Urusei Yatsura : Always my darling - Volume 6

Genre
Pays
Japon (1988)
Date de sortie
lundi 2 février 2004
Durée
85 Min
Réalisateur
Avec
Producteurs
Hidenori Taga
Scénaristes
Tomoko Konparu
Compositeur
Toshiyuki Ohmori
Format
Dvd 5
Site Internet
Informations
Complémentaires
Série TV créée d’après les personnages de Takahashi Rumiko.

Planning : Shigekazu Ochial
Direction de l’animation : Yukari Kobayashi
Character design : Setsuko Shibuichi
Direction artistique : Tarao Arai
Directeur de la photographie : Heitaro Daichi
Ingénieur du son : Shigeharu Shiba
Direction musicale : Yukio Kondo
Musique : Toshiyuki Ohmori
Générique : “Suki Kirei” interprété par Hanako Asada
Production : Kitty Film

Staff DVD :
Édition Française : Dynamic Visions
Producteur exécutif : Carole Levy
Assistants de Production : Stéphanie Leempoels, Manu Roy
Coordination : Bruno Parent
Conception des Menus : Benjamin Cohen-Jonathan
Authoring : Philippe Verhelst
Post-production : Studio l’équipe
Adaptation et Sous-titrage : Dybex
Pré-presse : Michael Ronsyn
Relations Presse : Philippe Christin

DVD Tout public
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Japonais
Non
Non
Non
Français
Oui
Non
Non
Le Film
Critique de Laurent Berry
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
85 min
Nb Dvd
1


L’histoire

Lorsque Ataru se fait enlever presque sous le nez de Lum, celle-ci entre dans une colère noire. Surtout que le ravisseur est ravissant : ils ’agit d’une jeune et jolie princesse extraterrestre répondant au doux nom de Lupica ... Mais si Darling s’est fait kidnapper, ce n’est ni pour son charme, ni pour son esprit ; la princesse désire simplement mettre la main sur un objet rare et précieux que seul le plus grand coureur de jupon de l’univers est en mesure de trouver !

évidemment, ni Ataru ni Lum ne connaît le fin mot de l’histoire. Compliqué, vous trouvez ? Disons que les petits malentendus forgent les grandes histories d’amour...

Dernier film de la série, « Always My Darling » vous emmènera de planètes en planètes dan un chassé-croisé mettant en scène – et  ce pour la dernière fois au cinéma – le panthéon de personnages créés par Rumiko Takahashi. Sur fond de science-fiction et de fantastique, ce sont les turpitudes amoureuses des principaux protagonistes d’Urusei Yatsura qui occupent la place centrale de ce film, aussi drôle et captivant que ses prédécesseurs...

Critique subjective

Urusei-yatsura ou Lamu est une création adaptée du manga éponyme de Rumiko Takahashi. Always My Darling est le sixième et dernier volume d’une série de 6 long métrages dans lesquels Lamu et tous ses amis évoluent. Ce sixième anime est cette fois adapté et dirigé par Satoshi Desaki.

Ce dernier film de la série, « Always My Darling » vous emmènera de planètes en planètes dans un chassé-croisé mettant en scène – et  ce pour la dernière fois au cinéma – le panthéon de personnages créés par Rumiko Takahashi. Sur fond de science-fiction et de fantastique, ce sont les turpitudes amoureuses des principaux protagonistes d’Urusei Yatsura qui occupent la place centrale de ce film, aussi drôle et captivant que ses prédécesseurs...

Cet opus final est en fait une sorte de retour au thème centraux de la série. On retrouve le caractère séducteur exacerbé d’Ataru et une histoire tout aussi dingue que le deuxième volume, Remember my love. En fait dans Always My Darling il est élu homme le plus lubrique de l’univers et Lupica qui recherche cet homme va le capturer pour qu’il aille récupérer un élixir d’amour dans un temple ancien.

Ce qui est remarquable et franchement désopilant c’est de voir ces petits bonhommes qui servent de serviteurs à Lupica s’extasiés devant les pulsions d’Ataru qui déploie une énergie phénoménale dès qu’il caresse un possibilité de rencontrer une jolie fille, même si pour cela il doit affronter les pires pièges dissimulés dans un temple ancien. D’ailleurs il doit être dans un état second dans ces moments là !

Verdict

On revient donc au ton à la fois loufoque et romantique de la série et on se régale. Ataru est plus excité que jamais et démarre au quart de tour dès que quelque chose de féminin pointe le bout de son nez et Lamu peut affronter une rivale de plus. L’histoire d’amour de Lupica avec son ami d’enfance rajoute à celle de Lamu et Ataru tandis que la galerie de personnage continue de plus belle et nous fait une démonstration de volley ball avec une énorme boule de glace pour ballon.
En conclusion général, c'est une série à posséder si vous aimez les univers de Rumiko Takahashi.
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
4/3 couleur
Format Cinéma
1.33:1


L’image reste de bonne facture et, en dépit de l’âge du film les couleurs sont belles. On ne note plus de ratures ou autres défauts de ce type et plus d’effet d’accentuation des contours.

Cependant on remarque un effet de scintillement de l’image surtout sur les lignes lors de scrolling horizontaux et verticaux. De plus ces scrolling sont un peu saccadés. La définition est un peu meilleur que sur les volumes précédents mais globalement la série souffre d’un manque de ce côté là.Toutefois, heureusement la série loufoque captive suffisamment pour que l’on ne focalise pas sur ce genre de détails.

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Japonais
2.0


On dispose d’une piste son Dolby Digital 2.0 en VO Japonais qui semble avoir bénéficié d’un meilleur codage sonore puisqu’on a les surrounds sur les enceintes arrières et c’est plutôt agréable. En effet, on  a toujours un son frontal qui profite bien sûr aux voix des personnages mais les sons périphériques et d’ambiances sont bien répartis sur les enceintes arrières.

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
0 min
Boitier
Amaray


Il n’y a pas de bonus dans cette série de dvd, seules des bandes annonces sont présentes au nombre de 4 sur Always My Darling.

Bandes-annonces
4 bandes annonces :
- Otaku No Video
- Noir
- You’re Uner Arrest The Movie
- Inuyasha

Menus

Sur ce Sixième volume comme sur le précédent, il n’y a pas de musique sur l’interface ce qui est dommage car le volume 4 avait bénéficié d’une interface certes simple mais chouette. Graphiquement il semblerait que sur le cinquième et le sixième volume moins d’efforts aient été consentis et l’illustration sonore en a fait également les frais. 
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage