Star Trek : Deep Space Nine - Saison 6 / Nouvelle édition

Titre Original
Star Trek : Deep Space Nine
Pays
Usa (1996)
Date de sortie
mardi 20 novembre 2007
Durée
999 Min
Producteurs
Rick Berman, Michael Piller
Scénaristes
Katharyn powers, Gerald Stanford, Michael Piller...
Format
Dvd 9
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Anglais
Non
Non
Non
Français
Oui
Oui
Non
Le Film
Critique de José Evrard
Editeur
Edition
Coffret
Label
Zone
2
Durée Film
999 min
Nb Dvd
1

Synopsis

Deep Space Nine (DS9) est une station spatiale en orbite autour de la planète Bajor. La station était sous le contrôle des cardassiens. Au début de cette première saison, elle passe sous le contrôle de Starfleet. Le commandant Benjamin Sisko (Avery Brooks) est choisi pour remettre la station en état. A son arrivé, il trouve Ds9 dans un état lamentable. Dépourvue de tout armement, la place forte est précaire. En effet, en partant, les Cardassiens ont emmenés presque tout ce qui avait de la valeur. Ils laissent donc, derrière eux,  la station a l’abandon. Sisko rencontre alors les membres de l’équipe avec laquelle il doit rendre la station opérationnelle. Le command en second: le Major Kira Nerys, une femme Bajorane, son chef de la sécurité, Odo (Rene Auberjonois), un métamorphe et aussi l’ingénieur en chef Miles O'Brien (Colm Meaney) du vaisseau l’Entreprise (et aussi de la série "Star Trek: The Next Generation"). Pendant l’épisode pilote, un trou noir apparaît près de la station, créant un passage à travers l’espace et le temps pour une région éloignée de l’univers. La station se voit ainsi dotée d’un grand intérêt commercial et stratégique.

Critique Subjective
Un pari risqué
Star Trek: Deep Space Nine représentait, à l’époque de sa première diffusion, un pari risqué, sorte de tentative de la part de Rick Berman, le responsable de la franchise Star trek de donner un petit coup de booster à cet univers imaginé en 1966 par Gene Roddenburry. Tandis que « The Next Generation était plutôt une sorte de mise à jour de la série originale, Ds9 apparaît plutôt comme une nouveauté. Un pari risqué ? Les fans accepterons t ils Star Trek sans l’entreprise ? En fait, il apparaît que les Trekkeurs sont, à ce sujet, divisés en deux camps. D’un coté, ceux, hardcore trekkeurs, qui voient en Deep Space Nine un enfant bâtard, sorte de produit dérivé anormal, de l’autres ceux qui pensent qu’il s’agit bien de l’une des meilleures séries dérivée de celle originale.

La saison 6
Deep Space Nine est à un tournant de sa carrière, arrivé à la saison 6, il fallait bien se renouveler quelque peu. En effet la force de Deep Space est l’exploration des modes de vie extraterrestre de al base elle-même et de ses visiteurs. Cette saison explore un peu le coté people avec un mariage. Worf devient un membre permanent de la base et accède même au poste de chef de la sécurité… A part l’arc central centrée autour de la bataille entre la fédération et les cardassiens, cette saison alterne els épisodes grandioses (cet arc) et les épisodes bavards et sans intérêt. Il faut bien avouer que le coté statique de la base épuise vite les scénarii. Mention spéciale à Au delà des étoiles (8’38) sur un écrivain de science-fiction des années 40 joué par Sisko qui imagine l’univers de Deep space Nine. Cet épisode est le plus intéressant de cette saison tant dans sa reconstituions des années 40 que dans el propos.

Un dernier mot
A réserver aux fans ?

Guide des épisodes

Volte-face (A Time to Stand)
Les naufragés (Rocks and Shoals)
Fils et filles (Sons and Daughters)
Derrière les lignes (Behind the Lines)
Gloire aux braves (Favor the Bold))
Le sacrifice des anges (Sacrifice of Angels)
Vous êtes cordialement invités (You Are Cordially Invited...)
Résurrection (Resurrection)
Probabilités et statistiques (Statistical Probabilities)
Les sept Ferengi (The Magnificent Ferengi)
La Danse de la folie (Waltz)
Qui va pleurer Morn ? (Who Mourns for Morn ?))
Au-delà des étoiles (Far Beyond the Stars)
Il était un petit navire (One Little Ship)
L'Honneur des voleurs (Honor Among Thieves)
La Loi du cœur (Change of Hearts)
Les péchés du passé (Wrongs Darker then Death or Night)
Inquisition (Inquisition)
Sous la lune pâle (In the Pale Moonlight)
Chacun sa manière (His Way)
Le Jour du jugement (The Reckoning)
Valiant (Valiant)
Profits dans la dentelle (Profit and Lace)
Orpheline du temps (Time's Orphan)
Le Son de sa voix (The Sound of her Voice)
Les Larmes des prophètes (Tears of the Prophets)

L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
1.85:1

L’avis est le même que pour les saisons précédentes. L’image possède toujours une définition douce… Nous vous invitions bien entendu à consulter les autres critiques de DS9 présentes sur le site pour avoir de plus amples renseignements concernant ce point précis. Avec son ton plus sombre, les producteurs ont aussi très légèrement transformé la série sur le plan visuel. En général, l’éclairage semble plus tamisé et les ombres, bien plus nombreuses, sont bien définies


Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Français
2.0
Anglais
5.1

Toujours pas de piste dolby digital 5.1 en VF. Il faut se rendre à l’évidence, Paramount ne va probablement pas nous en proposer pour cette collection… Dommage ! Pour le reste, l’avis est aussi le même que pour les saison précédentes : la version française stéréo manque de dynamiques. La série sera regardée en version originale : largement supérieure en termes de qualité…


Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
80 min
Boitier
Amaray

- Dossier du personnel : Julian Bashir (14’11) : Découvrez un membre du personnel important pour le moral de l’équipage
- Dossier du personnel : Quark (15’50) : Quark est le personnage le plus décadent de cette série, c’est amusant de découvrir l’acteur derrière le masque.

Reportage sur l’épisode Au delà des étoiles (8’38) sur un écrivain de science-fiction des années 40 joué par Sisko qui imagine l’univers de Deep space Nine. Cet épisode est le plus intéressant de cette saison.
- Croquis de DS9 par John Eaves (9’05) : Belle interview du concepteur graphique de la série
- Galerie photos
- Gary Hutzel dans "Il était un petit navire..."  ‘4’23) : Retour sur l’épisode où les protagonistes sont réduit à une taille microscopique
- Les régles de l'acquisition ferengie : le projet (4’46) : peit précis de philosophie ferengi par Qurk et ses 251 devises
- Les régles de l'acquisition ferengie : la suite : cf ci-dessus

 

Un dernier mot sur les bonus

Comme pour les éditions précédentes, l’interface de la section des bonus est particulièrement irritante. Contrairement aux autres disques, disposant d’une bien belle interface d’inspiration cardassienne, celle dont nous parlons ici ne nous permet pas, par exemple, de voir tous les bonus immédiatement. Si vous cherchez un bonus spécifique, vous devrez utiliser les flèches de votre télécommande pour faire apparaître le titre des petits reportages. Ensuite, il y a les dix « fichiers cachés ». Ces mini-featurettes vaudraient la peine d’être regardées mais il vous faudra redoubler de patience et jouer à la chasse aux bonus. L’enjeu était sans doute de proposer une interface ludique mais l’ensemble s’avère peu pratique et plutôt ennuyeux… Fausse note ?

Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage