Synopsis
Sylvia va se marier avec Edouard. Le couple compte s'installer en Angleterre en amenant avec eux la fille de Sylvia, la petite Marie. Or ses trois papas se sont tellement attachés à elle qu'ils refusent l'idée de la laisser partir aussi loin d'eux.
Critique subjective
A mi-chemin entre le remake et la séquelleDevant l'énorme succès du film en France et dans les pays étrangers (le long métrage de
Coline Serreau a connu une sortie américaine),
Trois hommes et un couffin s'est vu l'honneur d'un
remake américain.
Trois hommes et un bébé (Three men and a baby), porté par
Tom Selleck,
Steve Guttenberg et
Ted Danson en 1987 a remporté un joli succès aux Etats-Unis, sans pour autant se révéler aussi phénoménal que son homologue français. La suite de ce
remake ne se fera pourtant pas attendre puisqu'en 1990 sortira sur les écrans américains
Tels pères, telle fille (Three men and a little lady).
Et donc
Il est amusant de constater l’écart entre cette suite du remake et la suite de l’original. Tels pères, telle fille joue sur le même registre que son opus précédent, les relations pères. Fille mais Marie est encore une petite fille de 6 ans. Le scénario recycle les situations et joue sur les personnalités des acteurs, Tom Selleck est charmeur, Ted Danson joue un acteur et Steve Gutenberg joue Steve Gutenberg tel qu’on a pu le voir dans Police Academy.
Un dernier mot
Un film sympathique qui se laisse regarder sans déplaisir, et qui s’oublie aussi vite.
Elle est correcte, le master est légèrement abîmé et laisse voir des taches et des points blancs (surtout le générique de fin sur fond noir)
Dolby Prologic clair et intelligible où les voix sont parfaitement audibles si on pousse un peu le son. De temps à autre un peu d’effet. Nous avons le droit à al version québecoise et même si l'accent est léger, il est parfois génant. Mais où est donc la version française ?.