier dans un espace clos dont il tente de s’échapper. Ce n’est donc pas seulement un film en milieu carcéral, mais c’est d’abord un film de prisonnier(s). Heruseusement nous avpons Stallone, donc nous avons notre film de prisonnier….. Sly apparaît sur chaque plan du film, c’est prodigieux. Temps de présence à l’écran 99 % du film
Des codes à respecter
Comme tous les films de genre, le film de prison possède ses propres codes :
- un véritable héros (intègre mais souvent récalcitrant à l’autorité),
- un ou des gardiens sadiques
- un directeur corrompu qui rend compliquées les solutions simples,
- un ou des co-détenus bourreaux qui s’acharnent sur le héros,
- un détenu victime qui conduit le héros à prendre sa défense
- l’évènement inattendu qui remet en cause le projet initial d’évasion
Sylvesterrrrrrrrrrrrrrrrrrr
Trop c’est trop. Ce film est dégoulinant de bons sentiments. Ce n’est plus un film mais un monument à la gloire de Sylvester qui ici ne joue pas la comédie mais la parodie. Le début du film est incroyable : il embrasse une belle blonde dévergondée, joue au Football américain avec des enfants qui l’adorent, retourne en Prison après sa permission, connaît tous les gardiens par leurs prénoms, tous les prisonniers aussi. Même Donald Sutherland est touché par cettte médiocrité.
Un dernier mot
Pour les inconditionnels de Stallone et encore. Un film annonciateur du déclin de l’idole américaine.
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
1.66:1
Très lumineuse, trop même. Beaucoup de grouillements dans les arrière-plans. Les rouges bavent. La master a l’ai assez propre mais la compression s’est copncentrée sur les personnages en négligeant quelque peu le reste.
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Anglais
2.0
Français
2.0
Les dialogues sont clairs et intelligibles, quelques ambiances et une scène frontale essentiellement centralisée. L’ambiance multicanale est surtout dévolué aux ambiances (peu nombreuses) et à la musique. Tout ceci en Vo.
En Vf , le son est comme étouffé, on perd 3 à 4 Db, très peu de relief sonore et de sensation d’espace.
Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
5 min
Boitier
Amaray
Menu et Interactivité
Fixe et muet, les prisons reflétent parfaitement la monotonie de l’univers carcéral.
BonusRien, rien si ce n’est quelques Bandes-annonces. Celle de XXX par exemple avec Vin Diesel en Anglais DD 5.1.
Bonus

Livret

Bande annonce

Biographies

Making of

Documentaire

Interviews
Com. audio

Scènes sup

Fin alternative

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Bêtisier

Bonus Cachés

Court Metrage