The Chronicles of Riddick: Escape from Butcher Bay Developper's Cut

Genre
Pays
U.S.A (2005)
Date de sortie
vendredi 4 février 2005
Durée
600 Min
Producteurs
Vin Diesel
Plateforme
PC
Informations
Complémentaires
Pentium 4 ou Athlon cadencé à 2 Ghz, 512 Mo de Ram, Carte Vidéo Nvidia ou ATI de 128 Mo, Direct X9.0 c, Windows 200/XP/XP SP2, lecteur DVD-Rom
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Anglais
Oui
Non
Non
Allemand
Oui
Non
Non
Français
Oui
Non
Non
Le Jeu
Critique de Pierre Dubarry
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
600 min
Nb Dvd
1


Après avoir rassemblé des millions de joueurs sur Xbox, The Chronicles of Riddick s’invite sur nos PC sous une nouvelle version intitulée « Develloper’s Cut » . Toujours développé par Starbreeze, studio crée par l’acteur Vin Diesel lui-même  et édité par Vivendi Universal Games, une question brûle les lèvres de tout joueurs «  le jeu est-il un simple portage ou une nouvelle vision de la chose » ? La réponse se trouve dans cette critique, enfin si vous n’êtes pas effrayé par le noir…

 

 

 

Présentation

 

Pour ceux qui ne me connaîtraient pas encore, je me présente : Richard Riddick, mais ne  nous accommodons pas de bonnes manières, appelez-moi tout simplement Riddick. Je suis comme certains pourraient le qualifier un meurtrier, j’éprouve depuis ma naissance une profonde haine envers les humains, et ne fais confiance à personne, même pas à moi… Je viens de la planète Furiana, et en suit l’un des uniques rescapés suite à l’attaque des Necromongers. Je vie chaque jour avec une rage constante, qui me dévore petit à petit et me fais me repliez sur moi-même. J’éprouve également un refus total de l’autorité, ce qui m’a valu plusieurs séjours « charmants » dans toutes les prisons de la galaxie, mais j’écourte toujours mes vacances… Mais il n’y en a qu’une seule dont je garderai un souvenir intarissable « Butcher Bay », ce n’est pas une prison à proprement parler, mais plutôt l’antre secrète de Lucifer. Loin d’être une colonie de vacances, cette prison m’a totalement changé…en bien ? Non, plutôt en mal, mais un mal qui déferle le tel la tempête emportant tout sur son passage…

 

 

L’histoire

 

Riddick n’est pas un « Monsieur tout le monde », bien loin de là ! Au lieu d’éviter les ennuis, il prend un plaisir sournois à les attirer vers lui. Capturé par un chasseur de prime, Riddick va passer un long séjour dans le complexe ultra sécurisé de Butcher Bay. La pire prison de toute la galaxie, ou le détenu n’est qu’un matricule voué à obéir aux gardiens abusifs. Son but s’évader au plus vite, et éviter de finir tuer par un de ses congénères…

 

 

Pour commencer, tous les joueurs ne sont pas vouer à regarder les films éponymes pour s’adonner complètement au titre, bien que cela soit un désavantage en soit puisque pas mal de subtilités sont disséminés tout au long du jeu. Le jeu relate des faits antérieurs aux films « Pitch Black » et « Les Chroniques de Riddick » réalisés tout deux par David Twohy, comme sont illustre prédécesseur sur Xbox. Bien que le titre commence par une cinématique, présentant Riddick, en Robinson Crusoé de l’air polaire, ceci devrai rappelé à tout cinéphiles le début du deuxième film. Le jeu se présente donc comme un grand flash-back, permettant de mieux cerner le personnage torturé de l’anti-héro.

 

 

 

Bienvenue à Butcher Bay

 

Cette prison incarne à sa manière, l’antéchrist du personnage principal, y regroupant les frayeurs, et les douleurs du passé du personnage principal. Sa seule chance de survivre dans ce lieu, ou croupissent les pires criminels, est de rendre quelques services non dénués d’intérêts pour la suite. Ces services se traduisent généralement par des meurtres sauvages, pour obtenir des moyens de défenses, tel le poing américain ou une lame, autrement dit des produits de premières nécessités ! Après avoir eut assez de temps pour se « divertir » Riddick se doit d’entreprendre sa propre évasion, et ce par tous les moyens…

 

 

Une nouvelle vision

 

Là ou l’équipe de Starbreeze devait travailler d’arrache-pied, c’est bien entendu la maniabilité, d’un jeu pensé au départ pour console et adapté sur PC. Et le bilan est que le travail va au-delà de toute espérance. Les réfractaires au gameplay console peuvent se rassurer, le titre à complètement été remanié et ce de manière à offrir un titre adapté aux PCéïstes. Riddick se manie à merveille, et aucun défaut majeur n’est à signaler, une petite victoire pour les développeurs. Et pour les joueurs peu enclin au jeu du genre un tutorial en début de jeu les accompagnera pas à pas, présentant les nombreuses possibilités d’action du personnage.

 

Une difficulté évolutive

 

Après avoir réussi à s’évader du quartier des détenus, Riddick à accès dans un premiers à différentes armes comme le pistolet, mitrailleuse ou encore fusil à pompe ; dans un premiers temps signifie que par la suite du jeu, le joueur n’a plus accès à ses armes qui sont protégés par empreintes génétiques, et dans ces cas-là la meilleure défense est la furtivité. Au niveau de l’intelligence artificielle, on remarquera une nette évolution par rapport à son homologue console. Les gardes se cachent, font un feu de couverture et se déplacent lorsque le danger devient imminent. Mais là ou Riddick prends l’avantage c’est bien évidemment dans le noir le plus total, puisque je vous rappel que le personnage à la faculté de voir dans l’obscurité, et surprendre ses ennemis pour les mettre à terre, puis cacher les corps pour éviter de déclencher l’alerte. Le titre comporte deux types d’ennemis, les gardiens et les Mechs, robots anti-émeutes disposants d’une puissance de feu phénoménale et meurtrière, mieux vaut donc ne pas tenter l‘attaque frontale sous peine de finir sur un « Game Over ». Mais par la suite le personnage pourra en prendre le contrôle et retourner la propre arme de l’ennemi contre lui, l’enfermant ainsi dans son propre piège…

 

 

Se battre pour survivre

 

The Chronicles of Riddick « Developper’s Cut » est une bonnes surprises de ce début d’année sur PC. Proposant quelques différences avec son confrère sorti sur Xbox, il s’en tire à merveille et ne sombre pas dans les méandres de la linéarité. Proposant un gameplay et une maniabilité aux petits oignons, ainsi qu’un scénario sacrément fidèle à la vision du réalisateur David Twohy, ce jeu devrait combler tout fan de FPS pour un petit moment…En effet l’aventure si incroyable soit-elle ne sure qu’une dizaine d’heures. Mais pour palier à cela les développeurs vous ont concoctés une petite surprise…

 
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
1.33:1
The Chronicles of Riddick est tout bonnement splendide, un véritable régal pour nos rétines. Sa palette graphique se rapproche significativement d'un "Doom 3", l'interaction avec le décor en plus. L'ambiance visuel fait penser à un mélange entre "Total Recall" et "Alien", plutôt incohérent dans la théorie, ce la s'avère payant et convaincant dans la pratique. Les développeurs à ce sujet maîtrisent merveilleusement leur moteur graphique fait maison, le bump-mapping est omniprésent, et les jeux de lumières sont saisissant de réalisme. Au niveau du character-design le même soin à été apporté, spécialement pour le personnage de Riddick qui est criant de vérité! Les animations faciales sont de bonnes qualités. Du beau travail parfaitement en accord avec l'univers visuel de David Twohy.

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Anglais
5.1


Le niveau sonore du titre, atteint des proportions quasiment égales à ses homologues cinématographiques. Le jeu étant encodé en Doby Digital 5.1 pour un surcroit de rélaimse. Réalisme amplifié pour les heureux possesseurs de carte à la norme 24 bit HD instauré par Crative sur les Audigy 2 ZS. Tout les canaux sont sollicités, et majoritairement les enceintes avant ainsi que le Subwoofer qui plonge assez souvent dans les infra-graves même un peu trop... le seul bémol vient du fait que les surrounds arrières sont sous-utilisées et c'est dommage. Au niveau du doublage le tout est en VO sous-titrée, un choix indiscutable puique l'on retrouve les voix e Vin Diesel, Ron Pearlman ou encore Mickaël Rooker largement inspiré pour l'occasion, puisque les dialogues s'adressent avant out à un public averti.

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
400 min
Boitier
Amaray
Dès le début du jeu, le joueur a le choix de commencer par un tutorial, pas obligatoire mais efficace pour se familiariser avec le personnage. Le soft propose également des bonus en forme de paquets de cigarettes ou l'humour noir est omniprésent, quelques exemples: " Fumer donne l'air cool aux femmes" "Ne pas donner au enfants" ou encore "Ne remplace pas l'herbe". Mais le bonus le plus intéressant et le plus novateur puisque que c'est la première fois qu'il fait son apparition sur PC, c'est le commentaire audio de l'équipe de développement, ainsi qe de l'acteur Vin Diesel qui, je vous le rappelle, a lui même crée le studio Starbreeze. Un commentaire qui sera débloqué une fois le jeu terminé, et qui se lancera automatiquement lors de certains passages clés. Pas nécessaires mais vraiment riches, et force est de constater qu'on y prends goût très vite !
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage