Van Halen "Live without a net"

Genre
Pays
USA (2003)
Date de sortie
dimanche 1 août 2004
Durée
90 Min
Réalisateur
Producteurs
Simon Fields
Compositeur
Van Halen
Format
Dvd 9
Site Internet
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Anglais
Non
Non
Non
Le Film
Critique de Frédéric Deschryver
Editeur
Edition
Simple
Label
Zone
2
Durée Film
90 min
Nb Dvd
1


Van Halen

C'est en 1962 que la famille Van Halen émigre aux USA. C'est grace à Gene Simmons, le bassiste de Kiss que la formation des deux frères Ales (batterie) et Eddie (guitare) put produire sa première maquette. En 1978 le groupe sort leur premier album avec David Lee Roth au chant. Ce premier opus comporte des titres comme "running with the devil" ou  "you really got me", et l'incontournable solo de guitare "Eruption" où Eddie fait la démonstration de son talent. L'année suivante, vient "Van Halen II" avec des morceaux tout aussi exceptionnels comme "spanish fly" à la guitare acoustique. La suite, c'est "women and children first", "Fair warning", "Diver down" e 1982 avec le célèbre "pretty woman" de Roy Orbinson. A cette époque, Eddie tient la guitare sur Beat it de Michael Jackson. En 1983, le groupe sort "1984" avec le morceau "Jump". Van Halen est alors au sommet de sa gloire. L'année 1985 marque le départ de David Lee Roth. Le groupe sans voix s'adjoint alors les services de Sammy Hagar et sort "5150" avec "Why can't this be love". C'est à cette époque qu'est tournée la vidée "Live without a net" qui bénéficie aujourd'hui d'une sortie en DVD. Des dissensions apparaissent entre le chanteur et le groupe. En 1995, c'est Gary Cherone (Extreme) qui vient tenir le micro pour Van Halen III. Ce nouveau chanteur s'éclipse en 1999…

 

Le concert

Première tournée avec Sammy Hagar, ce concert ne date pas d'hier. Il s'agit en fait de la ressortie sur format DVD, d'un concert qui était déjà édite en VHS. Voilà donc l'occasion de retrouver ce groupe de légende sur notre support préféré!

Dès le début, le groupe commence fort avec «there’s only one way to rock». Ça déborde d’énergie, ça danse, ça saute dans tous les sens! Un grand show à l’américaine, impressionnant même si ça ne discute pas beaucoup avec le public, ou alors de très loin (inconvénient des concerts géants). Chaque musicien y va de sa démo. D’abord Alex avec un solo de batterie pas piqué des vers. On a même droit à un petit duo voix-guitare à la Led-Zep, puis vient le tour de Michael et sa basse magique (aux couleurs de la célèbre marque Jack Daniel’s). Bon, le solo est un peu lourdingue, mais vous pouvez faire autre chose en attendant la suite… C'est-à-dire Panama, histoire de nous réveiller!

Eddie

Mais alors, pour les amateurs de guitare, pour les inconditionnels de cet instrument, qu’ils soient pratiquants ou non, rendez-vous à la piste n°11, et préparez-vous à recevoir une claque! Et là, on oublie tout le reste. Durant plus de 10 minutes, Edward, le maître, nous offre une démonstration de son talent, de son génie. Une virtuosité époustouflante, une légèreté dans le jeu, un feeling! Les doigts s’envolent sur le manche, quelle maîtrise! Quelle aisance! L’inventeur du tapping fait s’envoler les notes devant un public en transe! Les doigts frappent, glissent, jonglent, les harmoniques s’échappent, les notes fusent, on reconnaît la ligne mélodique d’ «Eruption », le jeu ralentit, puis s’accélère de nouveau, quelle facilité! les médiators fusent en direction de la foule! De l’art, du vrai, quand Alex, le frangin vient conclure la démo.

Last but not least

Pas de temps mort, on enchaîne avec Sammy sur «I can’t drive 55» suivi de «ain’t talkin’ about love» et son célèbre riff, et on se dit que même si Sammy n’a pas le charisme de David, il ne s’en sort pas si mal! On enchaîne sur «Why can’t this be love»  avec Edward aux claviers, une basse percutante pour renforcer un rythme effréné. Vient ensuite, pour conclure le show, une superbe reprise de Led Zeppelin : « Rock’n’roll »

Un dernier mot

Un bonne occasion de revoir ce groupe mythique, bon, d’accord, sans David Lee Roth, mais quand même, le spectacle vaut le détour, ça saute dans tous les sens, ça se trémousse, ça trépigne ! Quelle énergie! Long live rock’n roll!

Les songs :There’s only one way to rock – Summer nights – Get up – Drum solo – 5150 – Best of both worlds – bass solo – Panama – Love walks in – I can’t drive 55 – Ain’t talkin’ ‘bout love – why can’t this be love – Rock and roll.
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
4/3 couleur
Format Cinéma
1.33:1
Le show commence à dater, et l’image aussi ! La qualité est à peine meilleure que celle d’une VHS. Les couleurs saturent, la définition laisse franchement à désirer

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Anglais
5.1
Anglais
2.0
Anglais
5.1


D’une excellente dynamique, les pistes 5.1 et DTS sont pratiquement identiques en terme de qualité. Elles offrent une grande précision mais ne vous attendez pas à des miracles en terme de multicanal, ce n’est en définitive qu’une stéréo améliorée, avec des arrières qui diffusent un vague écho, et une centrale qui ne fait que reprendre les deux avants. Le caisson de basses n’a qu’un rôle anecdotique. Finalement, même la piste stéréo peut se comparer aux deux autres.

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
0 min
Boitier
Amaray
Non, rien de rien, non, mais alors rien du tout!
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
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