Young guns 2

Synopsis


1879. Un an après la guerre qui opposa deux des plus grands éleveurs du Nouveau-Mexique, la bande de Billy le Kid s'est dispersée à travers tout le pays. Mais les politiciens veulent rétablir l'ordre. C'est Garrett, ancien compagnon blanchi par le gouverneur Wallace, qui est chargé de supprimer Billy.



Critique Subjective



Chisum


Il serait amusant de croiser cette critique avec celle de Chisum, puisque ces deux films traitent du même sujet : de l’implication de Billy the Kid dans la guerre des éleveurs qui fit rage au nouveau Mexique. En effet , Six jeunes hommes sont engagés pour faire régner l'ordre sur le domaine d'un riche propriétaire terrien, mais après le meurtre de ce dernier, la bande décide de prendre un autre chemin. Le groupe, avec Billy the Kid en tête, se mérite rapidement la réputation de criminels et devient hors-la-loi. Ca c’était le moment où nous avions laissé Billy le Kid dans le premier opus. Mais les producteurs ont décidé de remettre le couvert en poursuivant le film là où le premier s’arrétait.



Mais…


La comparaison s’arrête là, là ou le film de Mc Laglen avec John Wayne renvoie avec force à un mythe américain, Young guns ne fait que se concentrer sur le personnage de Billy le Kid, joué par Emilio Estevez. Et le choix de cet acteur en permet pas alors de comprendre le charisme du leader et son coté sanguinaire. Pourtant le postulat de départ est assez intriguant. Dans les années 50, un vieux cow-boy convoque un avocat afin de demander le pardon du gouverneur de l’état, cet homme est billy le Kid centenaire. Et il raconte son histoire pour prouver son identité. De plus le Young guns 1 avait el mérite d’un double symbole : le renouvellement du western pour un public plus jeune et la présentait des nouveaux jeunes d’Hollywood,. Le deuxième opus tente le même schéma mais sans grand succès : Kiefer Sutherland, Lou Diamond Phillips, Christian Slater, Emilio Estevez, Alan Ruck, n étant plus vraiment de jeunes pieds tendres.



Un dernier motUn western sans grande envergure qui ne vaut même pas pour le casting et le traitement banal d’une histoire maintes fois raconté ailleurs avec plus de brio.

L’image est correcte et les contrastes s’en sortent plutôt bien lors des scènes de jour. C’est la nuit tombée que tout se gâte et alors il faut sortir une lampe de poche pour éclairer l’écran.

Vf en 2.0 assez dynamique et très frontal. Les voix sont claires et intelligibles. En Vo le son est alors bien meilleur, surtout sur la scène frontale et la dynamique de l’ensemble, les surrounds étant anémiques sur ce mixage.

Menu et Interactivité

Menu fixe et muet avec le mimimum syndical.


Bonus

Rien.