Love & Game

Pays
USA (2011)
Date de sortie
mercredi 15 février 2012
Durée
111 Min
Réalisateur
Producteurs
Debra Martin Chase et Shakim Compere
Scénaristes
Michael Elliott
Compositeur
Lisa Coleman et Wendy Melvoin
Format
Dvd 9
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Français
Oui
Oui
Non
Anglais
Oui
Oui
Non
Le Film
Critique de Emmanuel Galais
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
111 min
Nb Dvd
1
Alors qu’elle l’aide à trouver la forme, une femme kinésithérapeute, tombe amoureuse d’un joueur de basket dont la carrière est menacée. Les choses se compliquent lorsque sa meilleure amie commence à courtiser le joueur.

Remarquable dans « Hairspray » ou encore dans « Chicago », Queen Latifah sait aussi s’amuser dans des rôles plus légers, comme cela est le cas dans « Love and Game » de Sanaa Hamri. La comédienne sait faire dans le lourd mais aussi dans le tendre, on a pu le remarquer à de nombreuses reprises. Cette fois-ci, contre toute attente, l’actrice se lance dans la comédie romantique avec tous les codes que cela inclus : De la tendresse, un peu de surjeux, beaucoup de regards empathiques et ainsi de suite.

Le problème de ces comédies romantiques, et « Love and Game » n’échappe pas à la règle, c’est que l’on sait déjà tout ce qu’il y a a savoir dans les cinq premières minutes du film. On sait par exemple que l’héroïne est une fille pas forcément dans la norme, un peu triste de cela, très proche de ses amies, un peu trop parfois, au risque de se laisser canibaliser par les bonnes copines qui ne peuvent se retenir de se jeter sur la première proie qu’elles croisent, on sait que l’héroïne aime les gens, qu’elle répond à une exigence comportementale irréprochable, on sait aussi qu’elle va vouloir aider un homme, beau, un peu blessé par la vie, inatteignable tant ils sont différents physiquement et mentalement parlant, mais on sait aussi qu’ils vont finir par s’aimer contre toute attente des autres personnages, et ainsi de suite.

Mais le véritable soucis dans tout cela, c’est que, malgré tout la sauce prend quand même. On finit, un peu bêtement peut-être, par se prendre au jeu, regarder le film avec une certaine juvénilité. On connait d’ores et déjà la fin du film, mais comme des jeunes filles qui regarderaient pour la première fois « Coup de foudre à Notting Hill », on est là ! Hypnotisé, capté par le film, dont la réalisation classique ne prend aucun risque, bien au contraire, mais est suffisamment simple pour nous laisser, à un moment, planer le doute : « Et si ils ne tombaient pas amoureux ? ». C’est toute la force de ces films que de réussir à nous entrainer et à nous captiver avec des histoires maintes fois racontées, sans jamais nous lasser.

En conclusion, « Love and Game » ne brille pas par sa prise de risque c’est évident, mais le charme opère quand même et l’on reste tout de même captivé par cette histoire d’amour classique. Le charme de la distribution y participant allègrement !
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
1.85:1
Une image soignée, qui sait se faire brillante avec des noirs présents, des contrastes bien dosés pour mieux habiller l’atmosphère du film, et respecter ainsi les images soignées du directeur de la photo. Les couleurs parviennent à garder une certaine chaleur tout en gardant une certaine simplicité pour jouer sans trop d‘excès entre les intérieurs et les extérieurs. L’ensemble est soigné, et participe au plaisir coupable d'apprecier le film.

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Anglais
5.1
Français
5.1
Une bande son qui a du mal a garder un certain équilibre entre les dialogues et certains effets sonores. L’ensemble ne manque toutefois pas d’intérêt et ne gâche rien au visionnage du film. On est tout de même obligé de jouer régulièrement avec la télécommande. Côté dynamisme, l’ensemble ne brille pas par son énergie, donc on passera son tour sur le sujet.

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
20 min
Boitier
Amaray
2 reportages en guise de making of qui reviennent de façon très promotionnelle sur les dessous de ce film. Un procédé décidemment pénible pour le spectateur qui comprend très vite que l’on nous propose du remplissage et rien de plus. Puis un bêtisier. Pesant !
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage