Le Film
    Critique de Emmanuel  Galais
    
    
    
        
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            Edition
            
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            Label
            
                
            
            Zone
            
                2
            
            Durée Film
            
                100 min
            
            Nb Dvd
            
                1
            
         
     
    
 
                            
	
Alors pour commencer, prenez un méchant (Très méchant !) avec le visage de Wesley Snipes (Blade, 98, Mo' Better Blues, 90) et faites lui braquer une banque, mais pas un braquage à la Spaggiarri, un où il y a des cris du sang et de la peur, ensuite prenez un gentil, flic de préférence, avec un passé si possible torturé, désabusé de son métier, en un mot « triste », avec de préférence le visage de Jason Statham, puis affublez le tout d’un deuxième gentil, mais encore plus que le premier, un jeune premier avec un regard innocent, genre Ryan Philippe. Et vous obtiendrez les ingrédients pour réaliser un film tel que « Chaos ».
Pour résumer, l’histoire un flic désabusé et désavoué par ses pairs, doit subitement revenir s’occuper d’une prise d’otage. Seulement beaucoup de questions semblent sans réponses, « La première étant que sont venus chercher les braqueurs, vu que rien n’a été volé ? ».
Voilà, si l’ensemble ne vous semble pas très attirant, aux vues d’un résumé qui pourrait correspondre à des milliers de films, vous avez raison ! Tony Giglio, à qui l’on doit notemment « U-Boat : Entre les mains de l’ennemi » en 2004, nous propose tous les poncifs du genre.
Tout y est : Les voitures qui s’encastrent, les balles qui sifflent, les gens qui crient, les explosions qui font pêter le caisson de basse, tout… et même parfois plus, sauf de bons acteurs, de bonnes situations. Car si Steven Seagal cherchait un remplaçant, il se pourrait qu’il l’ait trouvé en Jason Statham ( Le transporteur 1 & 2,02-05 , Revolver, 05). Car ce dernier n’hésite pas à payer de sa personne pour nous en mettre plein les yeux, il se bat avec des méchants, très méchants, il comprend tout comme un mec super cool, et récite ses dialogues avec autant d’entrain qu’un condamné en route pour l’échafaud. Et que dire encore de Ryan Philippe (Way of the Gun, 00, Sexe Intentions, 99) aussi expressif et varié qu’un plateau de fruits de mer. Si ce dernier concourrait pour la palme d’or de la jeune recrue la plus mauvaise de l’histoire, sa prestation vaudrait certainement pour la première place. Aucun sentiment, aucune présence, et lorsque celui-ci joue la colère, comme dans la scène finale, il nous offre la plus belle palette de d’imitation de seconde zone, de gens en colère. On s’attend presque à l’entendre dire à un moment « You Fucked my wife ? »
Et pourtant, si vous avez survécu à 1h30 de ce film, vous pourrez assister à l’un des finals les plus réussi de toute l’histoire du cinéma d’action américain. Un retournement de situation plus ou moins attendu, avec une issue complètement inattendu. De quoi rehausser la note.
En conclusion, un film qui ne vaut d’être vu que pour son final. Pour le reste : Que de souffrance !
                            
    
        L'image
    
    
    
    
        
            Couleurs
            
            Définition
            
            Compression
            
            Format Vidéo
            
                16/9 anamorphique couleur
            
            Format Cinéma
            
                2.35:1
						
            
         
     
    
 
                            
	Comme bien souvent dans ce type de programme, l’image est souvent bien travaillée. C’est le cas ici, où les scènes d’actions sont parfaitement mises en valeur grâce à un rendu des couleurs impeccables. Même les scènes de nuit ressortent avec une netteté qui méritent d’être relevée. 
                            
                            
    Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Anglais                       
5.1
Anglais                       
5.1
Français                      
5.1
Français                      
5.1
 
                            
	
C’est l’obligation d’un tel film. Le son doit être puissant et impeccable. Autant le dire c’est le cas beaucoup plus intéressant en 5.1 qu’en DTS. Le caisson de basse est utilisé avec force et renforce bien évidemment le plaisir du visionnage. Une parfaite réussite donc !
                            
                            
    
        Les Bonus
    
    
    
        
            Supléments
            
            Menus
            
                
            
            Sérigraphie
            
            Packaging
            
            Durée
            
                0 min
            
            Boitier
            
                Amaray
            
         
     
    
 
                            
	Juste une bande annonce. Décevant !
                            
Bonus
    
        
            
            Livret
 
        
            
            Bande annonce
 
        
            
            Biographies
 
     
    
        
            
            Making of
 
        
            
            Documentaire
 
        
            
            Interviews
 
     
    
        
            
            Com. audio
        
            
            Scènes sup
 
        
            
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