Le chasseur de primes

Titre Original
The Bounty Hunter
Genre
Pays
USA (2010)
Date de sortie
samedi 7 août 2010
Durée
106 Min
Réalisateur
Producteurs
Neal H. Moritz
Scénaristes
Sarah Thorp
Compositeur
George Fenton
Format
Dvd 9
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Français
Oui
Oui
Non
Anglais
Oui
Oui
Non
Anglais Hindi
Oui
Oui
Non
Arabe
Oui
Oui
Non
Néérlandais
Oui
Oui
Non
Le Film
Critique de Emmanuel Galais
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
106 min
Nb Dvd
1

Chasseur de primes, Milo Boyd se voit confier la mission de ses rêves : Traquer son ex-femme, la journaliste Nicole Hurley, qui s’est soustraite à la justice. Mais il n’avait pas prévu que Nicole allait l’entrainer dans la redoutable affaire de meurtre sur laquelle elle enquête. Ils s’étaient aimés pour le meilleur et vont se retrouver pour le pire.

 Y-a-t-il une vie après « 300 » ou encore après « Friends » ? pour Gérard Butler cela semble une évidence, mais pour Jennifer Aniston on est encore loin du compte. Et ce n’est certainement pas « Le chasseur de primes » qui va arranger ça. Car la comédienne a beau redoubler d’efforts, sa prestation est toujours aussi identique que les précédentes. D’ailleurs, pour les amateurs de l’ex Madame Brad Pitt (Une image qui ne parvient pas à s’effacer), plusieurs films sortent ce mois-ci. Mais pour le moment c’est le duo avec Gérard Butler qui nous intéresse, et le moins que l’on puisse dire c’est que l’association des deux n’est pas particulièrement convaincant. L’acteur tente vainement de donner un peu d’énergie à sa prestation, mais la composition trainante de Jennifer Aniston ne parvient pas à faire le contrepoids. Le duo est très loin  de fonctionner et nous ennuye plus qu’autre chose. Pourtant les débuts étaient prometteurs avec un Gérard Butler particulièrement « cabot » qui semble prendre beaucoup de plaisir à jouer dans une comédie. Mais dès les premières apparitions de la comédienne, on comprend qu'elle ne parviendra pas à nuancer un rôle qu’elle tient de manière récurrente dans d’autres productions.

Et le scénario n’est pas étranger à ce ratage. Car l’histoire de Sarah Thorp (Instincts Meurtriers) ne va pas plus loin que l’énième comédie, où un couple divorcé se retrouve et se confronte après des années de séparations pour mieux se retrouver. Et même si la scénariste tente d’y insuffler une seconde intrigue policière censée réveiller les sentiments des uns et des autres, la trame sombre vite dans l’ennuie le plus total et l’on n’a pas envie ni de se passionner pour leur histoire, ni même envie de rire, tant les gags ont déjà été utilisés des milliers de fois et parfois avec beaucoup plus de finesse que cette dernière, comme le femme attachée au lit de l’hôtel qui doit se justifier face à la femme de chambre incrédule ou encore les joutes verbales sans aucune finesse entre les deux ex époux.

Et la réalisation d’Andy Tennant (Hitch) ne parvient pas à sauver le naufrage, bien au contraire. Le réalisateur est incapable de donner le moindre rythme suffisant pour sauver de l’ennui son film, et laisse le spectateur sur le bord de la route. Sa mise en scène est très en retrait et ses comédiens sont en roue libre, si bien que l’absence d’originalité du scénario ne fait que transparaitre un peu plus.

En conclusion, « Le chasseur de primes » est un film ennuyeux que le duo de comédiens ainsi que le réalisateur ne parviennent pas à sauver. Si vous êtes fans de l’un des trois ne vous précipitez pas sur ce film !

L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
2.35:1
Les noirs sont brillants et les couleurs sont de bonnes conditions dans cette comédie. Les choix d’éclairages sont totalement mis en valeur et les ambiances sont totalement respectées. Le travail de transition sur le support est à souligner, car le grain se fait suffisamment discret pour ne pas gêner le visionnage du film.

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Anglais
5.1
Français
5.1
Côté son, la piste 5.1 est suffisamment efficace pour se faire discrète lorsque le besoin s’en fait sentir, mais aussi pour se rappeler à notre bon souvenir, lorsque l’action le demande. La spatialisation est de bonne composition, et il n’est pas besoin de jouer avec la télécommande pour entendre les dialogues.

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
30 min
Boitier
Amaray
Le making of promotionnel du film qui ne vient pas sauver l’ensemble et un documentaire qui est en fait une bande annonce originale, mais inutile du film. Des bonus à l’image du film : Insipides.
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
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