Le Film
    Critique de Alexandre  Marreiro
    
    
    
        
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            Label
            
                
            
            Zone
            
                2
            
            Durée Film
            
                92 min
            
            Nb Dvd
            
                1
            
         
     
    
 
                            
	
Voilà six ans que Broadway repousse Tony Manero (John Travolta). Six ans que les théâtres légendaires refusent de reconnaître son talent. Malgré ses prestations reconnues dans les discothèques et les concours de danse, Tony doit survivre entre deux petits boulots. Une femme va alors lui redonner le goût de lutter et lui permettre de laisser exploser toute la rage qu'il a encore pour réussir.
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Peut-on donner une suite à un film mythique ? À cette question, les fans patienteront six ans avant d'avoir la réponse. Par contrat, Travolta devait tourner une suite. Mais pendant près de cinq ans, il refusera tous les scénarios qu'on lui proposera. Il ne les jugera "pas assez denses" ou "trop à l'eau de rose". En vacances à Hawaï, il découvre un jour Rocky 3. Impressionné par la mise en scène musclée, il a l'idée de proposer le sujet à Stallone qui, aussi surpris que flatté, va accepter. Le titre est choisi : Staying Alive. Un clin d'œil au plus célèbre titre des Bee Gees dans La Fièvre Du Samedi Soir et un trait d'union entre les deux films, Tony Manero tentant de "rester en vie" depuis six ans.
Mais Travolta ne sait pas encore qu'il n'a pas choisi la facilité. Stallone le trouve trop maigre. Il va donc le soumettre à un entraînement paramilitaire. Pendant 21 semaines, 6 jours par semaine, et jusqu'à 12 heures par jour, Travolta court, danse, nage pour remodeler son corps. À son menu : poulets, œufs, poissons et rien d'autre. Seul "vice" autorisé : le café. Face à lui, Stallone semble très à l'aise pour chorégraphier des ballets qu'il met en scène comme des séquences d'action dans Rocky. Les deux hommes sont impressionnés par leur énergie réciproque et le tournage est idyllique. À sa sortie, pendant l'été 1983, le film est un succès. Et la B.O. dépassera les 3 millions d'albums vendus. On est certes loin des 20 millions de La Fièvre Du Samedi Soir mais pouvait-on égaler un tel record ? Les vêtements portés par Travolta marqueront tellement les esprits que l'acteur aura l'idée de les sortir sous sa griffe. Et ils feront aussi un tabac !C’est une B.O. inattendue qui illustre le film car c’est  Frank Stallone, le jeune frère de Sylvester qui a composé huit des chansons du film. Ce n’est toutefois pas une première puisque la collaboration des deux frères avait commencé sur Rocky 3. Mais cette "suite" de La Fièvre Du Samedi Soir ne pouvait être réussie sans la présence des Bee Gees. Ils signent ici cinq nouvelles chansons et reprennent "Staying Alive" pour l'ultime scène du film. Étonnamment, c'est le titre "Far From Over", chanté par le jeune frère de Rocky, qui sera le plus gros carton, devenant l'un des tubes de l'été 83. 
                            
    
        L'image
    
    
    
    
        
            Couleurs
            
            Définition
            
            Compression
            
            Format Vidéo
            
                16/9 anamorphique couleur
            
            Format Cinéma
            
                1.78:1
						
            
         
     
    
 
                            
	Le film a fait l’objet d’une restauration dont le résultat apparaît inégal. Les contrastes auraient mérité d’être plus  accentués, les couleurs sont fades sauf sans les derniers numéros de danse ; les détails disparaissent dans la pénombre mais les lumières sont vives. La compression est bien maîtrisée sauf sur quelques plans qui sont passablement bruités. 
                            
                            
    Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Anglais                       
5.1
Français                      
4.0
 
                            
	La piste VO 5.1 présente une bande sonore clairement retravaillée, notamment dans son équilibre spectral. Pas de souffle, contrairement aux séquences parlées mais une dynamique malheureusement absente. Les ingénieurs du son ont réalisé un travail soigné pour les ambiances, les séquences musicales présentant des réverbérations propres à chaque endroit.
Attention, comparativement la VF 5.1 est une supercherie. Les surround se contentent de recopier les infos frontales sans aucune diaphonie. Les écarts sont ainsi très faibles entre la piste VF surround originale et la nouvelle piste 5.1.
La VO est indiscutablement plus probante et permet d’apprécier les longues chorégraphies de la fin du film dans de bonnes conditions.
 
                            
                            
    
        Les Bonus
    
    
    
        
            Supléments
            
            Menus
            
                
            
            Sérigraphie
            
            Packaging
            
            Durée
            
                0 min
            
            Boitier
            
                Amaray
            
         
     
    
 
                            
	Rien !
                            
Bonus
    
        
            
            Livret
 
        
            
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            Interviews
 
     
    
        
            
            Com. audio
        
            
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