The black hole

Pays
USA (2006)
Date de sortie
mardi 4 décembre 2007
Durée
90 Min
Réalisateur
Producteurs
Kenneth M. Badish, Boaz Davidson, Avi Lerner
Scénaristes
David Goodin
Compositeur
John Dickson
Format
Dvd 9
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Français
Oui
Oui
Non
Anglais
Non
Non
Non
Le Film
Critique de Emmanuel Galais
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
90 min
Nb Dvd
1

A la suite d’une expérience scientifique malheureuse, la ville de Saint Louis se retrouve menacée par la formation d’un trou noir et par la progression d’une entité monstrueuse se nourrissant d’électricité.

Les Etats-Unis d’Amérique, ce grand pays de 9 629 048 Km², comptant environs 302 074 000 habitants, patrie de Georges Washington et du chef Sitting Bull. Pays d’or et de lumière qui vit naître Martin Luther King, capable du meilleur comme du pire. Patrie de l’éphémère et de l’opulence, du faste et du terne en même temps. Symbole de l’argent autant que de l’impuissance. Ce pays fit naître les rêves les plus fous et les craintes les plus improbables.

Témoins privilégiés et impuissants des incroyables évènements de notre monde, les Etats-Unis vécurent des moments autant privilégiés que particuliers comme une invasion pacifiste d’extra-terrestres communiquant sous forme de musique, ou encore d’autres beaucoup moins amusant qui ne trouve rien de mieux que d’attaquer le jour de l’indépendance, sans parler de ceux qui reviennent avec un vaisseau spatial pour manger tout le monde ou de ceux qui se transforment en gros cafards et viennent menacer notre propre écho système. Un pays qui a vu des bouffons vert attaquer New York sans aucune retenue, attendant qu’un défenseur arachnophile viennent remettre de l’ordre. Et dans le vert les américains s’y connaissent puisqu’ils ont aussi leur géant vert, un tantinet maladroit quand il est en colère, mais quand même. Et puis si on part sur les monstres, il y aurait de quoi dire !

Tenez par exemple, et bien New York a subi les attaques d’un gorille un peu plus grand que la norme, qui a juste mis le Bronx un peu partout dans la ville, il y a eu aussi un T-Rex ou encore une créature issue des essais nucléaires français (Ceux là, ils ont vraiment rien compris). Des petites créatures au début sympathiques qui subitement deviennent infectes, juste parce qu’elles ont mangé après minuit, ou alors simplement parce qu’elle sont mauvaises. Et je ne parle pas des créatures qui sortent de l’eau pour boulotter tout le monde ou encore des Loup-garous qui se déguisent en Michelle Pfeiffer et Jack Nicholson.

Sans parler bien évidemment des sorcières qui parsemèrent les villes de Salem, de  Blair Wich, et d’ailleurs, de malédictions interminables. Ou aussi des fantômes légèrement pénibles sur les bords qui n’hésitent pas à faire de la moto sur le flans des grattes ciels, juste pour se rendre intéressant (Ce qui est idiot d’ailleurs parce que dangereux).

Ce grand pays traversé par pas moins de 5 fuseaux horaires a eu, aussi, a subir les affres du temps. Et pour le coup, là c’était pas drôle, parce qu’il y a eu quand même une nouvelle ère glacière, des tempêtes plus incroyable les unes que les autres, on a même vu des hommes préhistoriques revenirent vivre aux Etats-Unis, comme quoi ce pays est exceptionnel. Même les Volcans ont fait une percée à Los Angeles ce qui n’est pas peu dire !

Ah sinon, dans « Black Hole » il y a un tas de mauvais acteurs qui luttent contre un trou noir (Comprendre le truc noir que l’on trouve normalement dans l’espace). Les pauvres, ils sont obligés de faire semblant de croire qu’il y a un scénario. Ils sont quand même fort ces américains.

Ah, juste une dernière chose, si vous ne vous êtes pas endormis au bout de quinze minutes, prenez le temps d’éteindre la télé, on ne sait jamais…

L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
1.85:1
Légèrement granuleuse, la qualité de l’image ne viendra toutefois pas sauver le vide interstellaire de cette sous-production. Les couleurs sont correctes et les contrastes normaux. Pas de quoi sauter au plafond !

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Anglais
5.1
Français
5.1
Forcément poussé dans les basses pour tenter une éventuelle tenue en éveil du spectateur. C’est peine perdue. Les dialogues souffrent d’un trop plein de basses lors des effets spéciaux aussi fouillés que ceux de Méliès. A la différence que Méliès recherchait réellement la qualité !

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
20 min
Boitier
Amaray
Un making of de 17 minutes qui n’hésite pas à vanter les bonnes idées du scénario, ou du moins qui tente de s’en convaincre. Aussi terrifiant que le film lui-même. Puis la bande annonce.
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage