Timber falls

Titre Original
Timber falls
Genre
Pays
Etats-Unis (2007)
Date de sortie
mercredi 5 août 2009
Durée
96 Min
Réalisateur
Producteurs
Doug Croxall
Scénaristes
Daniel Kay
Compositeur
Henninh Lohner
Format
Dvd 9
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Français
Oui
Non
Non
Anglais
Non
Non
Non
Le Film
Critique de Julien Sabatier
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
96 min
Nb Dvd
1

L’histoire :

Parti pour un week-end randonnée en montagne, un jeune couple va tomber dans les griffes d’une famille d’illuminés.

Critique subjective :

Série B horrifique réalisée en 2007 par Tony Giglio, Timber Falls vient aujourd’hui grossir les rangs des DTV estivaux.

Le métrage commence comme un pur survival avec son couple de jeunes tourtereaux (les futures victimes donc), sa nature impressionnante (montagnes boisées à perte de vue) et ses autochtones peu fréquentables (dont un colosse défiguré). Les clichés d’usage se conjuguent aux gimmicks visuels de rigueur (proies épiées en vue subjective) et aux emprunts à certaines récentes réussites du genre (Eden lake et Détour mortel en tête). Bref, dans sa première partie, Timber Falls ne réinvente pas l’eau chaude mais, malgré ses ambitions limitées, ne s’avère pas désagréable à suivre, d’autant que, formellement, l’affaire tient plutôt bien la route.

Passé un premier gros tiers, le film de Tony Giglio bascule dans un huis-clos psychologique teinté de torture porn (à croire qu’il est désormais obligatoire de surfer sur la vague lancée par Saw et Hostel …). C’est là que les choses se gâtent. Malgré une bonne idée (les ravisseurs sont un couple de catholiques fanatiques et stériles qui marient leurs victimes et les enjoignent de copuler pour obtenir un enfant !), les longueurs se multiplient et les moments de sadisme tournent au ridicule (effusions gore gratuites et risibles). Un épilogue placé sous le signe du grand n’importe quoi viendra enfoncer le clou, entérinant ainsi le côté gloubi boulga du métrage.

Verdict :

Bancal, Timber Falls ne restera pas dans les annales du genre et pourra tout au plus se consommer nonchalamment un soir de faible exigence cinématographique.

L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
2.35:1

Un transfert vidéo de haute volée. L’image affiche un piqué impressionnant, une belle profondeur et une admirable gestion des couleurs (les décors naturels en ressortent d’autant plus majestueux). Qualité également irréprochable du côté de la compression, avec un encodage furtif même dans les séquences les plus sombres.


Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Anglais
2.0
Anglais
5.1
Français
2.0
Français
5.1

Quatre pistes honorables mais quelque peu décevantes. Si l’on pardonnera son manque d’ampleur au format 2.0, on ne saura que déplorer celui des deux pistes en Dolby Digital 5.1. Ainsi, les canaux surround s’avèrent-ils trop peu sollicités (alors que le film s’y prêtait, notamment dans les séquences en pleine forêt) et l’ensemble se montre trop limité là où il aurait pu être bigrement immersif.


Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
0 min
Boitier
Amaray

: Lien vers le site Internet de l’éditeur.

Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
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Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage