L’histoire :
Tokyo, début du XX ème siècle ... La ville est assaillie par des forces démoniaques conduites par le machiavélique Satan. Les Hanagumi, troupes de choc de la ville, mènent un combat dans merci aidées de leurs fidèles robots Hôbu qu’elles pilotent grâce à leurs forces spirituelles. Sakura, digne héritière de la famille Shinguji dont le destin est de sauver le monde, rejoint elle aussi l’organisation. Grâce à sa vaillance et de sa gentillesse, Sakura parviendra-t-elle à affronter sa destinée ?
L’entraînement des filles d’Hanagumi reprend de plus belle sous le commandement d’Oogami, qui, aidé de Kana, parvient à instaurer d’avantage d’esprit d’équipe parmi ses troupes. Cependant, Oogami est kidnappé par Setsuna et torturé. Pendant ce temps, Sakura apprend peu à peu à se familiariser avec son robot, mais demeure toujours à l’écart du groupe.
Épisode n°6 : L’esprit des Kôbu
Épisode n°7 : Une délicieuse façon de vivre
Épisode n°8 : Voici une revue !
Épisode n°9 : La fille qu’on appelait oiseau de feu
Épisode n°10 : Kanna qui appelle une tempête
Résumé des épisodes
Épisode n°6 : L’esprit des Kôbu
Dans l’épisode précédent la division de Hanagumi a subit une défaite et le Commandant Yoneda décide de rappeler deux anciennes recrues. La désopilante Li Kôran qui est experte des kôbus et Kanna Kirishima le garçon manqué. Dans cette épisode Li Kôran qui répare les Kôbu explique à Sakura que les Kôbu ont un cœur de cristal et qu’elle doit se synchroniser avec son robot pour en tirer le meilleur.
Épisode n°7 : Une délicieuse façon de vivre
Kanna à peine arrivé doit sauver un homme attaqué par le démoniaque Setsuna. Cependant les filles reçoivent de nouvelles directives du commandement Oogami et doivent désormais manger toutes en semble et à des horaires fixes ce qui ne les enchantent pas. Toutefois les filles progressent dans l’utilisation des Kôbu.
Épisode n°8 : Voici une revue !
C’est l’anniversaire de la mort de Sakura mais elle ne veut pas rentrer dans son village pour assister à la célébration car elle doit tenir un rôle dans une revue à laquelle participe toute la petite troupe. Sumire est en colère à cause des erreurs de chorégraphie de Sakura et menace de ne pas participer à la représentation mais elle finit par changer d’avis et tout rentre dans l’ordre.
Épisode n°9 : La fille qu’on appelait oiseau de feu
La sérieuse Maria d’origine Russe semble perturber ces temps-ci par son passé qui lui rappelle des moments désagréables mais elle arrive à maîtriser ses démons pour venir en aide au commandement Oogami, kidnappé en pleine rue devant les filles puis torturé par Setsuna.
Épisode n°10 : Kanna qui appelle une tempête
Kanna qui se repose sur le toit de la pension, annonce qu’un typhon va s’abattre sur la ville avant même que le nouveau système de prévision météorologique de la ville ne l’ait prévu. La ville va t-elle subir ce phénomène naturelle ?
Critique subjective :
La série se laisse regarder sans problème mais comme cela a été signalé déjà sur
Sakura Wars volume 1,
on regrette qu'il n'y ait pas plus de combat de mecha.
Bien que l'image soit plutôt correcte sur ce dvd on sent qu'on regarde un OAV (Original Video Animation), destiné à la vente directe en vidéo.
On a un traitement graphique très en aplat et seules les scènes d'entrainement des filles avec leurs Kôbu par simulations en image de synthèse ont un traitement graphique évoquant un univers plus futuriste et hi tech.
Sinon certains passages proposent des effets graphiques plus élaborés mais on ne peut pas dire que le niveau graphique soit exceptionnel. Il se tient voilà tout.
Verdict :
Dans cette série d’épisode, peu d’action. Seul l’épisode n°7 propose une vraie scène de combat entre les Kôbu, le maléfique Setsuna et des Wakiji. On peut être lassé par des développement aussi longs sur des aspects de la vie quotidienne des filles de Hanagumi. Espérons que la série se poursuit en augmentant la dose d’action car sinon l’ensemble pourrait apparaître comme une soupe trop diluée.
L’image est plutôt de bonne facture bien que quelques fois l’effet « trop de lumière » tisse un voile blanchâtre qui n’est pas forcément du plus bel effet. Cependant les couleurs sont vives sur les passages calmes dans la maison des Hanagumi.
Le son est plutôt bon avec une bonne dynamique mais une spatialisation moyenne, à vrai dire on ne la ressent pas mais ça n’est pas un manque car l’ensemble est claire. La spatialisation n’est pas très présente non plus.