Le Film
    Critique de Alexandre  Czapski 
    
    
    
        
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            Edition
            
                Standard
            
            Label
            
                
            
            Zone
            
                2
            
            Durée Film
            
                90 min
            
            Nb Dvd
            
                1
            
         
     
    
 
                            
	
Synopsis :
Après de longues années d'errance, le docteur Banner est devenu un simple employé dans un laboratoire isolé. Alors qu'il est sur le point de trouver un remède à son mal, un groupe de terroristes saborde ses plans.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
L’incroyable Hulk :
Le docteur David Banner, cherchant à canaliser les forces occultes que recèle tout être humain, voit un jour la chimie de son organisme modifiée par une émission trop forte de rayons Gamma. Depuis, lorsqu'il ressent une offense ou un choc émotionnel, une saisissante métamorphose s'opère... Il devient une créature, animée par la rage, incontrôlable, qui détruit tout sur son passage. Cette dernière est recherchée pour un meurtre qu'elle n'a pas commis et David Banner est officiellement mort, jusqu'à ce qu'il arrive à contrôler la force dévastatrice qui sommeille en lui.
 
Critique subjective :
 
Quand une série télé quitte le petit écran :
C’est un bien grand mal qui touche les téléspectateurs. Les symptômes sont multiples. Après les crises de colère (accompagnées généralement de tremblements et plus rarement de cécité psychosomatique) qui sont suscitée par l’annonce de la fin de la série, le téléspectateur est plongé dans grave état de manque que les éventuelles rediffusions des saisons antérieures ne peuvent combler. Les effets sont encore bien pires quand la série s’arrête prématurément. Le caractère inachevé de ces série peut plonger les fans dans les boucles psychologiques inextricables : des questions viennent à leurs esprits sans jamais trouver de réponses, la meilleure alternative étant pour eux de remplacer la réponse par une reformulation de la question. Ce fut le cas avec la fin de la diffusion de la série l’incroyable Hulk. David Bruce, le plus grand fan de l’incroyable Hulk du monde, dans son délire, n’a cessé de répéter sans cesse et ce jusqu’à ce que sa vie cesse : « Je suis vert de rage ! Mais qu’est devenu l’incroyable Hulk après le dernier épisode de la série ? ». Essayons d’illustrer nos propos par un exemple de reformulation : « Grrrr ! Après ce dernier épisode, qu’est devenu David Banner ? Je suis vert ! ». Vous pouvez remarquer qu’il s’agit bien du plus grand fan de la série télé, les fans du comics correspondant appelant leur héro Bruce et non David…
 
Mais qu’est devenu l’incroyable hulk après le dernier épisode de la série ?
Afin de répondre à ces questionnements dont nous parlions plus haut, Bill Bixby a choisi de proposer au monde un téléfilm palliatif. Contrairement à ce que l’on essaye de nous faire croire, La mort de l’incroyable Hulk n’est pas à proprement parler l’épisode ultime de la série télévisée. En effet, il s’agit d’un téléfilm qui fut tourné près de dix ans après le dernier épisode de la série originelle. (Notre but n’est pas, ici, de jouer sur les mots : vous allez bientôt comprendre le but de cette remarque grossière mais nécessaire). 
 
Une question de taille…
Bill Bixby a choisi de respecter, à peu de choses près, le format narratif de la série originelle. Au début de ce téléfilm, on retrouve donc David (et non Bruce) Banner dans l’un de ses rôles du quotidiens qu’il endosse pour garder l’anonymat. Ensuite, un événement, disons gamma, va perturber son train-train pour laisser exploser la colère de la bête qui sommeille en lui. En général, dans les épisodes, David démasqué doit reprendre la route. Ici, la fin est très légèrement différente (mais nous ne la dévoilerons pas dans cette critique). L’un des plus grands problèmes de ce téléfilm vient de la durée de celui-ci. Le respect du format narratif était sans doute pertinent : pourquoi ne pas replonger le spectateur dans l’ambiance de la série ? Malheureusement, puisqu’il s’agit d’un téléfilm, la durée est bien plus importante que pour un épisode plus « classique ». Ce téléfilm manque ainsi cruellement de rythme. On est presque tenté par moments d’utiliser sa télécommande pour passer un chapitre. D’ailleurs, dix années après le dernier épisode, Bill Bixby a bien du mal à nous interpréter le rôle de Bruce (non, David !) Banner. Sa performance d’acteur n’est pas des meilleures ce qui alourdit encore l’impression générale suscitée par ce téléfilm…
 
Un dernier mot...
Un film qui est plutôt ennuyeux. Une édition qui est bien trop décevante en termes de qualité et pas de bonus pertinents. Un Hulk tout pale...
                            
    
        L'image
    
    
    
    
        
            Couleurs
            
            Définition
            
            Compression
            
            Format Vidéo
            
                4/3 couleur
            
            Format Cinéma
            
                1.33:1
						
            
         
     
    
 
                            
	
Tout comme David Banner, le DVD possède une surprise cachée et colorée. Cette surprise qui n’en est pas une bonne est que la qualité de l’image est bien décevante. La compression est décevante : l’image grouillante a du être exposée à une trop grande quantité de rayons gamma. Dans cette édition, le pauvre Hulk n’a pas la forme : il est tout pale. En effet, les couleurs ne sont pas très saturées. L’ensemble n’est pas à la hauteur de ce que l’on pourrait attendre du support dvd : ici c’est tout juste du niveau de la VHS… Dommage…
                            
                            
    Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Allemand                      
2.0
Anglais                       
2.0
Espagnol                      
2.0
Français                      
2.0
Italien                       
2.0
 
                            
	
L’édition nous propose cinq pistes sonores différentes toutes quasi identiques d’un point de vue technique. Originellement en mono, l’édition propose un re-mixage en stéréo. Malheureusement, la dynamique est très « plate », la stéréo pas très « large » et le spectre sonore couvert peu étendu...
                            
                            
    
        Les Bonus
    
    
    
        
            Supléments
            
            Menus
            
                
            
            Sérigraphie
            
            Packaging
            
            Durée
            
                9 min
            
            Boitier
            
                Amaray
            
         
     
    
 
                            
	
Un trio de bandes annonces de la fox, oui, trois, en dolby digital stéréo. Xmen 1.5, Xmen 2 et Daredevil.
                            
Bonus
    
        
            
            Livret
 
        
            
            Bande annonce
 
        
            
            Biographies
 
     
    
        
            
            Making of
 
        
            
            Documentaire
 
        
            
            Interviews
 
     
    
        
            
            Com. audio
        
            
            Scènes sup
 
        
            
            Fin alternative
 
     
    
        
            
            Galerie de photos
 
        
            
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