Star wars épisode 2 : l'attaque des clones

L'Attaque Des Clones : le film

Cinquième film, par ordre chronologique de sortie, de la saga Star Wars, L'Attaque des Clones est, d'un point de vue narratif, l'épisode n° 2 de l'épopée en six volets que George Lucas a commencé à nous conter en 1977. Comme La Menace Fantôme, L'Attaque des Clones explore le passé de personnages clés de la saga et surtout, l'origine de la chute du chevalier Jedi Anakin Skywalker du Côté Obscur de la Force, qui le transformera en Darth Vader.

L'Attaque des Clones débute dix ans après la fin de La Menace Fantôme. Une crise politique ébranle la République galactique : pour faire face à un mouvement séparatiste qui gagne de nombreuses planètes et corporations, le Sénat s'apprête à voter une loi permettant au Chancelier de créer une armée de la République. En effet, les chevaliers Jedi, maîtres de la Force, sont trop peu nombreux pour assurer la paix dans toute la galaxie. Padmé Amidala (Nathalie Portman), reine de Naboo dans La Menace Fantôme, est devenue sénatrice au terme de son mandat royal et l'un des plus ardents défenseurs de la paix. A la suite d'une tentative d'assassinat à son encontre, deux chevaliers Jedis de sa connaissance sont chargés de la protéger : Obi-Wan Kenobi (Ewan McGregor) et son apprenti Anakin Skywalker (Hayden Christensen). L'intrigue se divise alors rapidement en deux : nous suivons d'un côté l'enquête menée par Obi-Wan Kenobi aux confins de la galaxie et de l'autre la mise au secret de Padmé, sous la protection d'Anakin. La décision du Conseil des Jedis d'autoriser la formation d'Anakin dans La Menace Fantôme semblait déjà mauvaise, celle de faire de lui le garde du corps de Padmé se révèle désastreuse puisque l'amour naissant entre es deux jeunes gens va amener Anakin à violer le code Jedi.

Que le cadre politique de ne vous trompe pas, L'Attaque des Clones est bien un pur film de « space opera », ponctué des bijoux que sont les morceaux de bravoure obligés de la série Star Wars, auxquels la qualité de son et d'image du DVD offre un écrin exceptionnel. Combats, poursuites, monstres, planètes : il y en a pour tous les goûts. La course poursuite aérienne nocturne entre les gratte-ciels de Coruscant, vertigineuse, outrancière et jouissive, fait apparaître celle du Cinquième Elément comme un brouillon maladroit et donne aux fans de Blade Runner ce qui leur manquait dans l'œuvre de Ridley Scott. Le face-à-face musclé entre Obi-Wan Kenobi et Jango Fett (Temuera Morrison) permet au Jedi de montrer ses capacités de combattant sous une pluie diluvienne, puis de pilote dans un champ d'astéroïdes. Cette scène est d'ailleurs la seule de combat spatial de L'Attaque des Clones, qui, contrairement aux quatre autres films de la saga, ne comporte pas de grosse séquence de bataille dans l'espace.

 

Le dernier tiers du film est un festival ininterrompu de tours de force : Anakin et Padmé pris au piège dans l'usine de droïdes, application clin d'œil du jeu vidéo de plate forme au format cinématographique, l'arène aux monstres, hommage appuyé aux vieux films de Ray Harryhausen, la charge d'une centaine de Jedis contre trois fois plus de droïdes, et l'assaut massif des troupes militaires de clones de la République (oui, ils sont du côté des héros... ) sur les bastions séparatistes de Geonosis, qui donne lieu aux plus impressionnantes scènes de combat terrestre jamais vues dans le « space opera ». Evidemment, l'apothéose du film est une confrontation homérique entre Jedis, sabre-laser au poing, quand Anakin et Obi-Wan tentent d'empêcher l'évasion de l'infâme Comte Dooku (remarquable Christopher Lee). Devant la puissance de Dooku, Yoda lui-même va devoir intervenir, pour l'une des scènes les plus jubilatoires de la saga, où Lucas paraît avoir cru, pendant trente secondes, qu'il ne réalisait pas un Star Wars mais plutôt un film de Hong Kong complètement débridé.

 

L'Attaque Des Clones dans la saga Star Wars

A l'époque des trois premiers films, Lucas avait expliqué qu'une trilogie était toujours bâtie suivant la même structure, à savoir la présentation des protagonistes et de leurs relations dans le premier épisode, la survenance de difficultés et d'enjeux majeurs dans le deuxième et enfin la résolution des difficultés et conflits dans le troisième. La trilogie originelle suit d'ailleurs parfaitement ce schéma. Ce n'est pas pour rien que L'Empire Contre-Attaque est souvent cité comme en étant le meilleur épisode : c'est tout simplement le film dramatiquement le plus riche de la première trilogie. Le Retour du Jedi, quelles que soient ses qualités, ne pouvait faire mieux que clore l'histoire, sans rien apporter de nouveau aux personnages. Il est clair que Lucas suit la même structure avec la trilogie en cours. La Menace Fantôme avait la lourde charge de nous présenter les personnages et l'univers à la base de toute la saga, ce que n'ont pas compris nombre de ses détracteurs, alors que L'Attaque des Clones aborde vraiment le cœur de la saga, ou du moins de cette trilogie : la transformation de Anakin Skywalker en Darth Vader.

 

Comme L'Empire Contre-Attaque en son temps, L'Attaque des Clones est un deuxième acte dont la noirceur est marquée. Contrairement à La Menace Fantôme; aucune fin faussement heureuse ne vient atténuer ce sentiment : une armée de la République à la botte du Chancelier a été créée, la guerre des clones est déclarée et Anakin viole le code Jedi en épousant Padmé. Et pour nous ôter le moindre doute, Lucas dresse un parallèle évident : le tout dernier plan de L'Attaque des Clones est calqué sur dernier plan de L'Empire Contre-Attaque. L'aspect tragique de L'Attaque des Clones est toutefois plus marqué. A la fin de L'Empire Contre-Attaque, Luke donne rendez-vous à Lando sur Tatooine pour aller sauver Han Solo et nous savons qu'ils y arriveront. Pas de telle branche à laquelle se raccrocher dans L'Attaque des Clones. Le prochain épisode de la saga sera le plus noir, Lucas l'a toujours affirmé. L'Attaque des Clones prend alors une véritable dimension tragique, comme la première étape d'un drame annoncé et que rien, nous le savons, ne pourra éviter. On peut d'ailleurs légitimement se demander, à la vision du film, si, une fois le troisième et dernier épisode sorti en 2005, il vaudra mieux regarder les six volets dans leur ordre de sortie sur les écrans (4, 5, 6, 1, 2 ,3) ou dans leur ordre dramatique (1, 2 ,3, 4, 5, 6). A ce jour, et contrairement à ce qu'à pu déclarer Lucas, c'est la première option qui semble devoir être retenue. La trilogie actuellement en cours fonctionne en effet beaucoup sur le référentiel avec la première.

 

Si l'on frissonne quand Obi-Wan Kenobi dit à Anakin qu'il causera sa mort un jour ou l'autre, c'est parque que l'on sait que c'est Anakin lui-même qui tuera son maître. Si la romance Padmé-Anakin a une incontestable résonance tragique, c'est que l'on en connaît déjà la fin. Il faut d'ailleurs qu'elle se termine mal pour que les évènements des trois premiers films aient lieu. Lucas utilise abondamment le ressort de la satisfaction du spectateur face à la fin d'une attente pour faire plaisir à celui-ci. La trilogie originelle nous ressasse sans cesse que les Jedis étaient des guerriers sans rivaux, mais qu'avions nous pu voir à part un vieil homme retiré dans le désert, une créature mi-homme mi-machine, un farfadet plein de sagesse mais bien immobile et un jeune blanc bec? De même, la guerre des clones est citée par Ben Kenobi dans Un Nouvel Espoir (le sous-titre "officiel" de l'épisode 4 "La Guerre Des Etoiles") comme un grand conflit au cours duquel s'est illustré le père de Luke Skywalker, mais sans plus de détails. La princesse Leia se souvient de sa mère comme d'une femme très belle mais terriblement triste. Quel est le lien exact entre "l'oncle" Owen, qui a élevé Luke sur Tatooine, et le père de celui-ci ? Et bien sûr, pourquoi Anakin s'est-il tourné du Côté Obscur de la Force et a-t-il affronté Obi-Wan au cours d'un duel au terme duquel il a été laissé pour mort?

 

Pour le connaisseur de Star Wars, les réponses qu'ont apporté La Menace Fantôme et L'Attaque Des Clones à certaines de ces questions sont pour beaucoup dans le plaisir des films. Lucas ne nous place plus dans un schéma narratif classique de Comment? pour accrocher notre intérêt (comment les héros vont-ils réussir à détruire l'Etoile Noire ?) mais de Pourquoi ? (pourquoi Anakin va-t-il embrasser le Côté Obscur de la Force? Pourquoi Luke a-t-il été élevé sur Tatooine et Leia sur Alderande ? etc). Au-delà du simple opus cinématographique, c'est alors la contribution pure et simple à la mythologie de l'univers Star Wars qui est appréciée et qui fait oublier les éventuels défauts du film.

 

 Cette dichotomie dans l'accroche du spectateur est peut-être la force comme la faiblesse de L'Attaque Des Clones. Le fan y trouvera en effet un film complet, plein de fureur, d'action, d'évolution psychologique et tragique, plus complet que La Menace Fantôme, alors que le spectateur lambda n'y verra, au mieux, qu'un magnifique divertissement visuel. Ce n'est pourtant pas à regretter : Lucas a toujours conçu son épopée comme une série de films intimement liés et se faisant écho les uns aux autres. Comme un opéra, la saga Star Wars est composée d'actes ayant chacun leur fonction dramatique et dont L'Attaque Des Clones est sans doute l'un des plus réussis, sinon l'un des plus intenses.

L’attaque des clones est le second film après notre francophone Vidocq a avoir été tourné avec les toutes nouvelles caméra numériques HD Sony, n’en déplaise à Monsieur Lucas qui prétend être le premier. Contrairement à l’épisode 1, le transfert disponible sur le DVD est directement issu des disques durs LucasFilms. Quelques minutes suffisent pour voir en pleine image les avantages d’un transfert direct, autre que celui d’un film d’animation classique ou en images de synthèses. Certes le réalisateur use et abuse des subterfuges pour faire évoluer ses comédiens sur les plateaux virtuels et jouer face au néant pour remplir ensuite les arrières plans de décors somptueux et animés les dialogues avec d’étranges créatures. Le transfert HD de l’attaque des clones aurait pu faire apparaître ce décalage virtuel et réel. L’extraordinaire travail des équipes d’ILM ressort ici avec encore plus d’aplomb. L’intégration des effets spéciaux est fascinante de qualité et le transfert HD permet un niveau de détail faramineux. Le paradoxe est que l’on devine très vite les limites physique du standard vidéo actuel et que certains détails, en arrière plans, ne présentent pas toute la finesse dont fait sûrement état le master original

Comme sur la première édition, l’éditeur sous les indications précises de Georges Lucas présente une double piste Dolby Digital EX, en VO et en VF. En quelques minutes, les impressions qui se dégagent de ce mixage par rapport à l’épisode précédent et face à des production récente c’est une intégration encore plus poussée des effets surround et en particulier des effets EX.

C’est assurément un grand spectacle sonore mais au final la bande sonore ressort avec un aspect superficiel. Certes les effets panoramiques surround sont nombreux et souvent spectaculaires mais c’est au détriment de véritables ambiances enveloppantes. Cette bande sonore peut également être utilisée pour jauger la balance avant/arrière d’un système : les passages transversaux sont multiples et peuvent aider à détecter un éventuel trou sonore entre les trois enceintes frontales et les enceintes surround.
 

En dehors de l’aspect spatialisation qui est sans aucun doute l’aspect le plus spectaculaire de ce film, la piste Dolby Digital laisse facilement percevoir ses limites. La balance entre le canal LFE et les canaux principaux est parfois discutable avec dans certains plans un usage outrancier des fréquences basses qui contrastent avec une utilisation timide dans d’autres séquences de combat, en particulier dans l’arène. Ces séquences, lourdement pourvues d’effets et de bruitages sont parfois brouillonnes et l’on à de la peine à bien déceler toutes les subtilités cachées dans la complexité du mixage.



Les bandes sonores VF et VO sont similaires le doublage utilisant une piste internationale, exacte réplique de la VO, à l’exception des dialogues et des effets liés. Dans plusieurs séquences par exemple, les discours disposent de réverbérations qui disparaissent tout simplement dans la VF, les équipes de doublage n’ayant pas reproduits ces effets. Ce sont les seules différences, minimes mais réelles.


La musique de John Williams semble moins présente que dans les autres épisodes. Souvent considérée comme un acteur à part, elle semble plus illustrative dans cet épisode, elle se contente de souligner des humeurs et des impressions mais manque régulièrement d’intégration réelle avec les dialogues et les bruitages. Il faut néanmoins apprécier les efforts d’homogénéité en termes de  spatialisation avec aucune dominante frontale ou surround.

 L’expérience sonore de L’attaque des clones, bien qu’imparfaite est tout de même un formidable spectacle qu’il convient d’apprécier, si possible, en mode 6.1.

L’entrée en scène s’opère à l’identique de La menace fantôme avec un triple menu aléatoire permettant de plonger dans trois des fabuleux décors de l’épisode 2. Les suppléments de L'Attaque Des Clones suivent également le modèle de ceux de La Menace Fantôme : la part belle est faite aux making-of, auquel un soin exceptionnel a été apporté.

Les making-of


Le documentaire "From Puppets to Pixels" est un making-of de près d'une heure, sans narrateur, qui se concentre sur les effets spéciaux du film et notamment sur LE grand défi qu'ont du surmonter les hommes de Lucas : la création d'un Yoda numérique convaincant. On pourrait d'ailleurs presque croire, à la vision de ce making-of, que c'était là le défi le plus important de L'Attaque Des Clones. Il est vrai que l'importance donnée au personnage de Yoda dans ce film, et surtout sa participation active à des scènes d'action, ne pouvait se contenter d'un Yoda numérique à demi réussi, qui aurait pu porter atteinte à l'équilibre du film dans son entier. L'attention portée par Lucas au moindre des détails de Yoda est d'ailleurs révélatrice : les expressions de son visage, le rythme de sa marche, ou encore les plis de sa robe, font l'objet de discussions très poussées avec son équipe. Ce n'est rien de moins qu'à la naissance de la direction d'acteur numérique que ce passionnant making-of permet d'assister. Ce long making-of ne suit pas tout à fait le même schéma que "The Beginning", le making-of qui était disponible sur le DVD de La Menace Fantôme. "The Beginning" (sans doute l'un des meilleurs making-of avec celui du DVD du Pacte Des Loups) s'attachait en effet à suivre toutes les étapes de création du film, depuis l'écriture du scénario par Lucas jusqu'à la première projection en salles. En se consacrant sur les effets visuels et techniques, "From Puppets to Pixels" offre une vision aussi passionnante mais peut-être moins humaine de l'élaboration d'un film (il est impossible de ne parler que de "tournage").

 

L'autre making-of est le documentaire "Previsualization of Episode II". C'est un coup de projecteur fascinant sur la manière de préparer un film jusque dans ses moindres détails avant de le tourner. En fait, le travail de conception des plans et du rythme est terminé bien avant le tournage lui-même, ce qui n'empêche toutefois pas des changements substantiels. Ainsi, toutes les scènes se déroulant au sein de l'usine à droïdes ne sont apparues qu'après huit mois de montage. Lucas trouvait en effet que le dernier tiers du film manquait de rythme et que ce décor n'était pas assez exploré. Le générique de fin de ce documentaire est à ne pas manquer...


Dans la famille making-of, le DVD offre enfin une douzaine de mini-reportages et documentaires qui avaient été proposés pour la première fois sur le site Internet officiel wwww.starwars.com dans les mois qui ont précédé la sortie de L'Attaque Des Clones. Il est agréable de pouvoir les visionner "proprement", avec une image au format et son parfaits. Comme ceux qui étaient présents sur le DVD de La Menace Fantôme, ces mini-reportages provoquent parfois un sentiment curieux à la vision du fait de l'absence quasi-totale de référence à l'intrigue et l'histoire du film, due à leur disponibilité sur le Web des mois avant la sortie du film lui-même. Les fans y découvriront avec bonheur des images de making-of des films de la trilogie originelle et se prendrons à rêver des bonus que comprendront peut-être un jour les DVD des trois premiers films... avant de frissonner en écoutant Lucas expliquer, en Tunisie, qu'il vient de tourner une scène pour le troisième et dernier épisode de sa saga cinématographique afin de ne pas avoir à retourner dans le désert.


Les autres suppléments


Les spots TV sont très intéressants pour nous français, la publicité télévisée pour les longs métrages de cinéma étant interdite en notre douce France. Ces spots sont courts, percutants, centrés autour d'un personnage ou d'un thème précis, et souvent assez drôles (notamment les spots sur Yoda). Cet humour, qui fait souvent défaut dans le marketing de Star Wars, est rafraîchissant. De façon similaire, le "faux" documentaire sur la carrière de R2-D2, que les internautes ont également pu découvrir, il y a quelques mois, sur le site officiel, est un pastiche réjouissant de tous les "portraits" de stars qui ont connu la gloire puis l'oubli avant de faire un come-back éclatant. De nombreux amis célèbres de Lucas y font une apparition.
 

Les scènes coupées offrent, comme toujours, la possibilité d'imaginer un film différent, dans son contenu comme dans son rythme. L'éternelle obligation de rythme a en effet amené Lucas à sacrifier les sept scènes inédites présentes dans les suppléments (aucune n'est réintégrée au film lui-même). On le comprend d'ailleurs aisément : aucune des scènes coupées n'est palpitante ; ce sont surtout des occasions d'approfondir le caractère ou le passé de certains des personnages. Padmé est d'ailleurs la grande perdante sur ce point : la retrouvaille avec ses parents (scène amusante mais si peu Star Wars!) et la présentation de sa chambre d'enfant à Anakin font partie des scènes coupées.
 

Le commentaire audio est à ne pas manquer. Comme sur le DVD de La Menace Fantôme, les intervenants sont multiples et se partagent les sujets : Lucas parle de l'histoire et des personnages, Burtt du son, McCallum du tournage, Knoll des effets spéciaux etc. Les commentaires sont "montés", ce qui signifie qu'il n'y a pas d'interaction entre les différents intervenants. Cela enlève toute spontanéité mais rend le commentaire bien structuré et facile à suivre. Certains secrets y sont même révélés : bravo à ceux qui arriveront à identifier le chasseur X et le chasseur Tie perdus dans le flot de véhicules aériens qui sert de décor à la poursuite sur Coruscant.
 

Un bon point particulier doit enfin être accordé à la galerie de photos de tournage. Ce type de bonus est souvent d'un intérêt assez limité. Les photos sont ici toutes inédites (ce ne sont PAS celles qui étaient égrenées chaque semaine sur le site Web officiel avant la sortie du film), souvent surprenantes et parfois amusantes. Le parallèle photographique avec American Graffiti est un petit bijou de nostalgie que les fans de Lucas apprécieront.

Voici le détail complet des suppléments :

8 scènes coupées inédites

spécialement crées pour cette édition DVD, chacune présentée par George Lucas, Rick McCallum et Ben Burtt (VOST).

Soyez les témoins de la révolution digitale dans l'animation des personnages à travers le documentaire "Des marionnettes aux pixels", comprenant entre autres la création digitale de Yoda, de Dexter Jettster et bien d'autres (VOST).

Documentaire exclusif "A la pointe de la technologie " : la pré-visualisation de l'Episode II (VOST).

Suivez Ben Burtt et son équipe qui vous explique le procédé de montage son et des effets sonores pour l'Episode II dans un documentaire exclusif "Les films ne sortent pas, ils s'échappent" (VOST).

Trois documentaires pour découvrir l'intrigue, les scènes d'action et l'histoire d'amour au coeur de "l'attaque des clones" (VOST).

Série de documentaire internet en 12 parties, récompensés par un jury d'internautes (VOST).

"Across The Stars" Vidéo-clip avec John Williams.

Teasers cinéma, bandes-annonces et 12 spots TV.

Affiches cinéma et campagnes publicitaires internationales.

Documentaire : "R2-D2: Beneath The Dome" (VOST).

Galerie de photos de production inédites avec commentaires.

Montage des effets visuels d'ILM sur l'Episode II.

Lien internet pour obtenir des informations exclusives sur Star Wars.