Who's that Girl

Genre
Pays
USA (2006)
Date de sortie
mercredi 8 mars 2006
Durée
92 Min
Réalisateur
Producteurs
Rosilyn Heller, Bernard Williams et Bernie Williams
Scénaristes
Andrew Smith (III) et Ken Finkleman
Compositeur
Stephen Bray
Format
Dvd 9
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Italien
Oui
Non
Non
Anglais
Oui
Non
Non
Français
Oui
Non
Non
Arabe
Oui
Non
Non
Néérlandais
Oui
Non
Non
Roumain
Oui
Non
Non
Le Film
Critique de Emmanuel Galais
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
92 min
Nb Dvd
1


Icône des années 80, idole au parcours de rêve, provocatrice en tout genre, Madonna, est La star incontournable. Il est donc parfaitement logique, de même qu’un certain Elvis Presley auparavant, que le cinéma finisse par s’intéresser à cette chanteuse, qui à la simple évocation de son nom fait déplacer une foule immense. Malheureusement l’aventure cinématographique se verra plus souvent pour le pire que pour le meilleur. Car si la Madone excelle sur scène et en musique (Du moins à cette époque), il n’est pas surprenant de dire qu’elle fait partie des pires actrices qu’Hollywood, car à part « Evita » d’ Alan Parker (96), dans lequel elle chante plus qu’elle ne joue, sa filmo fourmille de navets plus effarants les uns que les autres (Recherche Susan désespérément, 85, Shanghai Surprise, 86, etc…).

Avec Who’s that Girl, la star commence à toucher le fond, car si l’on se souvient de la musique, bien peu de gens ont gardé en mémoire cette histoire profondément affligeante d’une jeune fille sortant de prison qui n’a qu’une obsession, se venger des responsables de son emprisonnement, le tout affublé d’une sorte d’avocat décérébré interprété par un Griffin Dune (Le loup-Garou de Londres (81), After Hours (85)), particulièrement mal inspiré et se demandant bien ce qu’il est venu faire dans cette galère.

Et Madonna d’y aller de toutes les grimaces qu’elle ait pu trouver, irritant à chaque seconde, affublée d’une voix particulièrement criarde (y compris dans la version originale). Rien n’est à sauver de sa prestation, on frôle l’encéphalogramme de la grenouille. Si les textes des chansons de la star étaient corrosifs à l’époque, le film fait l’effet d’une soupe sans goût. Il n’est même pas nécessaire de parler de la réalisation dont la qualité est à l’image de la prestation de la madone. Un film entièrement au rabait, des acteurs au réalisateur, James Foley (Comme un chien enragé, 86, Fear, 98), qui semble vouloir signer là, un simple produit alimentaire, en cela l’œuvre réussit.

En conclusion, un film qui n’a d’intérêt que les chansons de Madonna, pour le reste il vaut mieux s’offrir un plat de nouilles, pour avoir quelques choses à se mettre sous la dent. Si vous n’aimez pas la musique de Madonna, passez votre chemin !

L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
1.85:1


Une image propre sans être remarquable. Même si l’on peut reprocher quelques fadeurs dans les couleurs, l’ensemble reste correct. Ca ne gâchera pas le goût des pâtes en tout cas.

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Français
2.0
Anglais
2.0
Italien
2.0
Un son à l’image du programme, potable sans jamais atteindre un seul niveau d’excellence. Une piste 2.0 uniquement, pour la bande originale, ça laisse un peu sur sa faim (d’où le plat de nouilles), pour le reste c’est amplement suffisant.

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
0 min
Boitier
Amaray
Juste la Bande annonce. Finalement, c’est le meilleur de tout le programme.
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage