Le Film
    Critique de José  Evrard
    
    
    
        
            Editeur
            
            Edition
            
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            Label
            
            Zone
            
                2
            
            Durée Film
            
                106 min
            
            Nb Dvd
            
                2
            
         
     
    
 
                            
	
Synopsis
La lutte millénaire que se livrent Vampires et Lycans est sur le point de connaître un tournant décisif… Pour avoir découvert le secret du massacre de sa famille, Sélène, la redoutable guerrière vampire, est plus que jamais seule et menacée. Ses véritables ennemis ne sont pas forcément ceux qu’elle croyait. Michael, devenu le premier hybride à la fois vampire et lycan, aimerait se joindre à elle, mais il est incapable de contrôler la part lycan qui fait rage en lui. Pour chacun d’eux, il est temps de percer le mystère de leurs origines et de la guerre, mais dans cette quête de vérité, ils devront affronter les plus puissants des adversaires, les plus proches aussi… 
Plus que jamais, au plus profond des ténèbres, loin du regard des hommes, se joue le sort du monde…
Critique Subjective
Une bonne idée d’affrontement
Le premier UNDERWORLD connut un succès qui dépassa de loin les attentes, avec une recette mondiale cinq fois supérieure à son budget, relayée par d’énormes ventes en DVD… Le succès du film surprit tout le monde, à commencer par son réalisateur, Len Wiseman, qui se retrouva soudain face à un public avide de connaître la suite des événements. Un second film fut très vite envisagé…Le combat millénaire qui oppose Lycans et Vampires entre dans sa phase la plus spectaculaire. Le fragile équilibre des forces est bouleversé. Face aux secrets, à la trahison, à l’insatiable soif de pouvoir d’un Immortel, il devient urgent de faire la lumière sur les origines de la guerre. Mais pour les peuples de l’ombre, faire la lumière est toujours un danger... La saga continue. Lorsqu UNDERWORLD 2 EVOLUTION commence, Sélène affronte son plus grand drame. Eternellement hantée par le désir de venger le massacre de sa famille, elle sait à présent que c’est Viktor, un Vampire qu’elle considérait comme son propre père, qui les a tués. Ses certitudes s’effondrent. Combien de Lycans a-t-elle détruits parce qu’elle les croyait coupables ? Et combien d’autres, Lycans ou Vampires, devront mourir avant que la vérité sur cette guerre et sur les origines des deux peuples n’éclate ? Pour elle, c’est un nouveau combat qui commence.
La quête des origines
Pour ce second volet, Kate Beckinsale a participé au développement de son personnage. Elle explique : « Dans le premier film, Sélène était une héroïne d’action assez énigmatique. Len Wiseman et moi avions envie de montrer davantage qui elle est, de révéler d’autres aspects de sa personnalité. Cette fois, elle mène vraiment son combat. Elle est encore plus impliquée, plus passionnée. Et elle partage avec Michael une certaine vulnérabilité. » Le producteur David Coatsworth ajoute : « Entreprendre une suite exige toujours que l’on fasse mieux que la première fois. Le budget était cette fois plus élevé, mais on était encore loin des blockbusters hollywoodiens. Le plus grand défi reposait donc sur la créativité : il fallait trouver le style visuel adéquat, l’histoire idéale et la façon la plus intelligente de la raconter, le tout avec nos moyens. »Len Wiseman confie : « Nous voulions expliquer les origines des Vampires et des Lycans à l’aide d’une analyse scientifique, par opposition au pur mysticisme. Je ne suis pas fan des vampires devant lesquels il suffit de brandir un crucifix pour les faire fuir. A mon sens, ce sont des vampires « imaginaires », alors que les nôtres sont des vampires qui font appel à des thèses scientifiques. Leur existence découle d’une maladie rare, d’une anomalie génétique transmise par le sang. Ce ne sont pas des créatures uniquement fantastiques. Je voulais quelque chose de différent. »
Un vrai film de vampires et de Loup-garou
Patrick Tatopoulos avait créé les créatures du premier UNDERWORLD, et il a cette fois en plus assuré la création des décors. Cette idée découle naturellement de son excellente relation professionnelle avec Len Wiseman, issu lui aussi de la décoration et des effets visuels. Et l’exigence de Wiseman se traduit à l’image par des créatures plus fines, moins grossières que dans le premier opus. La scène de la bataille médiévale, de nuit dans la neige, avec les chevaux, les lycans, les armures, la neige et le feu, a une forte puissance visuelle. Dommage qu’elle soit tournée de manière un peu épileptique ce qui nuit à sa lisibilité.  La bonne idée de ce film est d’introduire des personnages de légende  qui était à peine évoqué dans le premier Underworld tel que Corvinus, interprété par un acteur britannique légendaire, Sir Derek Jacobi. Underworld 2 réussit l’exploit d’être à la fois un film de monstre mais aussi un film de créatures et un bon film d’action. De quoi passer un bon moment.
Un dernier mot
Underworld 2 Evolution porte bien son nom puisqu’il est une évolution dans le bon sens des concepts entamés avec le premier. 
                            
    
        L'image
    
    
    
    
        
            Couleurs
            
            Définition
            
            Compression
            
            Format Vidéo
            
                16/9 anamorphique couleur
            
            Format Cinéma
            
                1.85:1
						
            
         
     
    
 
                            
	
En un mot comme en cent, Waowwww. Le transfert est idyllique, la couleur bleutée crépusculaire qui baigne tout le film est magnifique et les contrastes ainsi que la compression est au top. Une image de démo
                            
                            
    Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Français                      
5.1
Français                      
2.0
Français                      
5.1
Anglais                       
5.1
 
                            
	
Démo est le mot que je reprendrais pour définir la qualité et la puissance de la répartition sonore de cette bande son qui ajoute à l’excellent DVD Zone 1 une bande son en DTS et en 2.0 (anecdotique mais dont la clarté et la puissance brute enterre ces homologues 5.1). Que ce soit en DTS, dolby , Vf ou Vo la piste son de ce DVD va vous brouiller avec vos voisins définitivement.
                            
                            
    
        Les Bonus
    
    
    
        
            Supléments
            
            Menus
            
                
            
            Sérigraphie
            
            Packaging
            
            Durée
            
                70 min
            
            Boitier
            
                Amaray
            
         
     
    
 
                            
	
Bonus Disque et Edition Simple
Commentaires audio du réalisateur et de l'équipe du film 
- Bandes-annonces : Lord of War en intro et les deux Underworld
Bonus - Disque 2 - Edition double : 
- Making of (13’27) : Le terme de Making of est un peu galvaudé ici, puisque nous assistons à une revue d’interviews des acteurs  et de l’équipe du film mélangés à des images chocs du film.. De plus chacun y va de sa petite explication de texte sur le mythe et le film. Bonus inutile une fois le film visionné.
Les effets spéciaux (13’01) : Petit bonus intéressant pour se rendre compte de l’énorme travail de créativité de l’équipe des effets spéciaux. « Les gens des effets spéciaux nous ont bien protégés, confie Derek Jacobi. Ce sont eux qui ont pris les pires coups. La production m’a trouvé une doublure qui me ressemble beaucoup, et je crois que tous mes amis vont penser que c’est moi qui fais toutes ces cascades ! »
Les créatures (11’57) : Un film sur les vampires et les lycans repose bien sûr beaucoup sur le talent des artistes chargés des maquillages spéciaux. Ayant conçu les créatures du premier film, il était naturel que Patrick Tatopoulos reprenne le flambeau sur UNDERWORLD 2 EVOLUTION. Petite revue des masques et des animatronics  dans ce documentaire. Patrick Tatopoulos avait créé les créatures du premier UNDERWORLD, et il a cette fois en plus assuré la création des décors.
Les cascades (9’57) : Point de bon film d’action sans cascadeur , en plus si on imagine ce qu’on dut endurer les cascadeurs dans les costumes de Loup-Garou , le tout suspendu à un treuil automatisé pour accélérer les chutes des personnages osus les coups surpuissants portés par les vampires. Jim Churchman, le responsable des câblages pour les cascades, a fait travailler l’équipe sur un système de winchs informatisés. Les paramètres de chaque cascade étaient entrés dans un ordinateur, qui calculait les vitesses et les mouvements afin que la cascade reste parfaitement contrôlée. Une fois la cascade programmée, on y ajoutait les caractéristiques de chaque acteur, et les mouvements de poulies pouvaient être répétés indéfiniment avec la même précision.
 Les décors (12’59) :  Tourner en décors réels apporte un plus au style visuel du film, mais l’un des lieux de tournage clés a posé quelques problèmes. La scène du village médiéval au début du film exigeait une neige abondante, ce qui ne devait normalement pas poser de problème dans la haute montagne de Vancouver, mais au moment du tournage, la région a connu un hiver inhabituellement sec… La neige était trop rare.L’expérience de Len Wiseman dans la création de décors l’a mené à privilégier l’utilisation de techniques directement à la prise de vues, comme les cascades ou les maquettes, plutôt que les images de synthèse. Patrick Tatopoulos explique : « Len aime beaucoup les décors réels. Cela demande plus de temps, plus d’efforts de la part du réalisateur. Les images de synthèse sont souvent plus faciles à utiliser, mais les décors réels apportent de la crédibilité. Même si un aspect d’une scène est traité en images de synthèse, nous nous assurions en permanence qu’il y avait quelque chose de vrai à filmer à la caméra. Par exemple, les ailes de la chauve-souris sont en images de synthèse mais le personnage est fait à partir des maquillages : il y a quelque chose de palpable, alors vous faites moins attention aux images de synthèse. »
La musique et le son (11’51) : Un film de ce calibre doit être très attentif à l’ambiance sonore et à l’impact de ces sons pour souligner l’action. C’est le son et la musique qui définissent l’univers de Underworld. Les home-cinéphiles seront donc particulièrement attentifs eux-aussi au travail sonore réalisé sur ce film.
Clip de "Her Portrait in black" de Atreyu (3’52) : En 2.0, c’est dommage , ce clip méritait une meilleure enveloppe sonore.
                            
Bonus
    
        
            
            Livret
 
        
            
            Bande annonce
 
        
            
            Biographies
 
     
    
        
            
            Making of
 
        
            
            Documentaire
 
        
            
            Interviews
 
     
    
        
            
            Com. audio
        
            
            Scènes sup
 
        
            
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            Bêtisier
 
     
    
        
            
            Bonus Cachés
 
        
            
            Court Metrage