La Tour Infernale

Titre Original
The Towering Inferno
Genre
Pays
Usa (1974)
Date de sortie
mercredi 9 juillet 2003
Durée
165 Min
Réalisateur
Producteurs
Irwin Allen
Scénaristes
Stirling Silliphant
Compositeur
John Williams
Format
Dvd 9
Informations
Complémentaires

Afin qu'il ne lui vole pas la vedette, Steve McQueen a insisté pour que Paul Newman, son partenaire dans le film, ait autant de réplique que lui. Par ailleurs, McQueen et Faye Dunaway ont demandé qu'aucun visiteur ne les approche sur les plateaux.
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Français
Oui
Non
Non
Anglais
Oui
Non
Non
Néérlandais
Oui
Non
Non
Le Film
Critique de José Evrard
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
165 min
Nb Dvd
1


Warner Infernal

Synospis
C'est le jour de l'inauguration officielle de la Tour de Verre, monstre de 138 étages qui s'élève en plein coeur de San Francisco. Doug Roberts, l'architecte qui a conçu le projet, s'aperçoit que le constructeur, James Duncan, et surtout le gendre de ce dernier, Simmons, ont préféré l'économie à la sécurité. Il est trop tard, évidemment, pour annuler la somptueuse réception à laquelle vont assister le maire Ramsay et le sénateur Gary Parker. Tandis que, au sommet de la tour, la fête bat son plein, un câble grillé dans le disjoncteur provoque un début d'incendie au 81e étage. L'incendie couve un moment puis éclate et gagne les étages supérieurs. Très vite, les escaliers et les ascenseurs sont bloqués. Les pompiers, menés par O'Hallorhan luttent avec un véritable héroïsme pour vaincre l'incendie. Mais leurs efforts se révèlent dérisoires. Au sommet, la panique gagne.
Critique subjective
La rare alliance de deux majors
Après le succès de L’aventure du Poséidon en 1972, les films-catastrophe furent à la mode. Afin d'éviter de se concurrencer sur le même créneau, Warner Bros. et 20th Century Fox s'unirent sur ce projet, la Warner rachetant les droits de The Tower de Richard Martin et la Fox ceux de The Glass Inferno de Thomas N. Scortia et Frank M. Robinson. Le titre original du film The Towering Inferno est ainsi le résultat d'un mélange des titres des deux romans dont s'inspire le film, tout comme le nom de l'immeuble en feu The Glass Tower. Le scénariste Stirling Silliphant a également fait attention à bien mélanger dans son scénario les deux romans : il reprend ainsi les trames principales des deux histoires tout en réunissant sept des personnages principaux de chaque roman.
L’ombre d’Irwin Allen
Producteur ambitieux (La tour infernale, dont il aurait signé les séquences d'action), il réalise des films spectaculaires (Le monde perdu, Cinq semaines en ballon) avant de devenir un des chantres du film catastrophe (L'inévitable catastrophe où des essaims d'abeilles tueuses finissent par détruire Huston, Le dernier secret du Poséidon).
L'Aventure du Poseidon II
L'ombre de L' Aventure du Poséidon  semble planer sur La Tour infernale. En effet, dans certaines scènes, on peut entendre en fond sonore la version instrumentale de The Morning After, une des chansons du film. De plus, on retrouve dans La Tour Infernale des acteurs ayant eu des seconds rôles dans L' Aventure du Poséidon : Sheila AllenJohn CrawfordErik Nelson et Ernie Orsatti. On y retrouve le même souffle épique et héroïque, on remplace le huis-clos du bateau par celui de la tour et on multiplie tout par 10 pour faire encore mieux, grand, parfait. Hollywood….. Ce film est un hommage, une apologie de l’héroisme ordinaire. Celui des pompiers et de son capitaine (Steve en grande forme) est exemplaire. Etrange écho qui s’est révélé exact un fâcheux 11 septembre.
Un dernier mot
Warner traite bien mal les grands films de son catalogue. La Tour Infernale est un bon film qui aurait mérité mieux de la part de son éditeur. Bon film, piètre DVD.
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
2.35:1


Elle est infernale alors qu’elle aurait du être sublime, les contrastes sont bien difficiles alors que tout ce film se passe la nuit. Le Zone 2 a hérité d’un transfert 16/9 contrairement à son homologue américain, ce qui améliore un peu les choses. Pour un film d’incendie, la fumée met le feu à la compression. Soyons indulgent vu l’age du master et l’outrage subi.

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Anglais
2.0
Français
2.0


Petit comparatif avec le zone 1 mais dans l‘autre sens , le Zone 1 dispose d’une Vo 5.1 qui s’est noyée en traversant l’océan. Alors 16/9 et stéréo ou 4/3 et 5.1. De qui se moque-t-on ? Par contre, drole d’impression,  la Vf n’est pas celle de mon enfance. Et coup de bol, le film repassait sur le câble, petit comparatif vite fait, tout a été redoublé et l’impression qui s’en dégage ne colle pas vraiment aux personnages de héros dont le film fait l’apologie.. De qui se moque-t-on deuxième édition ? 0 pointé pour la piste son pour tous les défauts mentionnés ci-dessus et coup de gueule du jour.

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
0 min
Boitier
Pochette cartonnée


Rien évidemment.
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage