Hammer : la maison de tous les cauchemars - Vol 3

Titre Original
Hammer House of Horror
Genre
Pays
Royaume-Uni (1980)
Date de sortie
jeudi 5 août 2004
Durée
170 Min
Réalisateur
Producteurs
Roy Skeggs, Brian Lawrence, David Reid
Scénaristes
Gerald Savory, Bernie Cooper, Francis Megahy, Murray Smith
Compositeur
Paul Patterson, David Lindup, Philip Martell
Format
Dvd 5
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Français
Non
Non
Non
Le Film
Critique de Véronique Levrier
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
170 min
Nb Dvd
1


Synopsis

La Hammer, ce nom à lui seul est capable d’évoquer quelques frissons chez l’amateur un peu éclairé de film d’horreur ! Á l’origine des Draculas de Christopher Lee et Peter Cushing, la Hammer est synonyme des plus beaux moments d’horreur du cinéma britannique. Si aujourd’hui la Hammer en tant que tel n’existe plus, elle a laissé un important patrimoine filmique mais également une série, en 13 épisodes, produite pour la télévision.
Ce sont 3 de ces épisodes que vous retrouvez sur ce troisième volume d’une collection de 4 éditant la série dans son intégralité.
La maison de tous les cauchemars est composée d’épisodes d’une heure aux thèmes fantastique et ce terminant toujours par un twist final renvoyant le spectateur dans une nouvelle spirale infernale. Ce DVD est à déconseiller si vous êtes amateur du tout est bien qui finit bien.

Résumé des épisodes :

Épisode 1 : Un étrange réveil (rude awakening) :
Norman Shenley est agent immobilier, tous les matins, il se réveille d’un cauchemar où il se trouve toujours accusé d’avoir assassiné sa femme. Assisté de sa secrétaire polymorphe, Norman va essayer de démêler les fils de cette réalité distordue et de faire la part entre la vérité et le rêve. Quand et comment s’arrêtera ce cauchemar, vous le découvrirez en suivant son histoire.

Épisode 2 : Charlie Boy (Charlie Boy) :
L’oncle de Graham vient de mourir. Parmi les objets de sa succession qui vont être mis en vente, siège une idole de bois que la petite amie de Graham va récupérer et baptiser du nom de Charlie Boy. Cette statue de bois serait porteuse de pouvoirs magiques et serait à même de réaliser les voeux de son propriétaire. Mais cette statuette a-t-elle vraiment le pouvoir de réaliser tous les souhaits ? Et si c’était le cas, les réalise t-elle vraiment selon les désirs de son propriétaires ou selon sa propre vision déformée ?

Épisode 3 : Les enfants de la pleine lune (Children of the Full Moon) :
Tom et Sarah sont un jeune couple qui vient de se marier. Avec Tom souvent en déplacement à l’étranger, ils décident de profiter de la maison de campagne d’un de ses collègues pour leur lune de miel. Au détour d’un chemin, ils sont victimes d’un accident. Ils trouvent alors une maison bien étrange, habités par un couple et leurs nombreux enfants. Dans la nuit, ils sont attaqués par une créature féroce, ils perdent connaissance pour se réveiller à l’hôpital. Tom se demande si cette maison et ces enfants existent vraiment ou si ces évènements sont issus de son imagination. Mais la recherche de la vérité risque de coûter cher.

Critique subjective
Rappelant fortement les histoires des Pulps ou d’EC Comics, « La maison de tous les cauchemar » est un bon exemple de la production horrifique de l’époque. Aidé par de bons acteurs, on notera la présence de Denholm Elliott, le Marcus Brody des Indiana Jones et de Michael Culver, le prieur Robert dans Cadfael, qui compensent le manque de moyens visuels de certains épisodes. Cette série suit toujours le même schéma : un élément fantastique vient perturber la vie d’un personnage, cet élément est nié à un moment mais seulement pour revenir en force à la fin de l’épisode. Parfois long à la montée, les épisodes ne voient vraiment leur point fort qu’en toute fin, le spectateur est doucement bercé dans sa vision de ce conte horrifique pour être réveillé brutalement en fin d’épisode.
Le mot de la fin
« La maison de tous les cauchemar » souffre de nombreux défauts, elle a beaucoup vieilli et ces histoires ne sont pas parmi les plus innovatrices. Leurs thèmes sont souvent convenu et pour peu que vous soyez fan du genre, vous risquez de connaître le mot de la fin des le début de l’épisode. Mais cette série reste parmi les pionnières du genre et apporte parfois des moments marquants.
Un achat plutôt à réserver aux fans du genre.
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
4/3 couleur
Format Cinéma
1.33:1
Le grain et la qualité de l’image ne laissent aucun doute sur l’âge de la série. Nous sommes bien dans une série produite pour la télévision entre les années 70-80, pas de vrais problèmes sur la bande, mais vous n’aurez droit qu’à une qualité juste au dessus de celle que vous pouviez avoir pendant sa diffusion télé.

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Français
2.0
Même si les bandes-annonces du menu sont en anglais, vous ne trouverez qu’une version française sur le DVD. Vous risquez de trouver le doublage un peu faible si vous visionnez les 3 histoires à la suite, en effet certains des comédiens de doublage sont utilisés sur plusieurs épisodes.

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
5 min
Boitier
Amaray


Peu d’interactivité sur ce DVD, le menu propose un extrait sonore et vidéo de l’épisode pour un accès direct, pas de chapitrage disponible directement. Les bonus sont peu importants, Studio Canal ne nous propose qu’une galerie de photos, composées d’images tirées des épisodes et de dessins de types affiches de film, et de la bande-annonce de la collection.

Galerie photos (43s)
Bande-annonce (3min 52s)
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage